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Lara Fabian




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Lara Fabian Album


Pure (1996)
1996
1.
2.
3.
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8.
9.
10.
11.
12.
. . .



Tout, tout, tout est fini entre nous
J'ai plus la force du tout, tout
D'y croire et d'espérer
Tout, tout, à présent, je te dis tout
De ce vide entre nous, tout
De tes mains désabusées
Tout, tout ce qui nous unie
Tout ce qui nous detruit au corps
Est à présent fini
Tout, ces moments incompris
Ces instants indécis
S'écrivent au passé aujourd'hui
C'est fini

Nous, on était pas comme les autres
Nous, on décidait d'être entre autres
Les plus forts, les plus fous
Nous on avait rien à prouver
Nous, on avait rien à gâcher
Sauf, sauf notre liberté

Nous, on a rien vu passer
Rien vu se déchirer
Pas même la force de ces années
Nous , on a joué le tout pour le tout
On s'est dis on s'en fout
On a l'univers rien qu'à nous
On a tout

Sors, sors, de mon sang, de mon corps
Sors, toi qui me gardes encore
Au creux de tes regrets
Parles, parles, dis-le moi sans trembler
Que t'en a plus rien à cirer
Parles, pleures et je comprendrai

Tu sais, Tu sais que je peux tout entendre
Partir rester ou même me rendre
Que le ciel là-haut m'entende

Tout, tout, tout est fini entre nous
J'ai plus la force du tout d'y croire et d'espérer
Tout, tout, tout est fini entre nous
Mais je garde l'espoir fou qu'un jour on redira

. . .



Je le sens
Je le sais
Quand t'as mal à l'autre bout de la terre
Quand tu pleures pendant des heures
Sur mon coeur je pourrais hurler
Le jurer même si je ne vois rien
D'où je suis je sens ton chagrin
Quand je me vois
Sans tes mains
Sans tes bras je ne peux plus respirer
Et j'entends si souvent
Le chant du vent
Qui vient pour me ramener
Vers tes landes sous ton ciel d'Irlande

Quitter ma vie sans préavis
Je le ferais si tu m'aimes

Même si j'ai tort
Tout est plus fort
Que la raison tout est plus fort que ton nom
Que je redis que j'écris sans arrêt
Sur les écrans de ma vie
Et j'espère que chacunes des aurores
Que je vois me mènera à ton corps

Je quitterai tout si tu m'aimes

Je sais que je n'me trompe pas
Que quelque part au loin là-bas
Tu penses encore à moi
Tu m'as gardé dans tes bras
Une place, un ébat

Dis-le moi tout bas que tu m'aimes
Que tu m'aimes

Je le sens
Tu penses encore à moi
Je le sais, tu m'as gardé tes bras

Dis-le moi

. . .



Un bout de mer, tout s'accélère
Jamais moyen de retourner en arrière
Un bout de ciel, des mauvaises nouvelles
De l'autre hémisphère
La météo, soleil tout là-haut
Sauf pour ceux qui brûlent de froid en enfer
Tourbillon, désinformation
C'est partout l'hiver
Dans ma mémoire, seul devant les chars
Un homme debout à fait avancer
l'histoire
Et pourtant, rien n'est différent
La guerre, les gens
Tout se brouille, devant mes yeux
Et je ne comprends plus du tout qui mène le jeu
Cette voix de fer, me dit "tout va de travers"

Alors j'ai zappé
Pour que l'image change
Et j'ai prié très fort pour que tout s'arrange
Si y a quelqu'un là-haut
Faites qu'on reprenne à zéro

Et j'espère, mais y a plus rien à faire
C'est comme une partie de carte sans jokers
Pas de doute, plus personne n'écoute
Sur cette petite planète
Pas de doute, personne ne s'écoute
Tous les appels se perdent dans la tempête
Cette voix de fer, me dit tout va de travers

Pas de doute, personne ne s'écoute
Tous les appels se perdent dans la tempête
Cette voix de fer, me dit "tout va de travers"

Un bout de mer
Un bout de ciel
L'autre hemisphère
J'espère

. . .



La différence
Celle qui dérange
Une préférence, un état d'âme
Une circonstance
Un corps à corps
En désaccord
Avec les gens trop bien pensant
Les moeurs d'abord
Leur peau ne s'étonnera jamais des différences
Elles se ressemblent, se touchent
Comme ces deux hommes qui dansent
Sans jamais parler
Sans jamais crier
Ils s'aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Ils se font confiance
Si vous saviez comme ils se foutent
De nos injures
Ils préfèrent l'amour, surtout le vrai
À nos murmures

lls parlent souvent
Des autres gens
Qui s'aiment si fort
Qui s'aiment comme on dit normalement
De cet enfant
Tellement absent
De ce mal du sang qui court
Et tue si librement
Leurs yeux ne s'éloigneront jamais par négligence
Ils se reconnaissent, s'apprivoisent
Comme ces deux femmes qui dansent

Sans jamais parler
Sans jamais crier
Elles s'aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Elles se font confiance
Si vous saviez comme ils se foutent
De nos injures
Ils préfèrent l'amour, surtout le vrai
À nos murmures

De Verlaine à Rimbaud
Quand on y pense
On tolère l'exceptionnelle différence

La difference
Quand on y pense

. . .



(Humana)

Il te faudra partir
Au lever du soleil
Quitter cette vie
Qui tous les jours pareil
Détruira tes rêves
Dérangera ton ciel
(Humana)

Plier tous tes bagages
Partir avec les tiens
Entreprendre un voyage
Qui te mènera plus loin
Ne te retourne pas
Mon visage sera toi
(Humana)

Et poussé par tous les vents
Même si certains retiendrons ta foi
Ne regarde que la lumière
Et élève la voix
(Humana)

Chante plus fort
Et marche encore
On parle de toi
(Humana)

Assouvir ce désir
D'être enfin le roi
D'étendues si vastes
Que tu n'imaginais pas
Tout tenir dans tes mains
Mais tu y es déjà
(Humana)

(Chante plus fort)
(Et marche encore)
(On parle de toi)
(Humana)

Ne te retourne pas
Au lever du soleil
Mon visage sera toi

. . .



Petite rose bien esseulée
Recherche tendre jardinier
Pour cultiver des tendresses
Près d'une grande maison fleurie
Petit navire fuyant l'hiver
Recherche capitaine au long cours
Pour entreprendre une croisière
Sur un océan d'amour
Urgent désir
Vous rencontrer
Soit pour la vie
Soit pour l'été
Tout effacer
Recommencer
Urgent désir

Je suis femme douce et féline
La nuit j'ai le corps andalou
L'amour me rend câline
J'ignore les tabous
Si tu as l'âme de poète
Et tu te sent bien dans la tête
Si ton coeur est de bohème
Je saurai dire je t'aime

Urgent désir
Vous rencontrer
Soit pour la vie
Soit pour l'été
Peur de mourir
Sans être aimée

. . .



Les amoureux de l'an deux mille
Cherchent à comprendre
Que seules leurs mains restent mobiles
Pour se défendre
Ils transmettent par ordinateur
Chacun des battements de leur coeur
Les amoureux de l'an deux mille
Viennent juste d'apprendre
Que pour se câbler sur la ville
Faut être Internet tendre
Pour garder l'envie d'exister
Presser sur start et démarrer

Débranchez moi
Je voyage vers ce monde là
Monde sans été, monde sans hiver
Je préfère brûler en enfer
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et faites moi mal
Réanimez l'animal

Les amoureux de l'an deux mille se synthétisent
En plusieurs sentiments stériles
Qui s'électronisent - s'informatisent
Un simple rendez vous magique
Passe par un module de plastique

Les amoureux de l'an deux mille
N'ont plus rien à craindre
On fera l'amour cybernétique

. . .



Ici, ici j'ai connu la nuit
J'ai reçu la pluie
Comme une délivrance
Parfois touché le silence
Ici j'ai appris l'oubli
Ici, Ici, j'ai déjà aimé
Même détesté
Au delà du bien
Aimé, au delà du mal
Ici, pouvoir tout recommencer
C'est comme si un ange soudain
Me retenait les mains
J'ai regagné enfin la lumière
La certitude d'être forte et debout
Comme un instant de paix
À travers les éclairs
Je suis du ciel
Du ciel et de la terre

Mais ici, ici j'ai vu la colère
Mes peines se défairent
Mes envies de batailles
Laissées aux chiens de paille
Ici, enfin tout ressemble à la vie

Ici enfin s'envole ma vie
S'éloigne la pluie

. . .



Toi qu'on appelle l'enfant
D'un monde en déroute
Il te faudra apprendre
À ignorer leurs doutes
Leurs manque de confiance
Regarder droit devant
Leur prouver que tout
N'est qu'une question de temps

À tous les nostalgiques des paradis perdus
À tous les de mon temps
C'était vraiment mieux avant
Ne les écoute pas

Toucher tes rêves
Personne ne t'en empêchera
Alléluia
Voguer sur tes galères
Comme bon te semblera
Alléluia
Dans un éclat de rire
Ta vie comme un alléluia
Alléluia Alléluia Alléluia

Ton histoire au fond
N'appartient qu'à toi
Elle fera partie de ces rêves
Qu'on ne vit qu'une fois
Ton nom bien gravé dans
La mémoire des gens
Qui t'offraient leurs doutes immenses

. . .



D'accord, il existait
D'autres façons de se quitter
Quelques éclats de verre
Auraient peut-être pu nous aider
Dans ce silence amer
J'ai décidé de pardonner
Les erreurs qu'on peut faire
À trop s'aimer
D'accord souvent la petite fille
En moi souvent te réclamait
Presque comme une mère
Tu me bordais, me protégeais
Je t'ai volé ce sang
Qu'on aurait pas dû partager
À bout de mots, de rêves
Je vais crier

Je t'aime, Je t'aime
Comme un fou, comme un soldat
Comme une star de cinéma
Je t'aime, je t'aime
Comme un loup, comme un roi
Comme un homme que je ne suis pas
Tu vois, je t'aime comme ça

D'accord, je t'ai confié
Tous mes sourires, tous mes secrets
Même ceux, dont seul un frère
Est le gardien inavoué
Dans cette maison de pierre
Satan nous regardait danser
J'ai tant voulu la guerre
De corps qui se faisaient la paix

Je t'aime, Je t'aime
Comme un fou comme un soldat
Comme une star de cinéma
Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
Comme un loup, comme un roi
Comme un homme que je ne suis pas
Tu vois, je t'aime comme ça

. . .



Assise à ta place
Dans cette maison de glace
Je compte un à un mes torts
Je vois ces carafes
remplies du vide
Qui transperce mon corps
Et toutes mes nuits se fondent
Jamais tes yeux ne tombent
De mon coeur qui succombe
À ton départ, mais

Je t'appartiens
Comme l'orque et la mer ne font qu'un
Elles n'aiment qu'une seule fois
Puis s'échouent comme on se noie

Des projets, des rêves
S'arrachent et j'en crève
Je ne vis plus, je meurs
Même en surface
Te voir, me glace
Et m'éventre le coeur
Et toutes les nuits se fondent
Dans tes bras une autre tombe
Je méprise même son ombre
Et ton départ, mais

Je t'appartiens
Oui, je t'appartient
Comme l'orque et la mer ne font qu'un
Elles n'aiment qu'une seule fois
Puis s'échouent comme on se noie

. . .



E adesso andate via
Voglio restare sola
Con la malinconia
Volare nel suo cielo
Non chiesi mai chi eri
Perche sceglesti me
Perdere l'amore, quando si fa sera
Quando fra i capelli un po d'argento li colora
Rischi d'impazzire, po scoppiarti il cuore
Perdere l'amore e avere voglia di morire
Lascia mi gridare rinegare il cielo
Prendere a sassate tutti i sogni ancora in iolo
Li faro cadere ad uno ad uno
Spezzero leali del destino
Eti avro vicino

Comunque ti capisco
E amnetto che sbagliavo
Facevo le tue scecte
Chissa che pretendevo
Adesso che rimane
Ditutto il tempo insieme
Una donna troppo sola
Che anchora ti vuol bene

Perdere l'amore, quando si fa sera
Quando sopra il viso, ce una ruga che non c'era
Provi a raggionare fai l'indiferrente
Fino a che ti accorgi che non sei sevita a niente
E vorresti urlare, soffocare il cielo
Sbattere la testa mille volte contro il muro
Respirare forte il suo cocino
Dire e tutta colpo del destino
E ti avro vicino

Perdere l'amore, maledetta sera
Che raccoglie i cocci di una vita immaginaria
Ma repeti non me l'aspettavo
Prendere a sassate tutti i soeni ancora in volo
Spezzero le ali del destino
E ti avro vicino

. . .


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