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Shy'm
Shy'm


Background information
Birth name Tamara Marthe
Born November 28, 1985
Origin Trappes, France
Genre(s) Contemporary R&B
Pop
Hip-hop
Years active 2005—present
Label(s) Up Records
Warner Music Group
Associated acts K-Maro
Website Website



Music World  →  Lyrics  →  S  →  Shy'm  →  Albums  →  Prendre l'air

Shy'm Album


Prendre l'air (06/14/2010)
06/14/2010
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Je sais que je ne suis pas toujours facile
Et je sais que je te rends la vie parfois difficile
Je sais que c’est dur c’est dur d’être toi
Mais je sais qu’avant c’était pas comme ça

Hey hey qu’est ce qu’il y a
Vas-y crie un peu
Mais dis-moi
Mais qu’est-ce que t’as à vouloir m'tuer les yeux
Serais-tu en train de perdre le nord
Crie de tout ton corps
Je sais je te rends fou
Mais ça te va plutôt bien hein hein

Je sais, que t’en as parfois par dessus la tête
Et je sais, que je pourrais des fois t’épargner peut-être
Je sais, que tu m’aimes, tu m’aimes comme ça
Je sais, que je te nuis Oh Baby!

Hey hey qu’est ce qu’il y a
Vas-y crie un peu
Mais dis-moi
Mais qu’est ce que t’as à vouloir m'tuer les yeux
Serais-tu en train de perdre le nord
Crie de tout ton corps
Je sais je te rends fou
Mais ça te va plutôt bien hein hein

Mais dis-moi toi
Si loin, si fort cet homme que personne n'atteint
Ce coeur de pierre, ces bras de fer qui nous soulèvent d’une main
Qu’est-ce qu’il y a?
Mais qu’est-ce qu’il y a? Baby!
Qu’est-ce que t’as?
Mais qu’est-ce qu’il y a?

Hey hey qu’est ce qu’il y a
Vas-y crie un peu
Mais dis-moi
Mais qu’est ce que t’as à vouloir m'tuer les yeux
Serais-tu en train de perdre le nord
Crie de tout ton corps
Je sais je te rends fou
Mais ça te va plutôt bien hein hein

. . .


Oh ces yeux qui me dévorent
La rage au ventre
Ma colère est palpable
Glissante est la pente
Oh ce doigt qui me pointe
Quand plus rien ne va
On sait très bien comment ça finira

Mais qui de nous
Fera le premier pas
Parfois j’ai peur de nous
Quand on est aussi bas
Quand un rien enflamme tout
Me myself par-dessus tout
On ne lâche pas,lâche pas,lâche pas

Y’a comme une étincelle
Dans le ciel ce soir
Je sens trembler la terre
L’apocalypse c'est ce soir
On semble partis pour la guerre
Partis pour la guerre
On devrait prendre le temps de se calmer

Y’a comme une étincelle
Dans le ciel ce soir
Je sens trembler la terre
L’apocalypse c'est ce soir
On semble partis pour la guerre
Partis pour la guerre
On devrait prendre le temps de se calmer, prendre le temps
D’aller prendre l’air,
D’aller prendre l’air
D’aller prendre l’ai-ai-ai-air-air, l’ai-ai-ai-ai-ai-air

Oh ces mots qui me reviennent
A ces rendez vous
Qui sera le plus mesquin
Qui sera le plus fou
Oh ces veines qui enflent pour
Cracher le venin
On sait pourtant que ça ne mène a rien

Mais qui de nous
Fera le premier pas
Parfois j’ai peur de nous
Quand on est aussi bas
Quand un rien enflamme tout
Me myself par dessus tout
On ne lâche pas, lâche pas,lâche pas

Y’a comme une étincelle
Dans le ciel ce soir
Je sens trembler la terre
L’apocalypse c'est ce soir
On semble partis pour la guerre
Partis pour la guerre
On devrait prendre le temps de se calmer

Y’a comme une étincelle
Dans le ciel ce soir
Je sens trembler la terre
L’apocalypse c'est ce soir
On semble partis pour la guerre
Partis pour la guerre
On devrait prendre le temps de se calmer, prendre le temps
D’aller prendre l’air,D’aller prendre l’air
D’aller prendre l’ai-ai-ai-air-air, l’ai-ai-ai-ai-ai-air

On devrait prendre le temps de se calmer

Y’a comme une étincelle
Dans le ciel ce soir
Je sens trembler la terre
L’apocalypse c'est ce soir
On semble partis pour la guerre
Partis pour la guerre
On devrait prendre le temps de se calmer

Y’a comme une étincelle
Dans le ciel ce soir
Je sens trembler la terre
L’apocalypse c'est ce soir
On semble partis pour la guerre
Partis pour la guerre
On devrait prendre le temps de se calmer, prendre le temps
D’aller prendre l’air

. . .


Je n’ai aucune envie de dire
Ce que je ne pense pas
Aucune envie de fuir
Ce que je ne vois pas
Dis-moi si on ne devrait pas tous être comme ça
Suis moi je t’emmène là où le fou es roi

Dans ce grand cirque la comédie ne me changera pas
Je n’ai jamais eu peur de devoir tourner le dos
Et dans ce bal, les masques, les clowns ne m’impressionnent pas
Je peux jouer s’il le faut

Je suis moi, je suis moi, je suis moi
Oh dans tous mes états
Quoi qu’on en dise
Je suis moi, je suis moi, je suis moi
Oh dans tous mes états
Quoi qu’on en dise
Je suis moi

Plus comme elle, moins comme celle-ci
Au paradis des références t’es plutôt celle-ci
Le rôle te va a merveille
Enfile ton costume
Sois simplement belle
Souris, assume

Dans ce grand cirque la comédie ne me changera pas
Je n’ai jamais eu peur de devoir tourner le dos
Et dans ce bal, les masques les clowns ne m’impressionnent pas
Je peux jouer s’il le faut

Je suis moi, je suis moi, je suis moi
Oh dans tous mes états
Quoi qu’on en dise
Je suis moi, je suis moi, je suis moi
Oh dans tous mes états
Quoi qu’on en dise
Je suis moi

Je suis moi, je suis moi, je suis moi
Oh dans tous mes états
Quoi qu’on en dise
Je suis moi, je suis moi, je suis moi
Oh dans tous mes états
Quoi qu’on en dise
Je suis moi...

. . .


Vivre à cent à l'heure, tout passe comme dans un film
Ne plus voir passer les heures à marcher sur un fil
C'est Me Myself et Moi, égoïste malgré moi
Mais attrape le tram ou sans toi il ira

Toujours dans le speed, speed
Vouloir toujours rouler plus vite
Traverser ces villes,
des portraits qui s'effacent aussi vite
Jamais dans la file, file
Celle-ci doit toujours rouler plus vite
Au point où ça me gène quelque fois

Et je vois la vie qui défile
Perdu mon équilibre
Paris, Tokyo à mon île,et je cours, cours
Et c'est tellement rare qu'on en profite
Dans ce rôle en soliste
J'oublie mon style et je cours, cours

Et je (tourne tourne) tourne la page
(Tourne tourne) plus une image
(Tourne tourne) que des visages qui tournent, qui tournent en rond
(Tourne tourne) tourne la page
(Tourne tourne) plus une image
(Tourne tourne) que des visages qui tournent, qui tournent en rond

Vivre dans ce tourbillon au rythme infernal
Partout où l'on passe y a comme une ambiance de carnaval
C'est mes mélodies et moi, mes coups de blues et mes tracas
Qui m'accompagnent, me suivent pas à pas
Mais...

Toujours dans le speed, speed
Vouloir toujours rouler plus vite
Traverser ces villes, des portraits qui s'effacent aussi vite
Jamais dans la file, file
Celle-ci doit toujours rouler plus vite
Au point où ça me gène quelque fois

Et je vois la vie qui défile
Perdu mon équilibre
Paris, Tokyo à mon île, je cours, cours
Et c'est tellement rare qu'on en profite
Dans ce rôle en soliste
J'oublie mon speed et je cours, cours

Et je (tourne tourne) tourne la page
(Tourne tourne) plus une image
(Tourne tourne) que des visages qui tournent, qui tournent en rond
(Tourne tourne) tourne la page
(Tourne tourne) plus une image
(Tourne tourne) que des visages qui tournent, qui tournent en rond

(Tourne, tourne, tourne, tourne, je tourne, tourne tourne, je tourne, yeah, yeah...)
Je tourne en rond
(Tourne, tourne, tourne, tourne, je tourne, tourne tourne, je tourne, yeah, yeah...)

Et je (tourne tourne) tourne la page
(Tourne tourne) plus une image
(Tourne tourne) que des visages qui tournent, qui tournent en rond
(Tourne tourne) tourne la page
(Tourne tourne) plus une image
(Tourne tourne) que des visages qui tournent, qui tournent en rond

(Tourne, tourne, tourne, tourne, je tourne, tourne tourne, je tourne, yeah, yeah, yeah...)
(Tourne, tourne, tourne, tourne, je tourne, tourne tourne, je tourne, yeah, yeah...)
Je tourne en rond

. . .


Enlace-moi dans tes bras
Dis-moi petite voix
Chuchote-moi ses contes d’autrefois
Caresse-moi des bouts des doigts
Souviens-toi, raconte-moi
Parle-moi, dis-moi n’importe quoi

Fais-moi rire, sourire
A en échapper une larme de joie
Et fais du feu pour nous réchauffer, j’ai peur que ne revienne le froid
Et si je m‘assoupis un peu reste là

Ne pars pas, ne me laisse pas seule ce soir
Ferme les rideaux un instant, un moment
Pour se deviner dans le noir
Baby, ne pars pas, ne me laisse pas seule ce soir
Tes murmures près de moi
Me rappellent que les anges un jour m’ont parlé de toi

Et chante-moi nos rêves
Sur ces quelques accords de guitare
Et puis couvre-moi de caresses
Romantique paresse
Tue-moi d’un regard
Et ne fais rien comme d’habitude
Qu’elle est belle l’incertitude

Je nous revois
Au temps des premiers soirs
Marchant main dans la main pour être
Traversant un poème
Que j’ai toujours en mémoire
Et si je m‘assoupis un peu, reste-là

Ne pars pas, ne me laisse pas seule ce soir
Ferme les rideaux un instant, un moment
Pour se deviner dans le noir
Baby, ne pars pas, ne me laisse pas seule ce soir
Tes murmures près de moi
Me rappellent que les anges un jour m’ont parlé de toi

Ne pars pas, ne me laisse pas seule ce soir
Ferme les rideaux un instant, un moment
Pour se deviner dans le noir
Baby, ne pars pas, ne me laisse pas seule ce soir
Tes murmures près de moi
Me rappellent que les anges un jour m’ont parlé de toi

. . .


J’entends encore les mots, mots.
Comme sous ma peau
J’en ai froid dans le dos
Quand je sors la tête de l’eau
J’entends encore les mots, mots.
Râler sous ma peau
J’en ai froid dans le dos
Quand je sors la tête de l’eau

Tic, tac
Dans un silence glacial
Tic, tac
Pourtant le rythme est infernal
On salut d’un geste, on se croise, on s’aperçoit
Que des mots à mi voix, des non dit, des lis entre les lignes
Des sous entendus, des messages texte, des regards brefs et sans cesse
Ce vide qui me glaces, me glaces


Il n’y a que les secondes qui passent, passent
Les minutes qui chassent, tous espoirs de pouvoir trouver l’art
Chaque journée qui passe un peu plus, me froisse le cœur

J’entends encore les mots, mots.
Comme sous ma peau
J’en ai froid dans le dos
Quand je sors la tête de l’eau
J’entends encore les mots, mots.
Râler sous ma peau
J’en ai froid dans le dos
Quand je sors la tête de l’eau

J’ai bien vu le numéro
Je n’ai pu prendre l’appel
Je l’ai aperçu de dos
Je n’ai su prendre la peine
Je suis passé trop vite
Je sais ça fait mal de voir comme il a grandi
Je sais et comme d’habitude on dit..
Je sais qu’il sait
Mais j’aurais du lui dire je t’aime quand même

Il n’y a que les secondes qui passent, passent
Les minutes qui chassent, tous espoirs de pouvoir trouver l’art
Chaque journée qui passe un peu plus, me froisse le cœur

J’entends encore les mots, mots.
Comme sous ma peau
J’en ai froid dans le dos
Quand je sors la tête de l’eau
J’entends encore les mots, mots.
Râler sous ma peau
J’en ai froid dans le dos
Quand je sors la tête de l’eau

. . .


En apesanteur
Tout est plus beau de là-haut
Je pourrais y passer des heures
A tournoyer, planer comme un oiseau
En apesanteur
J'ai le coeur léger de te sentir sur ma peau
Le temps fait passer les heures, on est si bien
En apesanteur

Parfois seul un regard suffit
Parfois de nulle part une image surgit
Et je m'empresse de te revoir
Je ne veux plus de nuit seule dans mon lit
Oh oh
Parfois une seule de tes caresses suffit
A m'envoyer si haut dans ce coin de paradis
Où l'on se retrouve...

En apesanteur
Tout est plus beau de là-haut
Je pourrai y passer des heures
A tournoyer, planer comme un oiseau
En apesanteur
J'ai le coeur léger de te sentir sur ma peau
Le temps fait passer les heures, on est si bien
En apesanteur

T'avoir tout près de moi me réchauffe le corps
Mais ça semble si long, mais j'aimerais qu'elle traîne encore
Prisonnière de ce moment mais volontaire si l'on s'évade comme des amants
Oh oh
Complices, l'euphorie me réchauffe le coeur
Se chamailler de plaisir, à se taquiner des heures
Jusqu'à qu'on se retrouve...

En apesanteur
Tout est plus beau de là-haut
Je pourais y passer des heures
A tournoyer, planer comme un oiseau
En apesanteur
J'ai le coeur léger de te sentir sur ma peau
Le temps fait passer les heures, on est si bien
En apesanteur

En apesanteur
Tout est plus beau de là-haut
Je pourais y passer des heures
A tournoyer, planer comme un oiseau
En apesanteur
J'ai le coeur léger de te sentir sur ma peau
Le temps fait passer les heures, on est si bien
En apesanteur

. . .


Cap vers les sables chauds, fier est l'uniforme
Le coeur est sur le drapeau, fonce, tu est un homme
Il n'y a que les faibles qui finisent au carreaux
Tu cacheras ta peur au fond de ton sac à dos
Tu fais partie de l'élite, parmi les meilleurs du monde
Mandaté de justice assis sur les toits du monde
Tu est parti sans rien dire, visage dur et sans doute
Que défendre et servir était écrits, sur ta route

J'ai de mauvaises nouvelles du champ de bataille
On a perdu des hommes, on a perdu des ârmes
Il faudrait qu'on s'en aille, Qu'on s'en aille...
J'ai de mauvaises nouvelles du champ de bataille
Des enfants qui pleurent, des mères qui espèrent des retrouvailles

Tu as la force et le courage, de ne jamais battre en retraite
Tu es si jeune, tu as le bon âge, pour ne pas craindre la bête
Tu as la bouille et le panache, tu es le héros qu'on recherche
Quand on craint trop de dommages, tu es le premier qu'on dépêche
C'est pour tout ce que tu représentes qu'on a besion de toi
Mais c'est le sang que tu verses, qui fait qu'on se souvient de toi
C'est pour tout ce que tu es et qu'un autre n'est pas, qu'un soir tu es parti au combat

J'ai de mauvaises nouvelles du champ de bataille
On a perdu des hommes, on a perdu des ârmes
Il faudrait qu'on s'en aille, Qu'on s'en aille...
J'ai de mauvaises nouvelles du champ de bataille
Des enfants qui pleurent, des mères qui espèrent des retrouvailles

Tu fais partie de l'élite, parmi les meilleurs du monde
Mandaté de justice assis sur les toits du monde
Tu est parti sans rien dire, visage dur et sans doute
Que défendre et servir étaient écrits sur ta route
Tu t'es battu comme un homme et on se souvient de toi
Dans l'encre de la liste de ceux tombés au combat
Mandaté de justice, assis sur les toits du monde
Tu repars fier, comme le nom gravé sur ta tombe

J'ai de mauvaises nouvelles du champ de bataille
On a perdu des hommes, on a perdu des ârmes
Il faudrait qu'on s'en aille, Qu'on s'en aille...
J'ai de mauvaises nouvelles du champ de bataille
Des enfants qui pleurent, des mères qui espèrent des retrouvailles
Il faudrait, Il faudrait qu'on s'en aille...

. . .


Un air de déjà, d'jà vu
Et l'histoire qui se repète encore
C'est comme voir mille fois le même film
Et déjà, j'ai d'jà vu
Les même scènes on change de décor
Déjà vu, déjà vu

Naïve, non merci
Je me méfis du portrait idéal, de la beauté, son charme
Du faux regard fatal, du cinéma de trop
Des débuts aux galops qui me lasse
Et je me noie dans une goutte d'eau

Malgrès tout, certains cachent tellement bien leur jeu
Que malgrès nous, on s'autorise un pas ou deux
Rien que pour voir au ça nous mène
Comme pour défier nos peines
On sens bien pourtant qu'il y a un air de...

Un air de déjà, d'jà vu
Et l'histoire qui se repète encore
C'est comme voir mille fois le même film
Et déjà, j'ai d'jà vu
Les même scènes on change de décor
Déjà vu, déjà vu

Déjà, d'jà vu
Et l'histoire qui se repète encore
C'est comme voir mille fois le même film
Et déjà, j'ai d'jà vu
Les même scènes on change de décor
Déjà vu, déjà vu

Naïve, non merci
Je me méfis des histoires idéales
De ces princes à la belle vie qui tourne au mélodrame
Des "commes il est trop beau"
Des "je t'aime" un peu trop tôt qui me lasse
Et je me noie dans une goutte d'eau

Malgrès tout, certains cachent tellement bien leur jeu
Que malgrès nous, on s'autorise un pas ou deux
Rien que pour voir au ça nous mène
Comme pour défier nos peines
On sens bien pourtant qu'il y a un air de...

Un air de déjà, d'jà vu
Et l'histoire qui se repète encore
C'est comme voir mille fois le même film
Et déjà, j'ai d'jà vu
Les même scènes on change de décor
Déjà vu, déjà vu

Déjà, d'jà vu
Et l'histoire qui se repète encore
C'est comme voir mille fois le même film
Et déjà, j'ai d'jà vu
Les même scènes on change de décor
Déjà vu, déjà vu

. . .


Elle est en mode rétro radio
le rythme dans la peau
Elle cours les salles de danse,
au miroir donne lui sa chance.
Elle est en mode rétro radio
flash dance à fleur de peau.
Bien dans son époque,
elle mélange disco,hip-hop
et Elle Danse.

Miss n'a plus trop le coeur à l'école,
A le boombox a l’épaule
A troquer ses ballerines pour des stand mix en lacets
Elle s’inspire de ses idoles
Elle porte les guêtres aux pieds
Une fashion victime est née

Elle court tous les jours pour évacuer le stress
Elle s’évade dans sa tête, elle crane, elle rêve
Elle s’enivre de mélodie, qui inspire ses moindres gestes
Elle s’exerce, elle répète, elle est prête

Elle en mode rétro radio
Le rythme dans la peau
Elle cour les salles de danse
Au miroir donne-lui sa chance
Elle en mode rétro radio
Flash dance à fleur de peau
Bien dans son époque
Elle mélange disco, hip-hop
Et elle dance, dance, dance, dance…

Miss travailе jour et nuit
Se torture sans merci
Elle sait que l’on a rien sans rien
C’est le rêve de sa vie
Elle dans toute sa personnalité, dans toute sa féminité
Une dansing victim est née

Elle court tous les jours pour évacuer le stress
Elle s’évade dans sa tête, elle crane, elle rêve
Elle s’enivre de mélodie, qui inspire ses moindres gestes
Elle s’exerce, elle répète, elle est prête

Elle en mode rétro radio
Le rythme dans la peau
Elle cour les salles de danse
Au miroir donne-lui sa chance
Elle en mode rétro radio
Flash dance à fleur de peau
Bien dans son époque
Elle mélange disco, hip-hop
Et elle dance, dance, dance, dance

. . .


Loin Derrière, Loin Derrière
S'il fallait qu'on nous trace le chemin
On serait déjà Loin Derrière

Je vois l'homme qui attend, qu'on vienne à son secour
Entre fausses promesses, faux espoirs il attend son tour
Je vois l'homme qui surprend, près au milieux des tours
Le courage et l'adresse, la quête pour de meilleurs jours

Et y'a ceux qui ce disent que sait rien c'est facile sa vient du jour, au lendemain
Y'a les autres qui pensent que c'est beaucoup de chance que le travail, n'y est pour rien
Et y'a ceux qui comprennent, ceux qui se démène et qui cherche du soir au matin
Pour trouver la bonne voie, casser les doutes et penser au lendemain

Loin Derrière, Loin Derrière
S'il fallait qu'on n'attende la main tendue
On serait Loin Derrière, Loin Derrière
S'il fallait qu'on nous trace le chemin
On serait déjà Loin Derrière

Je vois beaucoup de gens, je vois beaucoup de frime
J'ai connu ces battants, ceux qui s'accrochent aux moindres signes
Et j'ai connu ces mamans qui comptaient les centimes
Pour nourir les enfants, vivre et rester dignent

Et y'a ceux qui regrettent et qui vive de si j'avais si, j'avais si, j'avais ça
Qui n'ont pas le courage de tenter, d'imiter, qui prefère dire "c'est pas pour moi"
Et y'a ceux qui se lève, se dise et marches près, départ au combat
A bien y penser peu importe qui tu es c'est un peu ça la vie ici bas

Loin Derrière, Loin Derrière
S'il fallait qu'on n'attende la main tendue
On serait Loin Derrière, Loin Derrière
S'il fallait qu'on nous trace le chemin
On serait déjà Loin Derrière

Loin Derrière, Loin Derrière
S'il fallait qu'on n'attende la main tendue
On serait Loin Derrière, Loin Derrière
S'il fallait qu'on nous trace le chemin
On serait déjà Loin Derrière

. . .


Qu'il est triste ce lit
Qu'il est glauque сe calme
Mais qu'il est fort ce petit
Qui veux à tout pris se battre
Qui te parle comme un grand
Qui t'explique pertinemment
Qui te rassure presque
Qui te dit intelligement que demain c'est peut-etre

Essuie tes larmes Petit Tom
Arbore ton sourir de printemps
Je te trouve encore plus beau maintenant
Essuie tes larmes Petit Tom
Toi qui ne baisse jamais les bras
Sa fera de toi, un tres grand, tu verra
Essuie tes larmes Petit Tom

Qu'elle est belle ta chambre
Tant de chaleur humaine
Et à voir sur les murs, il y a beaucoup qui t'aime
Qui te parle comme un grand.
Qui t'explique pertinemment .
Qui te rassure peut-etre.
Mais toi t'a compris depuis longtemps.
Que tout guérit dans la tête.

Essuie tes larmes Petit Tom
Arbore ton sourir de printemps
Je te trouve encore plus beau maintenant
Essuie tes larmes Petit Tom
Toi qui ne baisse jamais les bras
Sa fera de toi, un tres grand, tu verra
Essuie tes larmes Petit Tom

Je me sens si petite devant un homme comme toi.
Je n'ai pas ton courrage à tout défier.
Et cette volontée de toujours avancer.
Je me sens si petite devant un grand comme toi.
Je comprend à te regarder.
Que l'on a jamais vécu assez.
Je me sens si petite tu vois.

Essuie tes larmes Petit Tom.
Arbore ton sourir de printemps.
Je te trouve encore plus beau maintenant.
Essuie tes larmes Petit Tom.
Toi qui ne baisse jamais les bras.
Sa fera de toi, un tres grand, tu verra.
Essuie tes larmes Petit Tom.

. . .


Un point à la ligne
après quelques mots
trop fragile
le coeur lache avant le grand saut
Une image, un sourire sur une photo
Ce serait mentir de dire que c'est rien
mais Tout Va Bien
j'y crois encore et encore
ce qui ne me tue pas me rendra plus forte

Eh eh eh
Tout Va Bien
Si tu cherches à savoir
oui Tout Va Bien
je sais tu peine à y croire
mais reste pas dans la peine
que l'on retrouve sa voiе
tout m'ira si tout va bien

Une histoire sur un air de déjà vu
le courage qui s'éffondre face à l'inconnu
Un mauvais rêve qui n'en finit plus
Ce serait mentir de dire que c'est rien
mais Tout Va Bien
et j'y crois encore et encore
ce qui ne me tue pas me rendra plus forte

Eh eh eh
Tout Va Bien
Si tu cherches à savoir
oui Tout Va Bien
je sais tu peine à y croire
mais reste pas dans la peine
que l'on retrouve sa voiе
tout m'ira si tout va bien

Eh eh eh
Tout Va Bien
Si tu cherches à savoir
oui Tout Va Bien
je sais tu peine à y croire
mais reste pas dans la peine
que l'on retrouve sa voiе
tout m'ira si tout va bien

Eh eh eh eh eh eh eh

Tout Va Bien
Si tu cherches à savoir
oui Tout Va Bien
je sais tu peine à y croire
mais reste pas dans la peine
que l'on retrouve sa voiе
tout m'ira si tout va bien

Hey
Tout Va Bien
Si tu cherches à savoir
oui Tout Va Bien
je sais tu peine à y croire
mais reste pas dans la peine
que l'on retrouve sa voiе
tout m'ira si tout va bien

. . .


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