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Natasha St. Pier




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Natasha St. Pier Album


Longueur d'ondes (2006)
2006
1.
2.
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4.
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7.
8.
9.
10.
11.
12.
. . .


Un signe, une larme
Un mot, une arme
Nettoyer les étoiles à l'alcool de mon âme

Un vide, un mal
Des roses qui se fanent
Quelqu'un qui prend la place de
Quelqu'un d'autre

Un ange frappe à ma porte
Est-ce que je le laisse entrer
Ce n'est pas toujours ma faute
Si les choses sont cassées
Le diable frappe à ma porte
Il demande a me parler
Il y a en moi toujours l'autre
Attiré par le danger

Un file, une faille
L'amour, une paille
J'me noie dans un verre d'eau
J'me sens mal dans ma peau

Je ris,je cache
Le vrai derrière un masque
Le soleil ne va jamais se lever.

Un ange frappe à ma porte
Est-ce que je le laisse entrer
Ce n'est pas toujours ma faute
Si les choses sont cassées
Le diable frappe à ma porte
Il demande à me parler
Il y a en moi toujours l'autre
Attiré par le danger

Je ne suis pas si forte que ça
Et la nuit je ne dors pas,
Tous ces rêves ça ne m'aide pas

Un enfant frappe à ma porte
Il laisse entrer la lumière,
Il a mes yeux et mon coeur,
Et derrière lui c'est l'enfer

Un ange frappe à ma porte
Est-ce que je le laisse entrer
Ce n'est pas toujours ma faute
Si les choses sont gaché

se n'est pas toujours ma faute
si les chose sont cassée

se n'est pas toujours ma faute
si les chose sont gachée

. . .


Pour toi tout prend
De l'importance,
De l'essentiel
Jusqu'au détail
Sans différence,
Moi j'ai fini
Les alternances
Du compromis
A la bataille
Perdue d'avance
Aucune chance
Sans retour
Sans echo
Entre nous

Je trouve pas la longueur d'ondes
Pourtant pas l'bout du monde
De pouvoir s'entendre
Quand t as une longueur d'avance
Moi le temps que j'réponde
T'as changé de fréquence
Tout est question de longueur d'ondes
D'atomes qui correspondent
Et d'interférences
Si je tiens pas la distance
Pourtant pas l'bout du monde
De pouvoir s'entendre
S'entendre

Pour toi tout mène
A l'évidence
Ca marche tout seul
Où ça déraille
C'est sans nuance
Moi je t'écoute
Avec patience
Car tu t'en doutes
Je cherche la faille

Je trouve pas la longueur d'ondes
Pourtant pas l'bout du monde
De pouvoir s'entendre
Quand t as une longueur d'avance
Moi le temps que j'réponde
T'as changé de fréquence
Tout est question de longueur d'ondes
D'atomes qui correspondent
Et d'interférences
Si je tiens pas la distance
Pourtant pas l'bout du monde
De pouvoir s'entendre
S'entendre

Je trouve pas la longueur d'ondes
Pourtant pas l'bout du monde
De pouvoir s'entendre
Quand t as une longueur d'avance
Moi le temps que j'réponde
T'as changé de fréquence
Tout est question de longueur d'ondes
D'atomes qui correspondent
Et d'interférences
Si je tiens pas la distance
Pourtant pas l'bout du monde
De pouvoir s'entendre
S'entendre

. . .


J'm'enferme dans ma bulle, je n'regarde personne dans les couloirs de mon esprit
Il est déjà trop tard, il fait déjà si noir...
On a essayé, réessayé, on est tombé, on s'est relevé
Comme dans toutes les histoires d'amour sans moralité à la fin,
Et même à la fin, on a toujours encore un peu faim,
Et c'est là qu'on se fait mal, j'm'enferme dans ma bulle,
Sur ma vie j'n'ai aucun contrôle, sur ta vie aucun contrôle
Je glisse sur le monde qui m'entoure, c'est drôle

Dans le mal ou je me perds, dans le vide où je me noie
Bien sûr il y a mes guerres mais il y a surtout toi
Dans le noir des nuits trop claires, dans le silence de mes combats
La solitude qui se resserre, des souvenirs qui ne meurent pas

À ce silence, j'aurais préféré la violence
Des cris, des pleurs pour moins de douleur
Ton indifférence m'est la pire des souffrances
À ce silence

Si tu pars je ne reste pas
Si t'abandonnes, je baisse les bras
Surtout ne m'en veux pas pour tout ce que je n'suis pas

Mais si t'avances, je viens vers toi
Si tu m'entends, réponds-moi
Sans toi je ne prends pas cette vie construite pour moi

À ce silence, j'aurais préféré la violence
Des cris, des pleurs pour moins de douleur
Ton indifférence m'est la pire des souffrances
À ce silence

Comme dans toutes les histoires d'amour sans moralité à la fin...
J'm'enferme dans ma bulle, j'n'regarde personne dans les couloirs de mon esprit
Il est déjà trop tard, il fait déjà si noir...
On a essayé, réessayé, on est tombé, on s'est relevé...
J'm'enferme dans ma bulle...

À ce silence, j'aurais préféré la violence
Des cris, des pleurs pour moins de douleur
Ton indifférence m'est la pire des souffrances
À ce silence

. . .


Je vois passer les semaines
Qui du rose au morose
Font que l'amour se traîne
Peu à peu s'ankylose
Et j'oublie que tu m'aimes
J'oublie toujours quelque chose

J'ai vu se faner ces années
Aux hivers qui s'allongent
Et on y a compté
Toujours plus de mensonges

J'oublie de t'aimer
J'oublie toujours quelque chose
J'oublie toujours quelque chose
Je dois avoir
Le coeur ailleurs
Ailleurs,
Ou pour quelqu'un d'autre

A faire des compromis
Ou que nos portes restent closes
On s'étouffe sous le bruit
Du silence qui s'impose
J'oublie que t'es parti
J'oublie toujours quelque chose

C'est trop tard pour repenser les plaies
Les ecchymoses
Même l'éponge passée
C'est le passé qui ronge
J'oublie d'oublier
J'oublie d'oublier

J'oublie toujours quelque chose
J'oublie toujours quelque chose
J'oublie toujours quelque chose
J'oublie toujours quelque chose

. . .


Accroche-moi à l'echafaudage
Au bas de ta rue
Pour me sauver de l'echafaud
Des voies sans issue
D'un coup de tête faire mes bagages
Pour un inconnu
Ça m'arrive depuis le berceau
Ça prend le dessus

Tendance à courir au carnage
Quand je n'y crois plus
Tendance à partir au galop
Rester seule me tue
Alors
À bout de souffle, à bout de nerfs
D'une main de fer

Tiens-moi à la vie, à la mort
Tiens-moi d'un corps à corps
Tiens-moi à la vie, à la mort
Tiens-moi dans le décor
Aussi fort que je tiens à toi
Puisque des forces je n'en n'ai pas

Prends tous mes mensonges en otage
Et fusille-les
Que je ne tombe plus dans le piège
L'image qu'on s'est fait
Juste une fille dans le paysage
Que l'on croit en paix
J'attends qu'on m'attaque, qu'on m'assiège
Je n'suis qu'en excès

Certains oiseaux sont en cage
Et puis ça leur plaît
Je suis une espèce qu'on protège
Reste à mon chevet
De mes chevilles de mes poignets
À des crochets

Tiens-moi à la vie, à la mort
Tiens-moi d'un corps à corps
Tiens-moi à la vie, à la mort
Tiens-moi dans le décor
Aussi fort que je tiens à toi
Puisque des forces je n'en n'ai pas
Aussi serré que tu pourras
Puisqu'à la vie je n'y tiens pas

Tiens-moi à la vie
Tiens-moi à la mort

Tiens-moi à la vie, à la mort
Tiens-moi contre ton corps
Tiens-moi dans le décor
Aussi fort que je tiens à toi
Puisque des forces je n'en n'ai pas

Tiens-moi à la vie

. . .


Je peux tout quitter
Tout laisser partir
Faire le sacrifice
De mes artifices
Tout abandonner
Mais pas ton sourire

Je peux tout quitter
Tout laisser partir
Faire le sacrifice
De mes artifices
Tout abandonner
Mais pas ton sourire
Mais pas ton sourire

J'abandonne
Les soirs
Où tu n'es pas là
J'abandonne
L'espoir
Mais je touche du bois
J'abandonne
Les mots qui me font mal
J'abandonne
Tous ces gestes banals
J'abandonne
Le jour
Je préfère dormir
J'abandonne
L'amour
Puiqu'il fait mourir
J'abandonne
Celle que j'étais
Que j'aurais pu être
Pour recommencer
Et qui sait renaître

Je peux tout quitter
Tout laisser partir
Faire le sacrifice
De mes artifices
Tout abandonner
Mais pas ton sourire

Je peux tout quitter
Tout laisser partir
Faire le sacrifice
De mes artifices
Tout abandonner
Mais pas ton sourire
Mais pas ton sourire

J'abandonne le ciel
Puisqu'il nous oublie
J'abandonne mes peines
Elles n'ont pas servi
J'abandonne mon éternité
Je n'ai rien signé
Je n'ai pas saigné
J'abandonne
Celle que j'étais
Que j'aurais pu être
Pour recommence
Et qui sais renaître

Je peux tout quitter
Tout laisser partir
Faire le sacrifice
De mes artifices
Tout abandonner
Mais pas ton sourire

Je peux tout quitter
Tout laisser partir
Faire le sacrifice
De mes artifices
Tout abandonner
Mais pas ton sourire
Mais pas tes soupirs

Je peux tout quitter
Mais pas ton sourire

Je peux tout quitter
Mais pas tes soupirs

Je peux tout quitter
Mais pas ton sourire

. . .


Il y a des peines diluviennes qui retombent sur moi
Quans tu tailles dans le bleu de mes veines
Quand tu tailles la route loin de moi
Dis-moi
Est-ce que
J'ai le choix?

De mon coeur arraché et saignant sous tes crocs
J'essaie de retrouver les morceaux
Mais à quoi bon
Tu fais de moi
Une ville en ruines
De celle que j'aurais tant voulu être
Il ne reste qu'un pantin
Désarmé, décharné, déchiré
Dans le ravin
Tout au fond du ravin

A l'amour comme à la guerre
A l'amour comme à la guerre
L'amour qu'on n'sait plus se faire
C'est l'amour comme à la guerre

Attendre la peur aux entrailles
Que tu viennes nous achever
Nos vies comme un champ de bataille
On ne sait
Plus aimer

Il y a si longtemps mon amour que je n'ai pas rêvé
De peur de retomber encore encore sur toi
Sur toi sur toi
Entre nos murs
Tu t'endors dans d'autres bras
Tout ce que j'endure
Porte ton nom

A l'amour comme à la guerre
A l'amour comme à la guerre
Du paradis à l'enfer
C'est l'amour comme à la guerre

Attendre comme un condamné
Cette grâce qui n'arrive pas
Et retourner l'arme contre soi
On ne sait plus aimer
Aimer

Attendre la peur aux entrailles
Que tu viennes nous achever
Nos vies comme un champ de bataille
Et l'amour pour s'entre-tuer
Et l'amour pour s'entre-tuer

. . .


Il n'y a pas que les murs
Il y a aussi des regards
Qui nous rendent moins sûrs
Et qui nous mettent à part

Derrière tous ces barreaux
Il y a aussi des mots
Comme autant de blessures
De prisons, de ghettos

Jugé et condamné
A ne plus avoir le droit d'être
Ni d'aimer

Tant que j'existerai
Et quoi que le monde en pense
Je montrerai qui je suis
Je dirai mes différences

Tant que j'existerai
Tant qu'il y aura une chance
Je resterai qui je suis
Rien n'est jamais
Perdu d'avance

Il n'y a pas que les frontières
Qui isolent et séparent
Quand on veut nous faire taire
Nous jeter à l'écart

Au coeur du long silence
Il y a cette voix
Qui me dit sans violence
Continue le combat

Jugé et condamné
A ne plus avoir le droit d'être
Ni d'aimer

Tant que j'existerai
Et quoi que le monde en pense
Je montrerai qui je suis
Je dirai mes différences

Tant que j'existerai
Tant qu'il y aura une chance
Je resterai qui je suis
Rien n'est jamais
Perdu d'avance

Tant que j'existerai
Et quoi que le monde en pense
Je montrerai qui je suis
Je dirai mes différences

Rien n'est jamais
Perdu d'avance
Rien n'est jamais
Perdu d'avance

. . .


Dans la vitre
Où je me vois
C'est le même jour qu'hier, et toujours le même endroit
J'en sais déjà la suite
Je l'ai déjà vécu cent fois
Des affiches sur les murs
Font rêver d'un ailleurs
Surgi d'un magritte, avec ses plages de couleurs
Tout en douceur
Pour m'évader
Mais je redescends sur terre
Et je n'entends plus la musique
Les voiliers partis en mer
S'échouent sur les murs de briques
Noircit le ciel
Sous les tunnels

Comme dans un train qui m'emmène nulle part
J'regarde au loin passer les quais de gare
Je voudrais m'arrêter, trouver où me poser
Choisir moi-même où larguer les amarres

Car tous les trains nous emmènent quelque part
C'est pour quelqu'un ou pour changer d'histoire
Mais pas se résigner, jamais s'habituer
Je veux tout vivre avant qu'il soit trop tard

Anonyme
Voire transparente
Au beau milieu des autres, en étant toujours absente
À quoi encore ça rime
De vouloir remonter la pente
De se battre et s'imposer
Jamais être en première ligne
Ou pire cesser de rêver
Du destin qu'on s'imagine
Sans espérer
Attendre un signe

Comme dans un train qui m'emmène nulle part
J'regarde au loin passer les quais de gare
Je voudrais m'arrêter, trouver où me poser
Choisir moi-même où larguer les amarres

Car tous les trains nous emmènent quelque part
C'est pour quelqu'un ou pour changer d'histoire
Mais pas se résigner, jamais s'habituer
Je veux tout vivre avant qu'il soit trop tard

Y’a pas de train sans nouveau départ
Ni d'autres routes à suivre,
Je veux le croire
Y’a pas de chemin qu'on fait par hasard

Choisir moi-même où larguer les amarres
Car tous les trains nous emmènent quelque part
C'est pour quelqu'un ou pour changer d'histoire
Mais pas se résigner, jamais s'habituer
Je veux tout vivre avant qu'il soit trop tard

Je veux le croire
Y’a pas de chemin qu'on fait par hasard
Mais pas se résigner, jamais s'habituer
Je veux tout vivre avant qu'il soit trop tard

. . .


On se connait à peine
Déjà tu veux que je dise
Les formules magiques
Et les mots qui vont avec
Je cherche un language
Une communication directe
Comme un passage
Pour que tu comprennes

Je traverserai
Quoi qu'il arrive
Quoi qu'il advienne
Portée par mon âme
Je traverserai
Quoi qu'il arrive
D'où que tu viennes
Je traverserai
Pour te découvrir de près

C'est une attitude
Tenter tous les bonheurs
Plus l'hiver est rude
Et plus on doit se serrer
Tu me rends légère
Comme une feuille au vent
Je te le promets
Je serai là à temps

Je traverserai
Quoi qu'il arrive
Quoi qu'il advienne
Portée par mon âme
Je traverserai
Quoi qu'il arrive
D'où que tu viennes
Je traverserai
Pour te découvrir de près

Aller vers toi
Franchir les miroirs
Je suis volontaire
Et je plongerai pour te plaire
Je traverserai
Quoi qu'il arrive
Quoi qu'il advienne
Je serai sans arme

Je traverserai
Quoi qu'il arrive
Quoi qu'il advienne
Portée par mon âme
Je traverserai
Quoi qu'il arrive
D'où que tu viennes
Je traverserai
Pour te découvrir de près

Je traverserai
Quoi qu'il arrive
D'où que tu viennes

. . .


Au bout du fil
Ta voix résonne comme du métal
Et sous mes cils
Je sens couler une pluie d'étoiles
Mais je préfère
Que tu n'en saches jamais rien
C'est mon enfer
Alors pour te laisser serein

Je fais comme si
Je fais comme si
Je t'avais rayé de ma vie
Je fais comme si
Je fais comme si
Tout allait bien
Je fais comme si
Je fais comme si
Tu n'etais plus qu'un ami
Je fais comme si
Je fais comme si
Tout allait bien

Au bout du fil
Ma voix résonne d'éclats de rire
C'est plus facile
De te sourire que de te maudire
Même si je meurs
De ne jamais rien laisser paraître
C'est ma douleur
Et pour que tu sois
L'homme que tu veux être

Je fais comme si
Je fais comme si
Je t'avais rayé de ma vie
Je fais comme si
Je fais comme si
Tout allait bien
Je fais comme si
Je fais comme si
Tu n'etais plus qu'un ami
Je fais comme si
Je fais comme si
Tout allait bien

Au bout du fil
Nos voix peut-être un jour seront
Un peu fragiles
Encore empreintes de notre passion
C'est ma torture
De croire que l'amour reviendra
Mais je m'assure
Qu'il n'y ait que moi dans cet état
Je fais comme si
Je fais comme si
Je t'avais rayé de ma vie
Je fais comme si
Je fais comme si
Tout allait bien
Je fais comme si
Je fais comme si
Tu n'etais plus qu'un ami
Je fais comme si
Je fais comme si
Tout allait bien

. . .


Bien sûr on peut partir
Vouloir un avenir
Autre part autrement
On ne fait que s'enfuir

Un regard, un sourire
Qui peut vous retenir
Quand on a ça vraiment
Est-ce que ça peut suffire

De toi... j'ai appris à vivre ça
Tellement plus que tu le crois
Appris comment me perdre
Trouver d'autres repères

De nous... j'aurai appris l'amour
Comme personne te le dira
Et comme personne te le fera
De nous...j'aurai connu l'amour
Qu'on ne rencontre qu'une fois
Au moins j'aurai vecu ça

Bien sûr on part au loin
Chercher d'autre quelqu'un
Pour lequel on chavire
C'est un voyage pour rien

Le seul à qui on tient
Forcément nous revient
C'est pas facile à dire
On aime plus mal que bien

De toi... j'ai appris à vivre ça
Tellement plus que tu le crois
Compris où vous emmènent
Les traversées du désert

De nous...j'aurai appris l'amour
Comme personne te le dira
Et comme personne te le fera
De nous...j'aurai connu l'amour
Qu'on ne rencontre qu'une fois
Au moins j'aurai vécu ça

À toi... je ne m'attendais pas
Au moins je saurai pourquoi
J'ai appris à ne plus fuir
À regarder un sourire

De nous... j'aurai appris l'amour
Comme personne te le dira
Et comme personne te le fera
De nous... j'aurai connu l'amour
Qu'on ne rencontre qu'une fois
Au moins j'aurai vécu ça
J'aurai vecu ça
J'aurai vecu ça

. . .


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