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Tina Arena




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Tina Arena Album


Une autre univers (12/05/2005)
12/05/2005
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Et puis après (duet with Henri Salvador)
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. . .



J' n'ai connu qu'une histoire d'amour,
Au fil de ma vie,
Cet homme m'a promis le toujours,
Et puis s'est enfui,
C'est la couleur de l'enfer,
Quand les mensonges salissent tout,
J'ai cru sombrer sous la colère,
Comme un cheval fou,
Et...ce qui m'a sauvé,
C'est...de pourvoir aimer

Aimer, jusqu'à l'impossible,
Aimer, se dire que c'est possible,
Aimer, d'un amour invincible,
Aimer, jusqu'à l'impossible, c'est possible...

J'ai vu des châteaux en Espagne,
Que j'ai bâti,
Disparaître sous les flammes de la jalousie,
C'est une douleur sans égal, Quand sa vie part en étincelles,
J'aurais pu vendre mon âme au diable,
Criminel!
Et...ce qui m'a sauvé,
C'est...de pourvoir aimer

Aimer, jusqu'à l'impossible,
Aimer, se dire que c'est possible,
Aimer, d'un amour invincible,
Aimer, jusqu'à l'impossible, c'est possible...

Aimer, jusqu'à l'impossible,
Aimer, jouer sur la vie,
Aimer, après l'inadmissible,
Aimer, jusqu'à l'impossible, c'est possible...

(break)

Aimer, jusqu'à l'imprévisible,

. . .



Tu aurais d me dire
Les mots que j'attendais,
Dans un souffle, un soupir,
Comme un secret.

Tu aurais d me dire,
Tout ce que j'esprais,
Quitte me faire rougir,
A me gner.

Il fallait tout me dire,
Jamais, non jamais,
Btir l'avenir
Sur des regrets.

Oser parler d'amour,
Avant que le temps,
Le vent,
N'emporte les mots pour toujours.

Oser parler d'amour,
Avant que le temps,
Le vent,
N'emporte les mots pour toujours.

Tu aurais d me dire
Les promesses jamais,
Pleurer ne veut rien dire
Les jours d'aprs,

Tu aurais d me dire,
Et nous dlivrer,
Le silence est bien pire
A couter.

Oser parler d'amour,
Avant que le temps,
Le vent,
N'emporte les mots pour toujours.

Oser parler d'amour,
Avant que le temps,
Le vent,
N'emporte les mots pour toujours.

Et si l'amour se fane l'ombre du silence,
A l'ombre de ses chances.

Et si l'amour se fane l'ombre du silence,
A l'ombre de ses chances.

Tu aurais d me dire
Les mots que j'attendais,
Dans un souffle un soupir,
Comme un secret.

Tu aurais d me dire,
Les mots que j'esprais,
Pleurer ne veut rien dire
Les jours d'aprs.

. . .



J'ai vcu heureuse
Dans mes palais
D'or noir et de pierres prcieuses,
Le Tigre glissait
Sur les pavs de cristal,
Mille califes se bousculaient
Sur mes carnets de bal.

On m'appelait La Cit pleine de grce,
Dieu,
Comme le temps passe,
On m'appelait Capitale de lumire,
Dieu,
Que tout se perd.

Je m'appelle Bagdad,
Et je suis tombe
Sous le feu des blinds
Sous le feu des blinds,
Je m'appelle Bagdad,
Princesse dfigure,
Et Shhrazade
M'a oublie
M'a oublie.

Je vis sur mes terres
Comme une pauvre mendiante,
Sous les bulldozers,
Les esprits me hantent,
Je pleure ma beaut en ruine,
Sous les pierres encore fumantes,
C'est mon me qu'on assassine.

On m'appelait Capitale de lumire,
Dieu,
Que tout se perd.

Je m'appelle Bagdad,
Et je suis tombe
Sous le feu des blinds
Sous le feu des blinds,
Je m'appelle Bagdad,
Princesse dfigure,
Et Shhrazade
M'a oublie.

Mes contes des mille et une nuits
N'intressent plus personne,
Ils ont tout dtruit
Ils ont tout dtruit.

Je m'appelle Bagdad,
Et je suis tombe
Sous le feu des blinds
Sous le feu des blinds,
Je m'appelle Bagdad,
Princesse dfigure,
Et Shhrazade
M'a oublie
M'a oublie.

. . .



J'ai connu des hivers si froids,
De la pluie et des silences,
Je m'inventais dans tes bras,
Des heures de soleil quand j'y pense.

Avant toi je cachais ma vie,
Emprisonne de ma souffrance,
Je regardais passer mes nuits,
Banale histoire sans importance.

Je ferai de tout ce que tu me donnes
Le plus prcieux trsor,
Comme ces mots d'amour fous qui rsonnent encore.

Si tu veux mon coeur,
Promets-moi de le garder,
L'emporter ailleurs si tu devais t'en aller,
Toujours plus prs de toi l'abri des douleurs de la vie
La vie.

Les matins o commence l'ennui,
Tu sais relever les dfis,
Tu laisses ton coeur tre lui-mme,
Dans tes yeux le reflet que j'aime,

Redis-moi que ce n'est pas un rve,
L'amour que tu me donnes,
Et avant que le soleil se lve
Se lve.

Si tu veux mon coeur,
Promets-moi de le garder,
L'emporter ailleurs si tu devais t'en aller,
Toujours plus prs de moi l'abri des douleurs de la vie.

Je sais que tout pourrait changer,
Le jour, la nuit est comme un sourire,
Sois l'air que je respire,
Sois l'air que je respire,
So be the air I breathe.

Si tu veux mon coeur,
Promets-moi de le garder,
L'emporter ailleurs si tu devais t'en aller,
Toujours plus prs de toi l'abri des douleurs de la vie.

Sans toi j'ai connu des hivers si froids.

. . .



Un trange sentiment,
Et le doute s'installe,
Je suis venue te parler,
Mes yeux se voilent.

Toutes ces penses qui touchent le fond,
Peut-tre que je perds la raison.

Foulard et bruit de soie,
Je l'imagine tout contre toi,
Puisqu'elle a dj pris ma place,
Oh ne me mens pas,
Mme si tu t'envoles ailleurs,
Mme si l'avenir me fait peur,
Si peur.

Moi j'ai envie de savoir quand tu t'endors,
Qui vole mes rves sans remord,
Je peux sentir son parfum qui trane encore,
J'entends le bruit de ses pas qui rsonne en moi, de plus en plus fort.

Ne me laisse pas terre,
Dfais mes liens,
Et gardons le meilleur
Si tu veux bien.

Dis-moi que je me suis trompe,
Que rien ne peut nous arriver.

Foulard et bruit de soie,
Je l'imagine tout contre toi,
Puisqu'elle a dj pris ma place,
Oh ne me mens pas,
Ne joue pas avec les mots,
Chacun de tes gestes sur ma peau,
Ma peau.

Oui j'ai envie de savoir quand tu t'endors,
Qui vole mes rves sans remord,
Je peux sentir son parfum qui trane encore,
J'entends le bruit de ses pas qui rsonne en moi.

N'oublie pas ce qu'on tait,
Non ne laisse pas s'effacer,
Le temps d'avant, nos belles histoires, tous ces instants,
Est-ce qu'il faut vivre loin de a,
Est-ce qu'il nous faut arrter l.

'So tell me’
Oui j'ai envie de savoir quand tu t'endors,
Qui vole mes rves sans remord,
Je peux sentir son parfum qui trane encore,
J'entends le bruit de ses pas qui rsonne dj,
J'entends le son de sa voix qui rsonne en moi
Qui rsonne en moi.

. . .



Que le temps se suspende,
Qu'il m'oublie un instant,
Simplement qu'il attende,
Que passent nos vies lentement.

Que les dieux y consentent,
Ne sachent rien de moi,
Et simplement se contentent
De mon amour et de ma foi.

Puisqu'il faut prier quand on aime,
Que la vie reste ainsi,
Et qu'elle se promne
Loin des ombres et loin du bruit.
Puisqu'il faut prier quand on aime,
Que le temps reste ici,
Je le ferai sans peine,
Puisqu'aimer est ce prix.

Que l'histoire se dtourne,
Ou qu'elle regarde ailleurs,
Que cette roue qui tourne
Nous oublie dans ce bonheur.

Que les cieux me pardonnent
D'implorer tant pour moi,
Et de n'tre qu'en somme,
Qu'une femme d'ici-bas.

Mais s'il faut prier quand on aime,
Que la vie reste ainsi,
Et qu'elle se promne
Loin des ombres et loin du bruit.

Je tremble tant je vous aime,
Bien au-del de tout,
Et chaque nuit je rve,
Dans mes dsirs les plus fous,
Qu' tant prier le ciel,
Suppliant genoux,
Dieu me garde le sel,
D'une vie finir avec vous.

. . .



Il y a de jours comme a,
O les femmes sont belles,
O le soleil d'automne
Illumine le ciel,

Il y a des jours comme a,
O tout est vertical,
Des jours o l'on pardonne,
O tout semble normal.

Lorsque le temps drive en douceur,
On sait que tout arrive l'heure.

Il y a des jours
A dire je t'aime,
A faire l'amour
L'aprs-midi,
Il y a des jours
Comme des pomes
Que l'on aurait soi-mme crit...
Il y a des jours
O l'on se lve avec l'envie de partager,
Des jours o on se dit tout ce qu'on rve,
Il y a des jours tout donner.

Il y a des histoires
Qu'on n'a pas oublies,
Il suffit d'un regard
Pour les rssusciter,

On ne demande rien de plus que l'indicible,
Des jours o l'on sait bien que tout devient possible,
S'asseoir la terrasse d'un caf,
Pour voir le temps qui passe tout prs.

Il y a des jours
A dire je t'aime,
A faire l'amour
L'aprs-midi,
Il y a des jours
Comme des pomes
Que l'on aurait soi-mme crit...
Il y a des jours
O l'on se lve avec l'envie de partager, tout ce qu'on vit, tout ce qu'on rve,

J'ai tant de jours te donner.

. . .



J'ai vu les hommes, j'ai vu la Terre,
J'ai vu grandir le monde... ses frontires.
Juste un alibi ; construire mieux qu'hier,
On a tout dtruit, pour construire mieux l'enfer.

S'il faut voir dans notre univers,
O la lumire devient matire noire,
Dans l'histoire des erreurs d'hier,
C'est chaque jour aussi qui propose la vie,
Un autre univers.

J'ai vu les femmes, les yeux dans les armes,
J'ai vu leur peur condamner leur coeur, condamner leur me.
Juste une tincelle, on teint la flamme,
Un temps sur terre, pourquoi pas se faire un concours de drames.

S'il faut voir dans notre univers,
O la lumire devient matire noire,
On rfre souvent l'histoire,
O c'est la mort souvent qui propose un instant,
Un autre univers.

Je peux tout entendre,
Je peux tout comprendre,
Je peux dire "oui-oui" aux beaux discours,
Oui mais voil messieurs,
Juste un petit aveu,
Les yeux dans les yeux,
Quelle chandelle vaut quel jeu?

S'il faut voir dans notre univers,
O la lumire devient matire noire,
Les toiles finissent en poussire,
Et c'est leur mort aussi qui propose la vie,
Un autre univers.

. . .


(en duo avec Henri Salvador)

Je suis pass par hasard,
J'avais envie de revoir,
Vous et vos yeux d'ange
Qui s'arrangent me faire battre le coeur.

(Tina)
Vous qui savez les sourires,
Tous les mots qu'il faut se dire,
Ouvrez-moi la porte et peu m'importera le temps qu'il faudra.

(Henri & Tina)
Dessinez-moi le ciel

(Henri)
Et puis aprs,

(Henri & Tina)
Dans un coin, du soleil

(Henri)
Et puis aprs,

(Tina)
Apprenez-moi me rire de tout,
Mme des loups,

(Henri)
Et avant tout,

(Tina)
Dessinez-moi le monde,

(Henri)
Et puis aprs,

(Tina)
Valsez-moi dans vos rondes,

(Henri)
Et puis aprs

(Tina)
Apprenez-moi me rire de tout, tout prs de vous,

(Henri)
Et avant tout,

(Tina)
A vivre pleinement, rester une enfant,
Prenez-moi sous votre aile,
Et faisons-nous la belle,
La belle histoire qu'on appelle la vie.

. . .



Aux terres lointaines,
J'ai prfr ton dcor dans l'univers,
Et quand tu m'entranes,
Aux quatre coins de ton corps,
Ce que j'espre, c'est que la nuit soit ternelle.

Mais si le monde veut changer,
Changeons le monde,
Tous les jours tous les deux,
Mais si la vie doit changer,
Changeons la vie,
Tous les jours encore un peu.

Les larmes d'hier
Que j'ai laisses derrire moi
Ne sont plus rien,
Je sais que ma terre
Est aujourd'hui sous tes pas,
Et c'est le chemin que je suivais depuis toujours.

Mais si le monde veut changer,
Changeons le monde,
Tous les jours tous les deux,
Mais si la vie doit changer,
Changeons la vie,
Tous les jours encore un peu.

Changer comme on avance,
Changer pour une chance,
Changer pour nous deux.

Mais si le monde veut changer,
Changeons le monde,
Tous les jours tous les deux,
Mais si la vie doit changer,
Changeons la vie,
Tous les jours encore un peu.

Changeons la vie tous les deux.

. . .



Si j'avais le temps,
Je viendrais te donner
Mes heures.
Et si j'avais le temps,
Je viendrais t'emmener,
Ailleurs,
Je te prendrais dans mes bras,
Je t'accrocherais moi, mon coeur,
Mais si seulement j'avais le choix
D'tre ailleurs que loin de toi,
Ailleurs,

Oh mon Ange,
Je passerais mes nuits
Autour de toi, mon Ange,
Je viendrais te porter.

Si je savais comment
Te protger vraiment,
Dans un monde l'envers,
Dans un monde refaire,
Si jamais la vie
Te ramne ici,
J'effacerais tes colres,
Je ferais tout pour te plaire.

Si je prends le temps
De m'envoler vraiment
Autour de toi mon Ange,
Je peux passer ma vie,
Oh mon Ange,
Je pourrais te porter,

Si je savais comment
Te protger vraiment,
Dans un monde l'envers,
Dans un monde refaire,
S'il te prend l'envie
De venir jusqu'ici,
J'etoufferais mes colres,
Je ferais tout pour te plaire.
Si jamais la pluie te dpose ici,
Je te promets la lumire,
Je donnerais tout pour te plaire.

Qu'est-ce que c'est le temps,
Si j'ai l'envie vraiment.

. . .



Sous le vent et le ciel de trane
Se mlangent colre et violence,
Aussi loin que je me souvienne,
Je vois des joies et des souffrances,
L'envie d'chapper tous mes silences,
De ne pas rester sans une autre esprance.

Jamais non jamais je ne me laisse faire,
Je livre mes combats,
Jamais je ne reste terre,
Au quotidien quand je me bats,
Moi, j'ai mes peines et j'ai ma foi.

C'est en vain que les maux reviennent
Je suis le chemin d'o renat la chance,
Maintenant entre terre et mienne,
Entre les distances c'est l que j'avance,
L'envie de donner sans une rcompense,
L'envie de crier pour une autre sentence.

Jamais non jamais je ne me laisse faire,
Je livre mes combats,
Jamais je ne reste terre,
Au quotidien quand je me bats,
Moi, j'ai mes peines et j'ai ma foi.

Jamais mme en prires,
Je n'attends rien et je suis l,
J'oublie mes peines mais pas ma foi.

. . .



Je veux savoir pourquoi, pour qui, comment,
Pouvoir donner un sens ma vie,
Un jour,
Trouver la vrit,
L'tincelle,
Grandir
Et bousculer le ciel,

A chaque pas,
Il y a ces questions qui dansent,
La rponse est l,
C'est comme un cri d'urgence.

Aimer la vie simplement,
Je voudrais prendre le temps,
Voir le soleil sur ta peau,
Simple dsir, simples mots.

Regarde,
Et arrache tous ces grains de bonheur,
Juste apprcier l'instant,
Avec son coeur.

Aimer la vie simplement
Et caresser la pluie, le vent,
Voir le soleil sur ta peau,
Simple dsir, simples mots.

Aimer la vie autrement,
Laissez-moi prendre le temps,
Voir la misre de plus haut,
L'amour comme une seconde peau,
Simple dsir, simples mots.

Je veux

. . .


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