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Marc Lavoine




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Marc Lavoine Album


Olympia deuxmilletrois (2003)
2003
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
La Javanaise
9.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
Sittin' On The Dock Of The Bay
18.
19.
20.
21.
. . .


Parle-moi des simples choses
Emmène-moi à l'opéra
Offre-moi des roses et des camélias
Parle-moi des jolies choses
Des cahiers du cinéma
Et des questions qu'on se pose dès les premiers pas

Parle-moi des mirabelles
Et d'un violon sur le toit
Donne-moi des ailes et du chocolat
Parle-moi du bleu du ciel
Dans un restaurant chinois
Offre-moi du miel du bout de tes doigts

Parle-moi de tes silences
Avec ta bouche et tes bras
Entre dans la danse et danse avec moi
Parle-moi de ces distances
Qui ne nous séparent pas
Dis-moi que l'amour ne s'arrête pas

Parle-moi des simples choses
Emmène-moi à l'opéra
Offre-moi des roses et des camélias
Parle-moi des jolies choses
Des cahiers du cinéma
Dis-moi que l'amour ne s'arrête pas

. . .


(Guillaume Apollinaire)

Sous le pont mirabeau coule la seine
De nos amours faut-ils qu'ils n'en souviennent
La joie venait toujours après la peine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va comme la vie est lente
Et comme l'espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Le temps passe et ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

. . .


Dans le brouillard d'automne
Seulabre je marmonne
La chanson des feuilles mortes
Brumaire n'est pas coupable
De l'humeur qui m'accable
Me torture de la sorte

Passent les nuages
Ne demeure que le ciel
Mais cette larme sur mon visage
Est éternelle
Passent les nuages
Je les vois qui refluent
Mais cette l'arme comme ton image
Ne me quittera plus

Certaines inclinaisons
Ne durent qu'une saison
Je le savais bien sûr
Mais le coup fait trop mal
Comme un pauvre animal
Je lèche mes blessures

Passent les nuages
Le dicton je le connais
Mais cette larme sur mon visage
Coule à jamais

Passent les nuages
Tes beaux yeux restent secs
Mais cette larme sera le gage
De notre échec

Ce qui peut tourner mal
Finit par tourner mal
C'est la loi de Murphy
Une triste règle dont
Nous ne feront pas l'exception
Et c'est pourquoi jeune fille

Passent les nuages
Le soleil point déjà
Mais cette larme sur mon visage
Ne sèchera pas
Passent les nuages
Et défilent les jours
Mais cette larme comme un tatouage
Restera toujours

Passent les nuages
Ne demeure que le ciel
Mais cette larme sur mon visage
Est éternelle
Passe les nuages
Je les vois qui refluent
Mais cette larme comme ton image
Ne me quittera plus

. . .


Fragile au fond de nos voix
Quand on dit je t'aime, je crois
Frêle la folle espérance
Le vrai de l'enfance qu'on oublie parfois
Faibles nos idées nouvelles
Pour rendre plus belle la vie du sans joie
Les lettres jamais reçues
Celles jamais envoyées, pourquoi ?

J'voulais simplement t'apprendre à compter sur moi
Oh j'voulais simplement que t'apprennes à compter avec moi
Sur le bout de nos doigts

Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blé
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d'été
Les chevaux qui caracolent
Les souvenirs les démêlés
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté

Mince la chance qui nous reste
Hein, Hein, hum hum, saisissons la quand même
Maigre comme une hirondelle, petite hirondelle
Que l'hiver fait mourir
Petite possibilité de sentir encore
Quelque chose de chaud
Cette minuscule résistance
Qui fait quand même bouger les choses

Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blés
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d'été
Les chevaux qui caracolent
Comme des parents qu'ont mal tourné
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté

Courir dans les tournesols
Marcher dans les champs de blé
Retrouver les parasols
Et le goût des nuits d'été
Les chevaux qui caracolent
Les souvenirs, les démêlés
Et les pastilles de menthol
Le goût de la liberté
Le goût de la liberté
Le goût de la liberté

. . .


Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Elle se dessine sous des jupes fendues
Et je devine des histoires défendues
C'est comme ça
Tell'ment si belle quand elle sort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutu
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu

Un peu larguée, un peu seule sur la terre
Les mains tendues, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
A faire l'amour sur des malentendus
On vit toujours des moments défendus
C'est comme ça
Tell'ment si femme quand elle mord
Tell'ment si femme, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutu
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu

Son corps s'achève sous des draps inconnus
Et moi je rêve de gestes défendus
C'est comme ça
Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Tell'ment si femme quand elle dort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutu
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu

. . .


Tous les jours, je chante pour vivre à découvert
Oui je chante
Parfois je ris et je danse avec des souvenirs
Drôles de fantômes
Je n'ai plus rien à perdre, ce n'est rien
Il me reste toi

Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Comme un bateau sur le Nil
Et j'use mes souliers à force de te suivre

Tous les jours je change de coin, je plie mes affaires
Je me rase
Et puis dans l'air un parfum, tu n'es pas loin
Tu te laves
Je pense à tous les mots si jolis
Que je lisais sur tes lèvres

Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Comme un bateau sur le Nil
Et j'use mes souliers à force de te suivre

Je n'ai vraiment plus rien à perdre avec toi
Que de simples choses

Et j'use mes souliers à force de te suivre
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes
Je t'envoie des courriers, de l'encre à la dérive
Et j'use mes souliers à force de te suivre
J'en oublie le nom des villes

. . .


Ça boit le petit noir ou le petit vin blanc
Ça cherche la bagarre et du boulot souvent
Ça lève le poing, ça bouge, ça manifestationne
Ça sort tous les samedis dépenser son pognon

C'est ça la France
Du chili dans les gamelles et du vin dans les bidons
C'est ça la France
Du laguiole à l'opinel, partager les saucissons
C'est ça la France
On est tous des frères selon les déclarations
Enfin, je pense, faut jamais les oublier
Les trois qui terminent en Té

Ça fait de l'huile d'olive et du couscous poulet
Ça trinque à la pétanque, au comptoir, chez marseille
Ça Brassens à tout va, c'est beau les seins d'une fille
Ça camembert, le chinois, ça frise à la bastille

C'est ça la France
Du chili dans les gamelles et du vin dans les bidons
C'est ça la France
Du laguiole à l'opinel, partager les saucissons
C'est ça la France
On est tous des frères selon les déclarations
Enfin, je pense, faut jamais les oublier
Les trois qui terminent en Té

Ça avale son vichy et ça Dreyfus la joie
Jean Moulin Rouge aussi, Pierre Bérégovoy
Sa liberté de la presse, c'est pas qu'une impression
Le plus souvent ça O.S. chez renault, chez citron

C'est ça la France
Du chili dans les gamelles et du vin dans les bidons
C'est ça la France
Du laguiole à l'opinel, partager les saucissons
C'est ça la France
On est tous des frères selon les déclarations
Enfin, je pense, faut jamais les oublier
Les trois qui terminent en Té

Ça flique quand même pas mal, ça repasse à tabac
Ça chauffe un peu dans les bals, je rentre à la casbah
Ça bouche sur les périphs, ça rôde encore la nuit
Ça fait des hiéroglyphes et ça fait des petits

C'est ça la France
Du chili dans les gamelles et du vin dans les bidons
C'est ça la France
Du laguiole à l'opinel, partager les saucissons
C'est ça la France
On est tous des frères selon les déclarations
Enfin, je pense, faut jamais les oublier
Les trois qui terminent en Té

C'est ça la France
C'est ça la France
C'est ça la France
Enfin, je pense

. . .

La Javanaise

[No lyrics]

. . .


J'aurais voulu te dire des mots nouveaux
J'aurais voulu t'écrire des lettres à fleur de peau
J'aurais voulu changer le jour, la nuit
J'aurais voulu t'offrir le beau temps et la pluie
J'aurais voulu sauver ta vie des milliers de fois
J'aurais voulu combattre des dragons d'autrefois

J'ai fait mieux que ça
J'ai fait mieux que ça

J'aurais voulu la belle au bois dormant
J'aurais voulu être le prince au destrier d'argent
J'aurais voulu construire un pont de la terre au ciel
Voler parmi les goélands et les hirondelles

J'ai fait mieux que ça
J'ai fait mieux que ça

(La Moldau)

J'aurais voulu partir sur un vaisseau
Fendre les couchers du soleil au fil des eaux
J'aurais voulu mettre à tes pieds des bijoux, des palais
La Vénus de Milo, L'angélus de Millet

J'ai fait mieux que ça
Un enfant de toi

De toi

Des mots, nouveaux
J'aurais voulu te dire.

. . .


Tous les matins, c'est la même corrida
Lever la tête, ouvrir les bras
Tous les matins, c'est le même numéro
Trouver l'amour, chercher les mots

Je suis coincé comme un évadé
Faut marcher, ne jamais s'arrêter
Je suis piégé, comme un condamné
A marcher, ne jamais se retourner

C'est la vie, la vie c'est du vent
Qui nous souffle les rêves d'enfant
C'est la nuit qui descend,
C'est jamais comme avant
Il ne faut plus faire semblant, attends
C'est la vie, la vie qui le veut
Qui nous blesse, le cŒur et les yeux
C'est la nuit qui retombe
Comme la pluie et les bombes
Il ne faut plus faire semblant, attends

Tous les matins c'est le même cinéma
Tendre les mains, croiser les doigts
Tous les matins, c'est la même comédie
Chercher quelqu'un, trouver celle qui

Je suis piégé comme un naufragé
Faut marcher, ne jamais s'arrêter
Je suis coincé, comme un révolté
A marcher, jamais se retourner

C'est la vie, la vie c'est du vent
Qui nous souffle les rêves d'enfant
C'est la nuit qui descend,
C'est jamais comme avant
Il ne faut plus faire semblant, attends
C'est la vie, la vie qui le veut
Qui nous blesse, le cŒur et les yeux
C'est la nuit qui retombe
Comme la pluie et les bombes
Il ne faut plus faire semblant, attends

. . .


Je marche dans tes rues
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés

Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m'aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots

Je m'assoie sur tes bancs
Je regarde tes monuments
Je trinque à la santé de tes amants

Je laisse couler ta seine
Sous tes ponts ta rengaine
Toujours après la peine

Je pleure dans tes taxis
Quand tu brilles sous la pluie
C'que t'es belle en pleine nuit

Je pisse dans tes caniveaux
C'est d'la faute à Hugo
Et j'picolle en argot

Je dors dans tes hôtels
J'adore ta tour Eiffel
Au moins elle, elle est fidèle

Quand j'te quitte un peu loin
Tu ressembles au chagrin
Ça m'fait un mal de chien

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Boul'vard des bouleversés
Paris tu m'as renversé
Paris tu m'as laissé

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Paris Paris tenu

Paris Paris perdu
Paris tu m'as laissé
Sur ton pavé

J'me réveille dans tes bras
Sur tes quais y a d'la joie
Et des loups dans tes bois

J'me glisse dans tes cinés
J'me perds dans ton quartier
Je m'y retrouverai jamais

Je nage au fil de tes gares
Et mon regard s'égare
J'vois passer des cafards sur tes bars

J'm'accroche aux réverbères
Tes pigeons manquent pas d'air
Et moi de quoi j'ai l'air

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Boul'vard des bouleversés
Paris tu m'as renversé
Paris tu m'as laissé

Paris Paris combien
Paris tout c'que tu veux
Paris Paris tenu
Paris Paris perdu
Paris tu m'as laissé
Sur ton pavé

Je marche dans tes rues
Qui me marchent sur les pieds
Je bois dans tes cafés

Je traîne dans tes métros
Tes trottoirs m'aiment un peu trop
Je rêve dans tes bistrots

. . .


Tu sais
Y'aura des hauts et des bas
Dans la peine ou dans la joie
On est si fragile
Toi et moi

Bien sûr
Les mots doux les coups durs
Grandir et faire les murs
Et quand tu partiras
Loin de moi

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que le mal ne me fait plus mal
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans mes yeux
Tu verras...briller

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je t'aime au delà de moi
Que la vie ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans tes yeux
Il y aura...

Dors
Sans penser à tout ça
Même si parfois tu m'en veux
D'être dans tes yeux
Un peu trop
Tu sais

Ca n'a pas d'importance
Et toutes ces blessures d'enfances
Font nos ressemblances
A toi et à moi

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que le mal ne me fait plus mal
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans mes yeux
Tu verras...briller

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je t'aime au delà de moi
Que la nuit ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
Et tant que dans tes yeux
Il y aura...

Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans nos yeux tu verras
Briller...

N'oublie jamais
N'oublie pas
Que je suis tout nu devant toi
Que la nuit ne me fait plus peur
Mon tout petit amour
N'oublie jamais l'amour
Et tant que dans tes yeux il y aura
Des étoiles

. . .


J'ai le cŒur qui traîne dans la rue Fontaine
et j'ai de l'eau, de l'eau dans les yeux
J'ai le cŒur qui traîne, laisse couler la Seine
J'ai le sourire, sourire malheureux

Oh tu sais je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore heureux
Je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore envie

Avant que tu t'en ailles,
Laisse-moi le temps de te regarder
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de me retourner
Avant que tu t'en ailles,
Laissons nos corps encore s'enlacer
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de te retrouver

J'ai le cŒur qui traîne, dans la rue Fontaine
Et j'ai de l'eau, de l'eau dans les yeux
J'ai le cŒur qui traîne, si j'ai de la peine
Si je suis à sang, à sang et à feu

Oh tu sais je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore heureux
Je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore envie

Avant que tu t'en ailles,
Laisse-moi le temps de te regarder
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de me retourner
Avant que tu t'en ailles,
Laissons nos corps encore s'enlacer
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de te retrouver

Oh tu sais je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore heureux
Je n'ai pas fini de t'aimer
J'ai encore envie d'être heureux, encore envie

Avant que tu t'en ailles,
Laisse-moi le temps de te regarder
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de me retourner
Avant que tu t'en ailles,
Laissons nos corps encore s'enlacer
Avant que tu t'en ailles,
Juste le temps de te retrouver

. . .


[Marc]
À deux pas d'ici, j'habite, peut-être est-ce ailleurs ?
Je n'reconnais plus ma vie, parfois, je me fais peur
Je vis dans un monde qui n'existe pas
Sans toi, je ne suis plus tout à fait moi

[Cristina]
À deux pas d'ici, j'ai égaré ce que j'étais
Mon nom ne me dit rien ni la photo sur mes papiers
On peut bien m'appeler untel ou untel
Sans toi, peu importe qui m'appelle

[Marc & Cristina]
Comment dit-on bonjour ? Je ne sais plus
Le parfum des beaux jours, je ne sens plus
Comment fait-on l'amour ? Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oubliée.
Les mots doux de velours, je n'écris plus
Et le sens de l'humour, je l'ai perdu
Comment faire l'amour ? Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oublié.

[Marc]
À deux pas d'ici, j'ai essayé de revenir
De mettre un peu d'ordre à mes idées, les rafraîchir
[Cristina]
Je m'suis coupé les cheveux, j'ai rasé les murs
Ce que j'ai fait, je n'en suis pas sûre

[Marc & Cristina]
Comment dit-on bonjour ? Je ne sais plus
Le parfum des beaux jours, je ne sens plus
Comment fait-on l'amour ? Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oubliée.
Les mots doux de velours, je n'écris plus
Et le sens de l'humour, je l'ai perdu
Comment faire l'amour ? Si j'avais su
J'ai tout oublié quand tu m'as oublié.

J'ai tout oublié quand tu m'as oubliée.

J'ai tout oublié quand tu m'as oublié.

. . .


Oh oh tu dors peut-être
Moi je ne peux pas
Par la fenêtre
J'vois la terre en bas
Ici tout me dépasse
Même le silence
Et les aiguilles qui passent
Sur ton absence
A quoi tu rêves
As-tu des envies
Connais-tu la fièvre
As-tu des envies

Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis

Je sais que c'est ridicule
Mais c'est plus fort que moi
J'me déambule
Tout tourne autour de moi
Et si tout me dépasse
C'est qu'je suis un lâche
Comme ces aiguilles qui passent
Autant qu'il nous détache

Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis

Oh oh tu dors peut-être
Moi je ne peux pas
Par la fenêtre
J'vois la terre en bas
Le monde est tellement...

Le monde est tellement con
Qu'j'ai envie de partir d'ici
M'en aller sans raison
Ne plus donner signe de vie
Respirer d'autres bars
Essayer d'autres lits
Me perdre par hasard
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis
Oublier qui je suis

. . .


[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu marches, tu marches vers moi.
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu penses, tu penses à toi.

[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu sais que je sais pas.
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu dis, tu dis je crois.

[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu ris, tu ris de quoi?
[Marc]
Qu'est ce que t'es belle
Quand tu doutes, tu doutes de toi.

[Marc]
Le soleil est là, le soleil est là, aide-moi.
[Catherine]
Le soleil est là, cache-toi dans mes bras.

[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu parles, tu parles de quoi?
[Marc]
Qu'est ce que t'es belle
Quand t'as peur t'a peur de toi.

[Catherine]
J'me sens pas belle
Quand tu rêves tu rêves à quoi?
[Marc]
Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu penses, tu penses à moi

[Marc]
Le soleil est là, le soleil est là, aide-moi.
[Catherine]
Le soleil est là, cache -toi dans mes bras.
Dans mes bras.

. . .

Sittin' On The Dock Of The Bay

[No lyrics]

. . .


Je te donne toutes les Cadillac civiles
Tous les dîners chez Maxime
Tous les cinq étoiles de la ville,
Avec terrasse et piscine
Je donne ma Rollex, mon smoking
Et mes paires de boots en lézard
Un Mystère 20 et deux BŒing
Tout l'or, tout l'argent, tout l'ivoire

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

Je donne toutes les îles désertes
Et tous les palmiers sur la côte
Et la combinaison secrète
Pour ouvrir les coffres et la porte
Je donne les villas bord de mer
Et toutes les toiles de Picasso
Je donne à tort et à travers
Mon temps, ma vie et mon cerveau

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

Du du du du du...

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

Je donne mon paquet de cigarettes
Ma chemise à fleurs, mon kimono
Mes plans secrets et mes plantes vertes
J'offre croisière avec radeau
Je donne mon lit, ma brosse à dents
Mon esprit tordu mais sincère
Mes tickets de bus et restaurant
Je donne tout devant moi derrière

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi
Pour une biguine avec toi,
Envie d'une biguine avec toi

. . .


Une fille aime un garçon
Dans une voiture volée
Près d'une ville bidon
Sur une zone en danger

Terrain vague amarré
A la cité romaine
Comme un fou décoiffé
Déshabille une reine

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
La folie les mélange
C'est la nuit qui les change
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour, ont fait l'amour

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
Quand leurs corps se mélangent
Dans la lumière étrange
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour
Sur le parking des anges

Lui il a sur sa peau
Tatoué le nom de l'autre
Elle lui dit qu'il est beau
Qu'elle en aimera pas d'autres

Elle c'est une trafiquante
D'amour c'est son métier
Mais ce soir c'est l'amante
D'un garçon recherché

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
La folie les mélange
C'est la nuit qui les change
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour, ont fait l'amour

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
Quand leurs corps se mélangent
Dans la lumière étrange
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour
Sur le parking des anges

Les hommes sont arrivés
Avec l'éclat du jour
Le temps s'est arrêté
Suspendu pour toujours

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
La folie les mélange
C'est la nuit qui les change
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour, ont fait l'amour

Sur le parking des anges
Plus rien ne les dérange
Quand leurs corps se mélangent
Dans la lumière étrange
Sur le parking des anges
Deux anges au petit jour
Ont fait l'amour
Sur le parking des anges

. . .


Je pense à vous souvent
Je continue quand même
D'aimer les bateaux blancs
Que le désir entraîne
Je manque de vous souvent
Mais je m'en vais quand même
Laisser voler le vent
Qui souffle sur la peine

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdue
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cŒur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

Je rêve à vous souvent
Je me souviens de tout
Je me réveille à temps
Mais je vous vois partout
Je vous attends souvent
J'invente un rendez-vous
Vous n'avez plus le temps
Plus une minute à vous

Chère amie, je vous envoie ces quelques mots
Pour vous dire qu'il ne fait pas beau
Et que j'ai mal, seul, depuis que je vous ai perdue
Je vous écris ces quelques fleurs
Avec mon cŒur à l'intérieur
Je vous fais toutes mes excuses

. . .


C'est vrai je fume trop
C'est vrai que je bois trop
Avec des gens qui parlent trop
Il est vrai que je traîne un peu trop !
C'est vrai je sors trop
C'est vrai je "..." trop
Ce soir, j'ai bu un ou deux verres de trop
Il est vrai que je t'aime un peu trop.

C'est vrai c'est trop, je le reconnais.
C'est vrai c'est beaucoup trop mais au moins c'est vrai.

Je m'sens si seul, tu me manques tant
Que j'écoute le souffle du vent
Tu me manques tant, j'me sens si seul
Que j'écoute everything, que j'écoute everything
Everything but the girl...

C'est vrai que j'en dis trop
C'est vrai que j'en fais trop
C'est vrai, c'est vrai je rêve trop
Il est vrai que je t'aime un peu trop.

C'est vrai c'est trop, je le reconnais.
C'est vrai c'est beaucoup trop mais au moins tu sais que c'est vrai.

Je m'sens si seul, tu me manques tant
Que j'écoute le souffle du vent
Tu me manques tant, j'me sens si seul
Que j'écoute everything, que j'écoute everything
Everything but the girl...

Je m'sens si seul, tu me manques tant
Que j'écoute le souffle du vent
Tu me manques tant, j'me sens si seul
Que j'écoute everything, que j'écoute everything
Everything but the girl...

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