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Patrick Fiori




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Patrick Fiori Album


Prends-moi (1998)
1998
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
. . .


Je suis comme un voleur dans ta vie
Tu vois je joue et je m'enfuis
Si je t'avoue
Que j'ai envie
Je suis comme un tricheur et pourtant
J'aimerais tellement
Baisser le masque
Trouver l'espace
Pour oser dire

Prends-moi
Comme dans un combat sans fin
Envahis-moi
Pose tes mains sur moi
Gagne ma confiance
Brûle les distances
Entre toi et moi

Je vis comme un blessé de l'amour
Je cours toujours
Pour pas risquer
D'être touché
Je fais demi-tour
Toi, tu joues le tout pour le tout
Oublie les tabous
Dicte tes lois
Même si c'est fou
J'ose te dire

Prends-moi
Comme dans un combat sans fin
Envahis-moi
Pose tes mains sur moi
Gagne ma confiance
Brûle les distances
Entre toi et moi

Et si parfois je suis maladroit
Tu vois
Je sais que je sais pas donner, pas donner ...
Viens me chercher

Prends-moi
Comme dans un combat sans fin
Envahis-moi
Pose tes mains sur moi
Gagne ma confiance
Brûle les distances
Entre toi et moi

. . .


J't'ai perdue
L'autre soir au coin de la rue
Un carrefour et t'es pas rev'nue
Pour une histoire de retard, de regard qu'j'ai pas su voir
C'était pas pour toutes ces bêtises
Y a tant de choses qu'il fallait qu'j'te dise
Ça fait trop longtemps que je n'peux plus briser ce silence
Ces mots que je te lance
Qui ne t'atteignent pas
M'éloignent encore de toi

Me laisse pas là
Seul dans cette indifférence
Perdu dans cette ville immense
Où c'est toujours chacun pour soi
Tout seul avec ton absence
J'ai pas l'ombre d'une chance
Si même toi tu n'attends pas

J't'ai perdue
Toutes ces fois où j'ai même pas su
Prendre le temps d'écouter tes larmes
J'aurais pourtant bien dû comprendre tous tes cris d'alarme
J'ai trouvé des tas de raisons
Mais ce vide c'est comme une prison
J'ai beau chercher un chemin vers toi dans tout ce silence
Ces mots que je te lance
Qui ne t'atteignent pas
M'éloignent encore de toi

Me laisse pas là
Seul dans cette indifférence
Perdu dans cette ville immense
Où c'est toujours chacun pour soi
Tout seul avec ton absence
J'ai pas l'ombre d'une chance
Si même toi tu n'attends pas

J't'ai perdue
L'autre soir au coin de la rue
Un carrefour et t'es pas rev'nue
Un carrefour et t'es pas rev'nue

. . .


Au-delà de nos mots
Plus loin que le silence
Et malgré nos différences
Au-delà de nos guerres
Et de nos déchirures
Et le poids de l'habitude
Je l'aime
Quand même
Comme un homme sait aimer

Elle est (elle est)
Elle est tout ce que j'ai
Le temps partage
L'enfant qu'elle me fait
Elle est (elle est)
Elle est tout ce que j'ai
L'amour en otage
Tout ce qu'elle m'a donné
Elle est eeee...
Elle est eeee...
Elle est eeee... tout ce que j'ai

Au-delà de nos peines
Que l'on donne au silence
Et malgré les apparences
Au-delà de nos chaînes
Et de leurs certitudes
Tout le poids de l'habitude
Je l'aime
Quand même
Comme un homme peut aimer

Elle est (elle est)
Elle est tout ce que j'ai
Le temps partage
L'enfant qu'elle me fait
Elle est (elle est)
Elle est tout ce que j'ai
L'amour en otage
Tout ce qu'elle m'a donné

Elle est eeee...
Elle est eeee...
Elle est tout ce que j'ai (elle est)
Le temps partage
L'enfant qu'elle me fait
Elle est eeee...
Elle est tout ce que j'ai (elle est)
L'amour en otage
Tout ce qu'elle m'a donné
Elle est eeee...
Elle est tout ce que j'ai (elle est)
L'amour en otage
Tout ce qu'elle m'a donné
Elle est

. . .


J'ai rêvé qu'un beau jour la mer se retirait
Qu'une marée d'amour allait nous emmener
Au-delà des nuages, des ruisseaux, des volcans
On fera un voyage à l'épreuve du temps
On verra le cristal dans l'eau pure des rivières
Le reflet des étoiles sera notre lumière
Plus loin que tous les ports, à l'abri toi et moi
On aura les accords de la vie dans la voix
La mer qui nous sépare est une goutte d'eau
Une pluie de hasard au milieu de ces mots
La mer qui nous unit, bien plus fort chaque fois
Quand j'entends le maquis qui parle avec ta voix
Je suis trop loin de toi je vis à vol d'oiseau
Et je pense chez toi quand j'te dis à bientôt
Je traverserai le désert et j'irai n'importe où
Même au bout de cette terre pour construire un chez-nous
La mer qui nous sépare est une goutte d'eau
Une pluie de hasard au milieu de ces mots
J'ai besoin de savoir à l'autre bout du fil
La couleur des miroirs que tu vois sur ton île
J'ai rêvé qu'un beau jour la mer se retirait

. . .


Dans les vents de poussières
Au lointain des déserts
Au soleil
Du bord des océans
Aux forêts de lumières
À l'ombre du soleil levant
Reviens vers moi
Je pense à toi tout l'temps
Je viens vers toi
Je pars en Goéland
Pour un voyage aux quatre vents

Himalaya
Le temps se perd, dans le désert, où tu me mèneras
Himalaya
Par les courants de l'océan, le vent me portera
Himalaya
Le temps se perd, dans le désert, où tu me mèneras

J'pense à toi tout l'temps
La couleur de ta peau
Même à l'ombre y fait chaud
Sur la mer
De Manille à Rio
A Rio
Je changerai d'hémisphère
Je trouverai le temps à Curaco
Reviens vers moi
Je pense à toi tout l'temps
Je viens vers toi
Je pars en Goéland
Pour un voyage aux quatre vents

Himalaya
Le temps se perd, dans le désert, où tu me mèneras
Himalaya
Par les courants de l'océan, le vent me portera
Himalaya
Le temps se perd, dans le désert, où tu me mèneras

Himalaya
Le temps se perd, dans le désert, où tu me mèneras
Himalaya
Par les courants de l'océan, le vent me portera
Himalaya
Le temps se perd, dans le désert, où tu me mèneras

Reviens vers moi
Je pense à toi tout l'temps
Je viens vers toi
Je pars dans un instant
Pour un voyage aux quatre vents

Himalaya
Le temps se perd, dans le désert, où tu me mèneras
Himalaya
Par les courants de l'océan, le vent me portera
Himalaya
Le temps se perd, dans le désert, où tu me mèneras

. . .


Je veux vivre toujours de ta lumière
Prendre le sens immense de tes mystères
Etre frère et père à la fois
Aimer une femme comme autrefois
Et doucement ...
Gémir tout bas
J'aurai les mots qui ensorcellent
Les bras ouverts comme en plein rêve
Le cŒur immense, le corps intense
Embrasser toutes tes nuances
Te dire l'amour dans le silence

Depuis toi
Je ne suis plus le même
Depuis toi
J'ai le cŒur qui y croit
Avec toi
C'est l'amour que j'aime
Je suis un autre ... un autre ...
Depuis toi ... depuis toi ...

Je saurai partir pour te plaire
Je saurai brûler ta peau à l'air
Toucher tes sens, mener la danse
Colorier toutes tes nuances
Te faire l'amour une chance

Depuis toi
Je ne suis plus le même
Depuis toi
J'ai le cŒur qui y croit
Avec toi
C'est l'amour que j'aime
Je suis un autre ... un autre ...
Depuis toi ... depuis toi ...
Avec toi

C'est l'amour que j'aime
Je suis un autre ... un autre
Depuis toi ... depuis toi ...
Je suis un autre ... un autre ...
Depuis toi ... depuis toi ...

. . .


Caramel a posé mes yeux sur le village dont je rêvais
Quand je n'étais pas bien vieux quand je commençais à chanter

Caramel un coin de ciel bleu, d'où je ne peux plus m'en aller
Tout savoir des chemins creux pour mieux pouvoir les raconter.

Caramel
Caramel est tell'ment belle
Quand elle bêle je voudrais lui donner des ailes

Lui donner des ailes voir la vie d'en haut
lui donner des ailes comme tous les oiseaux

Caramel n'est pas si bête, puisqu'elle a les yeux d'un enfant
Quand elle regarde par la fenêtre d'où je l'appelle en me levant

Caramel tourne la tête pour mieux sentir d'où vient le vent.
Elle a peur des allumettes qui ont brûlé l'autre versant

Caramel
Caramel est tell'ment belle
Quand elle bêle je voudrais lui donner des ailes

Lui donner des ailes voir la vie d'en haut
lui donner des ailes comme tous les oiseaux

Caramel même les herbes folles vont chanter pour toi.
Caramel c'est pas des paroles et c'est mieux comme ça

Caramel quand tu danses libertà
Caramel je veux danser avec toi.

Caramel
Caramel est tell'ment belle
Quand elle bêle je voudrais lui donner des ailes

Lui donner des ailes voir la vie d'en haut
lui donner des ailes comme tous les oiseaux

. . .


Sur une route immense
Sans savoir où j'allais
J'avais quitté l'enfance
J'étais un exilé
J'avais faim de comprendre
Et soif de liberté
Fui la vie en décembre
Et je cherchais l'été

Je n'avais rien à vendre
Pas plus qu'à acheter
Riche de l'innocence
Et le cŒur indompté

Et des musiques belles
Sont venues m'emporter
Comme une délivrance
Qu'il restait à chanter
Qu'il restait à chanter

J'avais fait la promesse
A l'enfant que j'étais
De trouver dans son rêve
La force d'exister
J'avais fait la promesse
A celui que je suis
Que j'étais et serai
D'une vie pour de vrai

Je n'avais rien à vendre
Pas plus qu'à acheter
Riche de l'innocence
Et le cŒur indompté

Et des musiques belles
Sont venues m'emporter
Comme une délivrance
Qu'il restait à chanter
Qu'il restait à chanter

J'avais fait la promesse
A celui que je suis
De trouver dans son rêve
Une vie pour de vrai
J'ai découvert le monde
Des hommes déguisés
Leur univers qui gronde
Leurs peines aiguisées
Et j'ai porté mon ombre
Jusqu'à d'autres clartés
Je n'étais plus du nombre
Des vies mal dessinées

Et des musiques belles
Sont venues m'emporter
Comme une délivrance
Qu'il restait à chanter
Qu'il restait à chanter

J'avais fait la promesse
A celui que je suis
De trouver dans son rêve
Une vie pour de vrai

. . .


Qu'il neige sur ma vie, gèle en mon coeur
Tombent les pluies rien ne me fait peur
Loin d'ici, loin des douleurs,
Je sais où ressusciter, je sais où aller

C'est une campagne où je suis né
C'est un rivage où tout a commencé
J'en ai vu bien d'autres mais celui-là
Jamais rien ne l'effacera

C'est une langue qui m'a bercé
Ce sont des notes qui m'ont emporté
Vers toutes les autres mais sans jamais
Risquer de se faire oublier

Qu'il neige sur ma vie, gèle en mon coeur
Tombent les pluies rien ne me fait peur
Loin d'ici, loin des douleurs,
Je sais où ressusciter, je sais où aller

Ce sont des visages familiers
Des vieux que l'âge incruste peu à peu
Dans nos paysages montagneux
Des hommes comme des rochers

C'est une enfance que je chéris
C'est une chance de pousser ici
Prison de soleil au milieu des mers
Terre de rêve et repère

Qu'il neige sur ma vie, gèle en mon coeur
Tombent les pluies rien ne me fait peur
Loin d'ici, loin des douleurs,
Je sais où ressusciter, je sais où aller

Qu'il neige sur ma vie, gèle en mon coeur
Tombent les pluies rien ne me fait peur
Loin d'ici, loin des douleurs,
Je sais où ressusciter, je sais où aller

Gardez tous les châteaux des rois
Or ou bijoux je reste là
Je ne les échangerai pas
Là je suis chez moi
Je suis riche de ça

Je suis riche de ça

Qu'il neige sur ma vie, gèle en mon coeur
Tombent les pluies rien ne me fait peur
Loin d'ici, loin des douleurs,
Je sais où ressusciter, je sais où aller

En mon coeur...
Je sais où ressusciter, je sais où aller

. . .


Comme une vague aller une dernière fois
Mourir doucement à l'ombre d'une plage
Comme le silence, partir pour qu'on ne m'entende pas
Traîner ma vie comme une trop longue seconde
Traîner l'envie de t'aimer encore aujourd'hui
Et m'en aller sans lendemain
Lâcher une fois pour toute
Mais vivre en toi
Comme au début
Avant que tu ne m'aimes plus
Partir là-bas où je n'aurai plus de lumière
Trahir la vie comme un pays que l'on déserte
Manquer de toi dans un grand lit vide sans odeur
Claquer la porte à cause d'un manque de peau
Gueuler l'amour en fendant l'air comme un idiot
Et puis m'en aller me faire foutre

Lâcher une fois pour toute
Mais vivre en toi
Comme au début
Avant que tu ne m'aimes plus

Tu sais, j'me fous de tout ce qu'on s'est dit
Y a pas de raison que j'reste ici
Te regarder aimer un autre
Traîner ma vie comme une trop longue seconde
Traîner l'envie de t'aimer encore aujourd'hui
Et m'en aller sans lendemain

Lâcher une fois pour toute
Mais vivre en toi
Comme au début
Avant que tu ne m'aimes plus

. . .


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