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Lara Fabian




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Lara Fabian Album


Un Regard 9 Live (11/13/2006)
11/13/2006
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C'est un fruit sucré que l'univers et la terre ensemence
Un cadeau divin qui t'es offert
Si tu crois à cette chance
La vie s'arrange pour nous donner
L'autre moitier d'orange

C'est un voyage au creux de la chair
Ou la guerre n'existe pas
La preuve que chacune de tes prieres sinceres trouvera
Une reponse malgré l'abscence
Des que l'amour s'avance

Aime,
La vie est tellement belle
Des que tu deviens celle ou celui qui aime
La certitude que l'autre est essentiel
C'est un rendez-vous comme un cadeau du ciel

Aime,
Et fous toi de la haine
Ne redeviens pas celle ou celui qui peine
La solitude est un chemin cruel
N'oublie jamais que l'amour est eternelle

C'est une caresse et l'on tremble ensemble
On s'y attendait plus
C'est un regard qui nous ressemble au visage
De cet inconnu
Soudain les larmes inondent nos coeurs
On etreint le bonheur

Aime,
La vie est tellement belle
Des que tu deviens celle ou celui qui aime
La certitude que l'autre est essentiel
C'est un rendez-vous comme un cadeau du ciel

Aime,
Et fou toi de la haine
Ne redeviens pas celle ou celui qui peine
La solitude est un chemin cruel
N'oublie jamais que l'amour est eternelle

Je te dis A I M E

. . .


(feat. Melissa Mars)

Des hommes,
Quand ils dansent comme personne
Quand ils chantent, que ça sonne
D’Astaire à Morrisson
Des ricains,
Quand ils jettent du bon vin
On leur foutrait des pains
Là, c’est plus nos copains

Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Etre homéricains

Des hommes,
Quand Michael Moore cogne
Sur un système “qui Bush” on
De Kaboul à Enron
Des ricains,
Quand se dressent les faux seins
Les fast-foods à chaque coin
Fausse viande dans les mains

Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Etre homéricains

Des hommes,
Quand la leçon qu’ils donnent
Est d’être comme un seul homme
Au pied des tours fantômes

Des ricains,
Quand au nom du divin
Ils sirotent leur voisin
Pour pouvoir faire le plein

Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Tout comme nous,
Ils sont des hommes
Nous sommes aussi des ricains
Jamais la foi n’abandonne
Les hommes, les homéricains…

. . .



D'ici rien ne part, rien de bouge
Arrêt sur écran vivant
Isolée, vaincue, sans doutes
Aliénée, pas même un battement
J'aimerai qu'on me ramène
Je ne reconnais plus les gens
Seule tout au fond de ma haine
La peine est mon dernier amant
Il faudrait que je me lève
Respire et marche vers l'avant
Bâtisse a nouveau la grève
Enterrée par mes sables mouvants
Et me souvenir celle
Qui n'existe plus vraiment
Redevenir la rebelle
Et la bête vaincue par l'enfant

J'y crois encore
On est vivant tant qu'on est fort
On a la foi quand on s'endort la rage au ventre
J'y crois encore
A tout jamais
Jusqu'à la mort
Le silence a eu tort
J'y crois encore

Et que le l'espace où j'en crève
Devienne un autre néant
Quand le ciel dévoile soulève
En moi l'âme et l'émoi d'un géant
Me retourner sans un geste
Le passé m'en passer vraiment
Cracher sur tout ce qui blesse
Ramener le futur au présent

J'y crois encore
On est vivant tant qu'on est fort
On a la foi quand on s'endort la rage au ventre
J'y crois encore
A tout jamais
Jusqu'à la mort
Le silence a eu tort
J'y crois encore

J'y crois encore
A tout jamais
Encore plus fort
Le silence a eu tort

. . .


Un collier d’oranges amères
Une étole de verre
Une réponse sans prière
Une étoile de terre
Et dans ce sourire étrange
Le visage d’un ange qui me rappelle qu’ici-bas

Il ne manquait que toi
Pour que le combat ne se livre pas
Je rends les larmes
Toutes celles qu’on ne choisit pas
Je te donne mon âme
Si tu ne la prends pas

Le souffle d’une eau qui chante
Une odeur de menthe
La douceur d’une course lente
La dernière attente
Dessine-moi un mystère
Que rien ne peut défaire
Qui me rappelle qu’ici-bas

Il ne manquait que toi
Pour que le combat
Ne se livre pas
Je rends les larmes
Toutes celles qu’on ne choisit pas
Je te donne mon âme
Si tu ne la prends pas

A force de se réfléchir dans un miroir de souvenirs
J’en oublie que mon avenir est presque là

Il ne manquait que toi
Pour que le combat
Ne se livre pas
Je prends les larmes
Toutes celles qu’on pleure de joie
Maintenant que mon âme
Se souvient de toi
Il ne manquait que toi

. . .



Ame ou soeur
Jumeau ou frère
De rien mais qui es-tu
Tu es mon plus grand mystère
Mon seul lien contigu
Tu m'enrubannes et m'embryonnes
Et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue

Tu ne parles qu'une langue aucun mot déçu
Celle qui fait de toi mon autre
L'être reconnu
Il n'y a rien à comprendre
Et que passe l'intrus
Qui n'en pourra rien attendre
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble

Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit

Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini

Et si l'un de nous deux tombe
L'arbre de nos vies
Nous gardera loin de l'ombre
Entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l'autre
Nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble

Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit

Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini


. . .


Tu peux trouver tous les trésors de guerre
Tu peux louer tous les châteaux du monde
Tu peux avoir tout l’argent de la terre
Et même les oeufs que les poules d’or pondent
Mais tu n’as rien qui me fera voter pour
Si tu n’as pas d’amour

Tu peux avoir des yeux comme des grands phares
La peau bronzée comme le sable en été
Un humour à l’épreuve des cafards
Ou le sourire d’une star de ciné
Mais tu n’as rien qui me fera voter pour
Si tu n’as pas d’amour

Si tu n’as pas d’amour,
Tu ne me feras jamais, jamais, jamais voter pour
Arrête de faire le sourd,
T’es lourd, trop lourd

Tu peux briller dans les milieux d’affaires
Etre fidèle ou tireur d’élite
Me réciter par coeur le dictionnaire
Etre le plus fort au Trivial Pursuit
Mais tu n’as rien qui me fera voter pour
Si tu n’as pas d’amour

Si tu n’as pas d’amour,
Tu ne me feras jamais, jamais, jamais voter pour
Arrête de faire le sourd,
T’es lourd, trop lourd

Tu peux aller chez les plus grands couturiers
Te parfumer aux essences les plus rares
Avoir la démarche d’un top model branché
Changer de lunettes pour mieux changer de regard
Mais tu n’as rien qui me fera voter pour
Si tu n’as pas d’amour

Si tu n’as pas d’amour,
Tu ne me feras jamais, jamais, jamais voter pour
Arrête de faire le sourd,
T’es lourd, trop lourd

. . .



J'ai tant appris
De ces moments de détresse
Et si j'ai grandi
C'est au prix de la forteresse
Où dorment les rêves
Un peu trop fous
Je rêve mieux depuis

Ce qui m'a aidée
C'est pas vraiment ce qui blesse
Mais plutôt le bruit
Qui nous guette quand ce qui reste
Est un défi
Qui remplit l'espace
Qu'aucun mot ne remplace

Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare
En silence

On est demain
Soudain j'entends quelques pas
Pourtant y a plus rien
Enfin y a plus rien que moi
Et là j'ai compris
Qu'il est parti
En me laissant ce cri

Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare

Le silence
Qui nous laisse au bout de ce couloir
Qui nous regarde dans ce miroir
Et qui reprend sa place
Quand on se refait face
En silence

Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare
En silence...

. . .


Avant même que l'on ne soit vie, on est pris
Dans un nid de chair et de tendresse
Une étreinte infinie qui nous lie
Nous délivre une sagesse
Tout déjà est acquis
Mais pour qui dès ce cri
Trahissons-nous le geste d'amour qui unit
Désunit et nourrit les regrets

Un Ave Maria dont l'enfant ne serait pas
Une statuette, une prière sans foi
Mais une lettre offerte
A ceux qui n'écrivent pas
Pour que les mots résonnent enfin
Comme un Ave Maria

A voux, à nous, à ceux qui
Trouveront une paix, une terre, une harmonie
Une infinie raison, sans raison d'être, sans être honni
Et ceux qui "mal y pense", qu'ils le pensent
À bientôt, mais dans une autre vie
Dans celle-ci qu'on se donne
Une chance de tout recommencer

Un Ave Maria dont l'enfant ne serait pas
Une statuette, une prière sans foi
Mais une lettre offerte
A ceux qui n'écrivent pas
Pour que les mots résonnent enfin
Comme un Ave Maria

Un Ave Maria
Pour ceux qui ne prient pas
Pour que la musique soit à nouveau la voix
D'un aveu impudique pour ceux qui ne croient pas
Pour tous ceux qui méritent enfin
Un Ave Maria

. . .



Si perdue dans le ciel
Ne me restait qu'une aile
Tu serais celle-là

Si traînant dans mes ruines
Ne brillait rien qu'un fil
Tu serais celui-là

Si oubliée des dieux
J'échouais vers une île
Tu serais celle-là

Si même l'inutile
Restait le seuil fragile
Je franchirais le pas

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai décroché un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel
Je meurs de toi

Si les mots sont des traces
Je marquerai ma peau
De ce qu'on ne dit pas

Pour que rien ne t'efface
Je garderai le mal
S'il ne reste que ça

On aura beau me dire
Que rien ne valait rien
Tout ce rien est à moi

A quoi peut me servir
De trouver le destin
S'il ne mène pas à toi ?

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai déchiré un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel
Je meurs de toi

Je meurs de toi...

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai décroché un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel

. . .



Tout, tout, tout est fini entre nous
J'ai plus la force du tout, tout
D'y croire et d'espérer
Tout, tout, à présent, je te dis tout
De ce vide entre nous, tout
De tes mains désabusées
Tout, tout ce qui nous unie
Tout ce qui nous detruit au corps
Est à présent fini
Tout, ces moments incompris
Ces instants indécis
S'écrivent au passé aujourd'hui
C'est fini

Nous, on était pas comme les autres
Nous, on décidait d'être entre autres
Les plus forts, les plus fous
Nous on avait rien à prouver
Nous, on avait rien à gâcher
Sauf, sauf notre liberté

Nous, on a rien vu passer
Rien vu se déchirer
Pas même la force de ces années
Nous , on a joué le tout pour le tout
On s'est dis on s'en fout
On a l'univers rien qu'à nous
On a tout

Sors, sors, de mon sang, de mon corps
Sors, toi qui me gardes encore
Au creux de tes regrets
Parles, parles, dis-le moi sans trembler
Que t'en a plus rien à cirer
Parles, pleures et je comprendrai

Tu sais, Tu sais que je peux tout entendre
Partir rester ou même me rendre
Que le ciel là-haut m'entende

Tout, tout, tout est fini entre nous
J'ai plus la force du tout d'y croire et d'espérer
Tout, tout, tout est fini entre nous
Mais je garde l'espoir fou qu'un jour on redira

. . .


1, 2, peut-on compter jusqu’à 2 ?
Toi et moi, qui n’étions pas
Arrivés jusque-là
C’est sûr, pour guérir de nos blessures
Faut plus de 80 jours
Pour en refaire le tour

Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi

Je crois que le soleil se lèvera
Si tu t’endors dans mes bras
On ne vieillira pas

Allez, tu m’as promis d’embarquer
On voyagera léger
Sans le poids du passé

Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi

1, 2, peut-on compter jusqu’à 2 ?
Toi et moi, qui n’étions pas
Arrivés jusque-là
1, 2, peut-on compter jusqu’à 2 ?
Un peu plus tard on verra
Si l’on peut être trois

Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi

. . .


REFRAIN:
Il ne portait qu'un grand chapeau
Une canne et un long manteau
Il s'endormait sur les vieux bancs
Du parc où l'on allait souvent
Il dessinait des arc-en-ciel
Sous les pavés, sous les gratte-ciel
Il se couchait près d'un sac bizarre
Où il cachait sa style guitare

Couplet 1:
L'homme qui n'avait pas de maison
Nous racontait tout plein d'histoires
S'il avait perdu la raison
Il n'avait pas perdu la mémoire

Couplet 2:
L'homme qui n'avait pas de maison
Avait toujours un beau sourire
Un grand sourire qui en dit long
Quand ceux qui parlent n'ont rien à dire

REFRAIN:
Il ne portait qu'un grand chapeau
Une canne et un long manteau
Il s'endormait sur les vieux bancs
Du parc où l'on allait souvent
Il dessinait des arc-en-ciel
Sous les pavés, sous les gratte-ciel
Il se couchait près d'un sac bizarre
Où il cachait sa style guitare

Couplet 3:
L'homme qui n'avait pas de maison
Avait gravé sur son visage
Les cruautés que les saisons
Avaient laissées sur leur passage

Couplet 4:
L'homme qui n'avait pas de maison
Ranger son coeur dans une bouteille
Dont il tirait toute l'affection
Qu'il lui manquait au réveil

REFRAIN:
Il ne portait qu'un grand chapeau
Une canne et un long manteau
Il s'endormait sur les vieux bancs
Du parc où l'on allait souvent
Il dessinait des arc-en-ciel
Sous les pavés, sous les gratte-ciel
Il se couchait près d'un sac bizarre
Où il cachait sa style guitare

AD-lib ....

. . .


Ecris-moi une lettre de rupture
En m'expliquant toutes les raisons
Qui t'ont fait t'évanouir dans la nature
Qui m'font mélanger toutes les saisons
Choisis bien tes mots, choisis les justes
Comme un artisan prend
Son temps quand il ajuste

Ecris-moi une lettre de rupture
Envois-moi seulement le brouillon
Promis j'vais rien chercher dans tes ratures
Ecris-moi une lettre au crayon
Ecris-moi comme on écrit la musique
Sacrifies-moi aux dieux
Des amours amnésiques

{Refrain:}
Même si partir quand l'autre reste
Ça fait du mal aux sentiments
Ça peut quand même faire un beau geste
Sauf si bien sûr l'un des deux ment

Ecris-moi une lettre de rupture
Comme quand on s'laissait des mots à la maison
Je noterai pas les fautes d'écriture
J'verrai pas les fautes de liaisons
Et j'irai bien les chercher moi-même
Si j'n'étais pas si sûre
Pas si sûre que je t'aime

{au Refrain}

Pour nous toujours, pour nous peut-être
Comme laisser mes illusions
Quand tu me l'écrieras cette lettre
Ne signes pas ou d'un faux nom

{au Refrain}

Ecris-moi une lettre de rupture
En m'expliquant toutes les raisons
Qui t'ont fait t'évanouir…

. . .


PRAYER
Oh God-our heavenly Father.
Oh, God-and my father
Who is also in heaven.
May the light of this
Flickering candle
Illuminate the night the way
Your spirit illuminates my soul.

Papa, can you hear me?
Papa, can you see me?
Papa can you find me in the night?
Papa are you near me?
Papa, can you hear me?
Papa, can you help me not be frightened?
Looking at the skies I seem to see
A million eyes which ones are yours?
Where are you now that yesterday
Has waved goodbye
And closed its doors?
The night is so much darker;
The wind is so much colder;
The world I see is so much bigger
Now that I'm alone.
Papa, please forgive me.
Try to understand me;
Papa, don’t you know I had no choice?
Can you hear me praying,
Anything I'm saying
Even though the night is filled with voices?
I remember everything you taught me
Every book 1've ever read...
Can all the words in all the books
Help me to face what lies ahead?
The trees are so much taller
And I feel so much smaller;
The moon is twice as lonely
And the stars are half as bright...
Papa, how I love you...
Papa, how I need you.
Papa, how I miss you
Kissing me good night...

. . .


It all began the day I found..
That from my window I could only see
A piece of sky.
I stepped outside and looked around.
I never dreamed it was so wide
Or even half as high.
The time had come
(Papa, can you hear me?)
To try my wings
(Papa, are you near me?)
And even thought it seemed at any moment I could fall,
I felt the most,
(Papa, can you see me?)
Amazing things,
(Can you understand me?)
The things you can't imagine
if you've never flown at all.
Though it's safer to stay on the ground,
Sometimes where danger lies
There the sweetest of pleasures are found.
No matter where I go,
There'll be memories that tug at my sleeve,
But there will also be
More to question, yet more to believe..
Oh tell me where?
Where is the someone who will turn and look at me?
And want to share
My ev'ry sweet-imagined possibility?
The more I live - the more I learn.
The more I learn - the more I realize
The less I know.
Each step I take -
(Papa, I've a voice now!)Each page I turn -
(Papa, I've a choice now!)Each mile I travel only means
The more I have to go.
What's wrong with wanting more?
If you can fly - then soar!
With all there is - why settle for
just a piece of sky?
Papa, I can hear you...
Papa, I can see you...
Papa, I can feel you...
Papa, watch me fly!

. . .


Des fleurs de lys blanches sous un ciel bleu de cristal
Des balades sous une neige en forme d’étoile
Des érables aux couleurs d’une passion fatale
Je n’oublie rien de rien,
Je me souviens
Les odeurs d’une forêt qu’un beau lac dévoile
Les reflets d’un grand feu sur nos visages pâles
Une lumière intense par des nuits boréales
Je n’oublie rien de rien,
Je me souviens

J’aime tes poèmes, ton coeur, ta liberté
Tu es la seule terre où
Mon âme s’est posée

Un accent dont personne ne connaît les secrets
Un français qui s’élance dans des mots oubliés
Une manière inimitable de chanter
Je n’oublie rien de rien,
Je me souviens

J’aime tes blasphèmes, ta foi, ta dignité
Tu es comme une île
Que l’on ne peut pas quitter

J’aime tes poèmes, ton coeur, ta liberté
Tu es comme une île
Que l’on ne veut pas quitter

Des paysages qui mélangent au plus que parfait
Des dessins que la nature ne refait jamais
L’impression d’être entrée au jardin de la paix
Je n’oublie rien de rien
Et je reviens

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