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Shy'm
Shy'm


Background information
Birth name Tamara Marthe
Born November 28, 1985
Origin Trappes, France
Genre(s) Contemporary R&B
Pop
Hip-hop
Years active 2005—present
Label(s) Up Records
Warner Music Group
Associated acts K-Maro
Website Website



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Shy'm Album


Reflets (09/30/2008)
09/30/2008
1.
La Première Fois (The First Time)
2.
Step Back (feat. Odessa Thornhill)
3.
Tout Est Dit (Everything Is Said)
4.
Faut Recommencer (Starting Again)
5.
Garde Tout (Look After Everything)
6.
Ma Peur (My Fear)
7.
Si Tu Savais (If You Knew)
8.
Je Prends Sur Moi (I Take On Me)
9.
Nulle Part Ailleurs (Nowhere Else)
10.
L'Unique (The Unique)
11.
Pas Pour Moi (Not For Me)
12.
A L'abri (Under Cover; feat. K-Maro)
13.
On N'a Pas Tout Notre Temps (We Don't All Have Our Time)
14.
. . .


Ton regard sur moi
Tell’ment doux et chaud
Te sentir contre moi
Me fait perdre les mots
Savourer l'instant
Apprécier le moment
Penser au présent
Te caresser tendrement
Oublions nos manies, nos habitudes
Partons loin
Laissons à la folie sa latitude
Ça m’plait bien
Oser comme personne n'ose
Abandonner la prose
Ne dis rien en silence
Au fond de la dernière danse

[Refrain]
Tell’ment beau le souvenir
De nos premiers pas
Tell’ment chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça

Ton parfum sur moi
Me défilent tant d'images
Mon carnet sur toi
N'a bientôt plus de pages
Trop de phrases, trop de mots
Certains en rouge, en mémo
Des dates en vrac
Des soirs qui marquent
Où on s'est donné en cadeau
L'envie de toi, l'envie de nous
L'envie de partager
Ces moments seuls
Où tard le soir à nous je rêvais
Aux moindres instants
La douceur des moments
Le désir intense
La mémoire d'une dernière danse

[Refrain]
Tell’ment beau le souvenir
De nos premiers pas
Tell’ment chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça

La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça

Oublions nos manies, nos habitudes
Partons loin
Laissons à la folie sa latitude
Ça m’plait bien
Oser comme personne n'ose
Abandonner la prose
Ne dis rien en silence
Au fond de la dernière danse

[Refrain]
Tell’ment beau le souvenir
De nos premiers pas
Tell’ment chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça

[Refrain]
Tell’ment beau le souvenir
De nos premiers pas
Tell’ment chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)

La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça.

. . .


(feat. Odessa Thornhill)

Bien dans ma peau en contrôle j’ai les idées claires
Pas besoin de changer de rôle pour changer d’air
Je sais ce que j’ai à faire
Tiens-toi c’est parti parti parti c’est parti
J’ai mes doutes
Parfois c’est clair
Je les ai croisés sur ma route
Je les ai gardés derrière
J’ai pris le temps de comprendre avant de me jeter
Dans ma lancée me balancer balancer balancer

Step back ouh oh
Step back mmmm
Step back step back
Let me do what I do

Step back ouh oh
Step back mmmm
Step back step back
Let me do what I do

Rien ne vaut le saut que l’on peut faire vers son idéal
Vivre au creux d’un rêve
Et se sentir normal
Oh il n’y a pas de trêve rien n’est jamais trop beau
Je redoute les flashes des éclairs
Pourtant j’en ai croisés sur ma route
Je les ai laissés derrière
J’ai pris le temps de comprendre en avant
De me balancer me jeter dans ma lancée ma lancée ma lancée

Step back ouh oh
Step back mmmm
Step back step back
Let me do what I do

Step back ouh oh
Step back mmmm
Step back step back
Let me do what I do

. . .


Je laisse une trace sur papier
C’est quelques lignes d’un visage que je dessine
J’te fais une place sans trop parler
Et je m’inspire de nous, j’imagine

Et puis je laisse au hasard quelques mots pour toi
Comme pour marquer mon passage
Dire que je pensais à toi…

Tout est dit sur le chemin des aveux
On s’est juré le meilleur de nous deux
On s’est ancré au large des souvenirs
Pour ne jamais oublier le parfum de nos Etés

Tout est dit sur le chemin des aveux
On s’est juré le meilleur de nous deux
On s’est ancré au large des souvenirs
Pour ne jamais oublier le parfum de nos Etés

Tout est dit

Je viens te voir sans trop passer
Comme quelques lignes d’une histoire
Que l’on devine
Comme quand je t’enlace sans insister
Que je nous protège de tout ce qu’ils imaginent

Et puis je laisse au hasard quelques mots pour toi
Comme pour marquer mon passage
Dire que je pensais à toi…

Tout est dit sur le chemin des aveux
On s’est juré le meilleur de nous deux
On s’est ancré au large des souvenirs
Pour ne jamais oublier le parfum de nos Etés

Tout est dit sur le chemin des aveux
On s’est juré le meilleur de nous deux
On s’est ancré au large des souvenirs
Pour ne jamais oublier le parfum de nos Etés

Tout est dit

Tout est dit…
Sans trop passer, sans trop parler
Tout est dit, c’était écrit
Tout est dit…
Sans trop passer, sans trop parler

Tout est dit sur le chemin des aveux
On s’est juré le meilleur de nous deux
On s’est ancré au large des souvenirs
Pour ne jamais oublier le parfum de nos Etés

Tout est dit sur le chemin des aveux
On s’est juré le meilleur de nous deux
On s’est ancré au large des souvenirs
Pour ne jamais oublier le parfum de nos Etés

Tout est dit

. . .


Confier, raconter
Pour moi deux mots difficiles à verbaliser
Mes histoires, mes mémoires
Mon jardin secret où je suis seule à marcher
Et si j’en parle un jour c’est au nom de l’amour
C’est si peu arrivé au nom de l’amitié
J’étais pourtant si sûre que tu m’écoutais
J’aurais dû me méfier

Je t’ai donné le meilleur de moi-même
Je t’ai confié mes secrets, mes problèmes
Je t’ai parlé au nom de l’amitié
Tant pis c’est fait il faut recommencer

Je t’ai donné le meilleur de moi-même
Je t’ai confié mes secrets, mes problèmes
Je t’ai parlé au nom de l’amitié
Tant pis c’est fait il faut recommencer

Honnête, tellement vrai
C’est fou comme un masque sur un visage peut coller
Faut être tellement prêt
Pour voir qu’en fait il n’y a qu’une âme désolée
Et si les mots ne passent plus alors gardons-les
Si nos chemins ne se croisent plus
Alors regardons-les, j’étais pourtant si sûre qu’on se comprenait
J’aurais dû me méfier

Je t’ai donné le meilleur de moi-même
Je t’ai confié mes secrets, mes problèmes
Je t’ai parlé au nom de l’amitié
Tant pis c’est fait il faut recommencer

Je t’ai donné le meilleur de moi-même
Je t’ai confié mes secrets, mes problèmes
Je t’ai parlé au nom de l’amitié
Tant pis c’est fait il faut recommencer

. . .


Je freine tout si je crois que rien ne me conviendra
Que rien ne me ressemblera
Je me méfie quand je vois que tu ne vis que pour toi
Que c’est ce genre d’histoires-là

Ne me fais pas les coups que tu aurais faits
A une autre pour moi
Qui n’aurait pas osé parler
Non ne joue pas, j’ai comme un don pour ça tu sais
Je reste loin de ces histoires-là
Loin de ces histoires-là…

Tes phases du style je m’excuse
Désolé je l’assume, j’ai eu tord
Je ne le ferai plus
Garde-les, garde-les
Tes phrases perdues qui injurent
Tes crises à faire trembler les murs
Tes pseudos pardons qui rassurent

Garde-les, garde-les
Tes phases garde-les
Tes histoires garde-les
Garde tout, garde tout
Tes mots garde-les
Tes conneries garde-les
Garde tout, garde tout

Si d’autres avant moi l’ont cru
Si c’est tout ce que tu as connu
Si ces moments-là t’ont plu
Garde-les, garde-les
Mais sache bien qu’avec moi
Il n’y aura rien de tout ça
Je hais ces histoires-là…

Ne me fais pas les coups que tu aurais faits
A une autre pour moi
Qui n’aurait pas osé parler
Non ne joue pas, j’ai comme un don pour ça tu sais
Je reste loin de ces histoires-là
Loin de ces histoires-là…

Tes phases du style je m’excuse
Désolé je l’assume, j’ai eu tord
Je ne le ferai plus
Garde-les, garde-les
Tes phrases perdues qui injurent
Tes crises à faire trembler les murs
Tes pseudos pardons qui rassurent

Garde-les, garde-les
Tes phases garde-les
Tes histoires garde-les
Garde tout, garde tout
Tes mots garde-les
Tes conneries garde-les
Garde tout, garde tout

. . .


Livrée à moi-même comme seule au monde
Au milieu d’un tourbillon
Comme un bruit qui gronde
Je cherche mes petites voix d’anges pour me parler
Laissée à moi-même en quelques secondes
Alors qu’autour de moi
Il y a tellement de monde
Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive
Est-ce un problème ?

Mais quand le rideau s’ouvrira
Tout ira beaucoup mieux peut-être
Et quand le cŒur l’emportera
Je brillerai de tout mon être ohohoh

Je fais les cent pas dans mon carré
J’ai le trac je voudrais tellement être ailleurs
Je me suis pourtant tellement parlée
Pré-conditionnée à y aller, c’est l’heure
J’ai cherché tous les moyens
Emprunter tous les chemins pour vaincre ma peur
Il m’a dit « Shy’M Shy’M baby take your time »
Tu le connais par cŒur

Chercher mes mots, chercher ma voix
M’étendre sur le dos, n’y croyant pas
Sentir le bouquet de roses une dernière fois
Revenir à moi-même en quelques secondes
Franchir le seuil de la porte vers un autre monde
Un rendez-vous qui m’attend
J’y serai

Mais quand le rideau s’ouvrira
Tout ira beaucoup mieux peut-être
Et quand le cŒur l’emportera
Je brillerai de tout mon être ohohoh

Je fais les cent pas dans mon carré
J’ai le trac je voudrais tellement être ailleurs
Je me suis pourtant tellement parlée
Pré-conditionnée à y aller, c’est l’heure
J’ai cherché tous les moyens
Emprunter tous les chemins pour vaincre ma peur
Il m’a dit « Shy’M Shy’M baby take your time »
Tu le connais par cŒur

. . .


Oh ton regard sur moi qui se pose et m’entraîne
Sur ton doux visage je devine les mots, les poèmes
Et pas besoin de parler, tout est écrit dans nos yeux
Et ça me fait rêver ne serait-ce que de dire nous deux

Me vois-tu comme je te vois ?
Me sens-tu comme je te sens ?
Faudrait surtout rien gâcher

Baby si tu savais comme tu me fais du bien
Quand on a quelques minutes volées au quotidien
Je sais la chance qui nous est donnée de voir si loin
De partager la route, ton bonheur est le mien
Oh oh oh, oh oh oh

Oh cette image de toi qui me suit où je vais
Comme une gravure marquée pour ne pas oublier
Le parfum des mémoires
Quand tu es loin de mes yeux
L’envie de te revoir
De retrouver la vie à deux

Me vois-tu comme je te vois ?
Me sens-tu comme je te sens ?
Faudrait surtout rien gâcher

Baby si tu savais comme tu me fais du bien
Quand on a quelques minutes volées au quotidien
Je sais la chance qui nous est donnée de voir si loin
De partager la route, ton bonheur est le mien
Oh oh oh, oh oh oh

Me vois-tu comme je te vois ?
Me sens-tu comme je te sens ?
Faudrait surtout rien gâcher

Baby si tu savais comme tu me fais du bien
Quand on a quelques minutes volées au quotidien
Je sais la chance qui nous est donnée de voir si loin
De partager la route, ton bonheur est le mien
Oh oh oh, oh oh oh

. . .


Paris sous un ciel gris, sombres soucis
Tombée dans les bras d’une nuit d’Automne
Qui se demande si je serai la même
Quand j’en aurais fini avec ma peine
Changer de décors me dirait où j’en suis
Je me sentirais mieux aussi
Changer d’air, un vent de réconfort
Me permettrait d’y voir plus clair
La force pour me refaire

Je prends sur moi
Les jours où rien ne va
Quand l’impression est celle d’un cŒur qui bat
Sans bruit, sans vie, sans voix
Je prends sur moi
Les jours où rien ne va
Et dire qu’on a qu’une seule vie devant soi…
Je prends sur moi
Sans prix, sans loi

Et tant pis si parfois je fuis
Le mauvais soir
Qui a maquillé mes peines
Sous un sourire qui ne me quitte
Que si
Ce n’est plus la peine
De chercher à se mentir à soi-même
Il faut redoubler d’efforts pour leur montrer
Qui je suis, aller au bout de mes envies
Etre celle qui se bat toujours plus fort
Défendre mes idéaux à tous prix
C’est l’histoire de ma vie

Je prends sur moi
Les jours où rien ne va
Quand l’impression est celle d’un cŒur qui bat
Sans bruit, sans vie, sans voix
Je prends sur moi
Les jours où rien ne va
Et dire qu’on a qu’une seule vie devant soi…
Je prends sur moi
Sans prix, sans loi

. . .


Parfois le silence est mieux que tout
Le fruit de la patience est plus que doux
Te regarder des heures et ne se voir nulle part ailleurs
Qu’ici ensemble le temps devant nous
Parfois l’inconscience est maître de nous
Laisser l’indifférence nous guider jusqu’au bout
Jusqu’à la lumière du jour, jusqu’au sommet de la tour
Ici, ensemble, le temps devant nous

Pas de beaux paysages, ni de crépuscule
Je ne me vois que dans tes bras ce soir
Pas les montagnes du Nord, ni les mers du Sud
Je ne me vois nulle par ailleurs ce soir
Aller trop vite, aller trop loin
Chanter sans rythme et parler pour rien
Combien l’ont fait et se sont perdus
Combien nous l’ont déjà dit, on ne l’aurait jamais cru
Mais je n’ai peur de rien quand je sens ton souffle fort
Non je ne crains rien sous la chaleur de ton corps
Dans le creux de tes bras, comme une enfant, je m’endors
Je n’ai peur de rien, peur, peur de rien non

Pas de beaux paysages, ni de crépuscule
Je ne me vois que dans tes bras ce soir
Pas les montagnes du Nord, ni les mers du Sud
Je ne me vois nulle par ailleurs ce soir

. . .


Un soir de plus où je me plonge
Loin dans mes souvenirs
Le temps de ma tendre enfance
L’éclat de ton sourire
Aujourd’hui devenue femme
Je pense à ces années
A tout ce que tu m’as appris
A commencer par aimer

Tu es mon ange, ma fée, mes sourires, mes Etés
Mon unique, ma vie, mes rêves éveillés
Tu as mes doutes, mes larmes, mes peurs inavouées
Il n’y a que les saisons qui changent
Toujours le même parfum d’un ange

Tu ne sis pas à quel point
Je suis fière d’être ta fille
Si ce soir je te chante ce refrain
C’set que tes yeux sont le reflet de ma vie
Embaumée par ce parfum d’amour
Diffusé à chaque instant
L’essence de nos souvenirs
M’enivre encore, je le sens

Tu es mon ange, ma fée, mes sourires, mes Etés
Mon unique, ma vie, mes rêves éveillés
Tu as mes doutes, mes larmes, mes peurs inavouées
Il n’y a que les saisons qui changent
Toujours le même parfum d’un ange

. . .


Parfois on se laisse tromper par nos ennuis
Parfois on se laisse démasquer par l’envie
On voudrait pourtant revenir à soi-même
Contempler le temps qui passe et apprécier ceux qui nous aiment

Parfois on se dit il a raison quand il a tort
Parfois on dit c’est pas grave, je l’aime encore
Et puis doucement on réalise
Que c’est le début de la fin et c’est l’heure de faire ses valises

Parfois j’ai trop de mots
Parfois j’ai plus de voix
Souvent je crois tellement
En ce qui n’existe pas
Pour m’inventer un monde
Où l’on serait toi et moi
Peut-être un peu trop beau
Moi comme-ci et toi comme-ça

Et je m’en veux d’y avoir cru, d’y avoir pensé
Et je t’en veux d’y avoir cru sans l’imaginer
J’aurais dû le voir, oh j’aurais pu le deviner
Que c’était pas pour moi, c’et pas pour moi

Parfois on se laisse entraîner par la vie
Parfois on se blesse à force de croire trop fort en lui
On m’avait dit qu’il n’y a rien de plus beau
Que la vérité des larmes, la sincérité des mots

J’y ai cru et je n’aurais jamais dû baby
Je ne t’aurais jamais vu avec une autre lady
La vie m’a gardé des moments
Pour me redessiner plus forte et apprécier mon présent

Parfois j’ai trop de mots
Parfois j’ai plus de voix
Souvent je crois tellement
En ce qui n’existe pas
Pour m’inventer un monde
Où l’on serait toi et moi
Peut-être un peu trop beau
Moi comme-ci et toi comme-ça

. . .


(feat. K.Maro)

I know you gonna flight high ‘cause sky is no limit
I know you gonna pass by
And they gonna be like shit
Uh hun it’s her and you can talk again
I got the hottest chick in the game wearing my chain
This shit is a robbery
We locked down the lobby
Your bitch is no competition
She’s runninglow on battery
My baby Shy’M just go get them again
And let them all say « oops, she did it again »

Si tu ne sais pas qui je suis
Si tu ne vois toujours pas que si tu tombes, je te suis
Ils n’auront qu’à venir nous chercher baby
T’inquiète, elle a le dos large ta lady

S’ils veulent savoir si je fuis
Qu’ils ramènent leurs histoires, leurs flashes par-ici
Trop complices baby
Tu peux compter sur moi

Mais ne crois pas que je suis de celles
Qui ne s’occupent que d’être belles
Fragiles et superficielles
Et crois-moi que je peux être celle
Qui tient debout tout près de toi
Complice comme au combat, comme un soldat
Quand…

Il y a des flashes d’éclairs dans le ciel
Quand passent les sentinelles
Le ciel s’assombrit, viens te mettre à l’abri
Mais il y a des flashes d’éclairs dans le ciel
Quand passent les hirondelles
On n’ira pas ailleurs, on se réserve le meilleur

Personne ne peut contrer
Deux âmes aussi complices, fortes des deux côtés
Fais l’un pour l’autre
Et qui marchent au même pas, sans se jeter la faute

Personne ne peut parler
Quand dans le respect des autres on décide de s’écarter
Trop complices baby
Je peux compter sur toi

Mais ne crois pas que je suis de celles
Qui ne s’occupent que d’être belles
Fragiles et superficielles
Et crois-moi que je peux être celle
Qui tient debout tout près de toi
Complice comme au combat, comme un soldat
Quand…

Il y a des flashes d’éclairs dans le ciel
Quand passent les sentinelles
Le ciel s’assombrit, viens te mettre à l’abri
Mais il y a des flashes d’éclairs dans le ciel
Quand passent les hirondelles
On n’ira pas ailleurs, on se réserve le meilleur

. . .


Aller au creux des petits mots
Chercher au fond des propos
Comme si rien n’était trop beau
Et parle-moi de vérité
Dis rien si c’est faux
Redessiner un défaut
Revoir une phrase au tableau
Sortir de l’ombre, lui tourner le dos

On n’a pas tout notre temps
Pour savoir s’apprivoiser tu sais
Si c’est pas maintenant
La vie court parfois je sais
On n’a pas tout notre temps
Pour se dire "je t’aime tu m’manques" tu sais
Si c’est pas maintenant… Ha ha ha ha

Regarder au loin devant
Parler à l’inconscient
Demander l’heure au présent
Et passer si c’est pas la peine de s’arrêter longtemps
Combien de fois on s’est perdu au fond de nos problèmes ?
Combien de fois on s’est noyé dans une goutte de peine ? De peine
Et je peine à savoir que le temps qui passe un jour s’arrête

On n’a pas tout notre temps
Pour savoir s’apprivoiser tu sais
Si c’est pas maintenant
La vie court parfois je sais
On n’a pas tout notre temps
Pour se dire "je t’aime tu m’manques" tu sais
Si c’est pas maintenant… Ha ha ha ha

Ha ha ha ha

On n’a pas tout notre temps
Pour savoir s’apprivoiser tu sais
Si c’est pas maintenant
La vie court parfois je sais
On n’a pas tout notre temps
Pour se dire "je t’aime tu m’manques" tu sais
Si c’est pas maintenant… Ha ha ha ha.

. . .


Ton regard sur moi
Tell’ment doux et chaud
Te sentir contre moi
Me fait perdre les mots
Savourer l'instant
Apprécier le moment
Penser au présent
Te caresser tendrement
Oublions nos manies, nos habitudes
Partons loin
Laissons à la folie sa latitude
Ça m’plait bien
Oser comme personne n'ose
Abandonner la prose
Ne dis rien en silence
Au fond de la dernière danse

[Refrain]
Tell’ment beau le souvenir
De nos premiers pas
Tell’ment chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça

Ton parfum sur moi
Me défilent tant d'images
Mon carnet sur toi
N'a bientôt plus de pages
Trop de phrases, trop de mots
Certains en rouge, en mémo
Des dates en vrac
Des soirs qui marquent
Où on s'est donné en cadeau
L'envie de toi, l'envie de nous
L'envie de partager
Ces moments seuls
Où tard le soir à nous je rêvais
Aux moindres instants
La douceur des moments
Le désir intense
La mémoire d'une dernière danse

[Refrain]
Tell’ment beau le souvenir
De nos premiers pas
Tell’ment chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça

La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça

Oublions nos manies, nos habitudes
Partons loin
Laissons à la folie sa latitude
Ça m’plait bien
Oser comme personne n'ose
Abandonner la prose
Ne dis rien en silence
Au fond de la dernière danse

[Refrain]
Tell’ment beau le souvenir
De nos premiers pas
Tell’ment chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça

[Refrain]
Tell’ment beau le souvenir
De nos premiers pas
Tell’ment chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)

La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça (comme ça, comme ça)
La première fois comme ça.

. . .


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