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Lara Fabian




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Lara Fabian Album


Live 2002 (12/19/2002)
12/19/2002
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Tu me manques, y a rien à faire
Tu ne manques, pas de mystère
Pourquoi ce coeur fracturé ne peut se détacher

Ton image est gravée
Mon rêve s'est envolé dans un écrin de soleil
La vie ou la pluie c'est pareil

Tu me manques
J'y crois encore
Tu me manques, l'amour est fort
Comment pourrais-je accepter que le ciel vient de tomber?
Tu me manques, ça va passer
Tu me manques, je suis déchirée
Je ne trouve que ces mots là pour te dire je t'aime cent fois

Tous les jours s'agrandit ce petit bout d'amour
celui qu' j'avais construit pour toi jour après jour
J'aurais voulu te dire
Les mots qu'on ne dit pas
Apprendre à les écrire, te les chanter tout bas
Tu me manques, trop tard le soir
Tu me manques, je garde espoir
Je sais que quelqu'un là haut nous a porté ce soir
Nous a laissé le temps, le temps d'un sentiment
Même si la vie souvent fait battre nos coeurs
à contre temps oh...

Tu me manques, as-tu compris ?
Tu me manques j'ai froid la nuit
Monréal ou Paris, où es-tu ? trop loin d'ici
Tu me manques, je te l'ai dis
Tu me manques, je te l'écris
Je ne trouve que ces mots là pour te dire je t'aime cent fois...


. . .



Si perdue dans le ciel
Ne me restait qu'une aile
Tu serais celle-là

Si traînant dans mes ruines
Ne brillait rien qu'un fil
Tu serais celui-là

Si oubliée des dieux
J'échouais vers une île
Tu serais celle-là

Si même l'inutile
Restait le seuil fragile
Je franchirais le pas

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai décroché un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel
Je meurs de toi

Si les mots sont des traces
Je marquerai ma peau
De ce qu'on ne dit pas

Pour que rien ne t'efface
Je garderai le mal
S'il ne reste que ça

On aura beau me dire
Que rien ne valait rien
Tout ce rien est à moi

A quoi peut me servir
De trouver le destin
S'il ne mène pas à toi ?

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai déchiré un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel
Je meurs de toi

Je meurs de toi...

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai décroché un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel

. . .



Tout, tout, tout est fini entre nous
J'ai plus la force du tout, tout
D'y croire et d'espérer
Tout, tout, à présent, je te dis tout
De ce vide entre nous, tout
De tes mains désabusées
Tout, tout ce qui nous unie
Tout ce qui nous detruit au corps
Est à présent fini
Tout, ces moments incompris
Ces instants indécis
S'écrivent au passé aujourd'hui
C'est fini

Nous, on était pas comme les autres
Nous, on décidait d'être entre autres
Les plus forts, les plus fous
Nous on avait rien à prouver
Nous, on avait rien à gâcher
Sauf, sauf notre liberté

Nous, on a rien vu passer
Rien vu se déchirer
Pas même la force de ces années
Nous , on a joué le tout pour le tout
On s'est dis on s'en fout
On a l'univers rien qu'à nous
On a tout

Sors, sors, de mon sang, de mon corps
Sors, toi qui me gardes encore
Au creux de tes regrets
Parles, parles, dis-le moi sans trembler
Que t'en a plus rien à cirer
Parles, pleures et je comprendrai

Tu sais, Tu sais que je peux tout entendre
Partir rester ou même me rendre
Que le ciel là-haut m'entende

Tout, tout, tout est fini entre nous
J'ai plus la force du tout d'y croire et d'espérer
Tout, tout, tout est fini entre nous
Mais je garde l'espoir fou qu'un jour on redira

. . .



Toi qu'on appelle l'enfant
D'un monde en déroute
Il te faudra apprendre
À ignorer leurs doutes
Leurs manque de confiance
Regarder droit devant
Leur prouver que tout
N'est qu'une question de temps

À tous les nostalgiques des paradis perdus
À tous les de mon temps
C'était vraiment mieux avant
Ne les écoute pas

Toucher tes rêves
Personne ne t'en empêchera
Alléluia
Voguer sur tes galères
Comme bon te semblera
Alléluia
Dans un éclat de rire
Ta vie comme un alléluia
Alléluia Alléluia Alléluia

Ton histoire au fond
N'appartient qu'à toi
Elle fera partie de ces rêves
Qu'on ne vit qu'une fois
Ton nom bien gravé dans
La mémoire des gens
Qui t'offraient leurs doutes immenses

. . .



Que faire de la terre qui ne tourne pas
Que faire de l'enfer, je n'y descends pas
Pour qui cette mer qui ne berce pas
Et puis l'éphémère, je n'y reste pas
Je me demandais si tu comprendrais
Mais comprendre quoi ?
Les mots, ça ne retient pas.
J'irai toujours là où c'est calme
J'irai toujours là où c'est droit
Où l'infini sera ma flamme
Mais ça, jamais tu ne le verras
C'etait pas toi

Je n'savais pas
Je n't'en veux pas
Pas plus qu'à moi
Que faire de nos guerres
Je n'y tomberai pas
Echec et mat hier, je n'y reviens pas
Apprendre et se taire
En casser parfois
Inspirer de l'air
Expirer de toi
Je me demandais
Si tu m'entendais
Mais entendre quoi
Les mots qui ne retiennent pas
J'irai toujours là où c'est calme
J'irai toujours là où c'est droit
Où mon honnêteté désarme
Ce que jamais tu ne comprendras
J'ai appris à travers ces larmes
Qu'il faut en aimer mieux que ça
Que les mensonges sont comme des lames
Qui tranchent et je n'y coupe pas
J'irai toujours là où c'est calme
J'irai toujours là où c'est droit
Où l'infini sera ma flamme
Mais ça, jamais tu ne le verras
C'etait pas toi

Je n'savais pas
Je ne le savais pas
Mais je n't'en veux pas
Pas plus qu'à moi
Que faire de...

. . .



La différence
Celle qui dérange
Une préférence, un état d'âme
Une circonstance
Un corps à corps
En désaccord
Avec les gens trop bien pensant
Les moeurs d'abord
Leur peau ne s'étonnera jamais des différences
Elles se ressemblent, se touchent
Comme ces deux hommes qui dansent
Sans jamais parler
Sans jamais crier
Ils s'aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Ils se font confiance
Si vous saviez comme ils se foutent
De nos injures
Ils préfèrent l'amour, surtout le vrai
À nos murmures

lls parlent souvent
Des autres gens
Qui s'aiment si fort
Qui s'aiment comme on dit normalement
De cet enfant
Tellement absent
De ce mal du sang qui court
Et tue si librement
Leurs yeux ne s'éloigneront jamais par négligence
Ils se reconnaissent, s'apprivoisent
Comme ces deux femmes qui dansent

Sans jamais parler
Sans jamais crier
Elles s'aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Elles se font confiance
Si vous saviez comme ils se foutent
De nos injures
Ils préfèrent l'amour, surtout le vrai
À nos murmures

De Verlaine à Rimbaud
Quand on y pense
On tolère l'exceptionnelle différence

La difference
Quand on y pense

. . .


I hear the drums
echoing tonight
But she hears only whispers of some quiet conversation
She's coming in 12:30 flight
The moonlit wings reflect the stars that guide me towards
salvation
I stopped an old man along the way,
Hoping to find some long forgotten words or ancinet melodies
He turned to me as if to say, Hurry boy, it's waiting there for
you

It's gonna take a lot to drag me away from you
There's nothing that a hundred men or more could ever do
I bless the rains down in Africa
Gonna take some time to do the things we never had

Libre et rebelle
Tu es de celles
Qui dansent et bats
Au rythme de la samba
Ipanéma n'est pas que la fille que l'on croit

Dans cette ville
Le cŒur dans l'eau
Une forêt
Est le refuge des bateaux
Toutes les nuits
Rouge est la lumière de sa peau

C'est plus la peine
Je ne suis plus la même

Rio
Ton Pain de Sucre est un oiseau
Jésus lui-même en a quitté sa croix
Il veille en toi les bras ouverts

Et tes enfants
De tous les sangs
Marchent sur les toits
Il n'y a pas que Guanahara
Le ballon au pied
Aucun rêve ne peut s'effondrer

L'hiver est mort
L'été, c'est janvier

Rio
Ton Pain de Sucre est un oiseau
Jésus lui-même en a quitté sa croix
Il veille en toi les bras ouverts

Rio
Carioca, c'est ça ton drapeau
Chaque couleur définissant ta foi

Vert Tijuca
Bleu nuit bossa
Jaune Copacabana
Blanche et Certi
L'eau est la terre
Où tu prends vie

Rio
Ton Pain de Sucre est un oiseau
Jésus lui-même en a quitté sa croix
Il veille en toi les bras ouverts

Fala do amor

. . .



Mais qu'est ce que je fous là
Je sombre au fond de toi
Quelle heure est t-il et quel feu me noie
Fait-il noir ou clair, je n'sais pas
Ma peau se colle au rouge de ton sang qui bouge
Et qui coule vers moi
Je danse et je me bats

Et j'enroule mes chevilles autour de toi
Mes jambes se plient
Je contourne tes hanches
Sur mes reins se joue ta revanche
Je prie en vain mais toi tu rie, une soif s'assouvit
Je danse ou je me bats
Je n'sais pas, je n'sais pas

Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L'un de nous deux est le plus fort
Quand mon corps se tord

Mais le doute s'installe
Je me sens comme en cavale
La vie me pousse dans la course
Mon corps qui te repousse
Tes gestes me rappellent que tu n'as pas sur moi
Le droit que je te dois, je danse et je me bats
Mais comment dire à qui, à quoi, à qui je suis
Quand de n'appartenir qu'à toi est le défi
Et si je te disais qu'il n'y a pas que toi
Je danse et tu te bats
Je danse et tu te bats

Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L'un de nous deux est le plus fort
Tango mi amor

Tango mon corps
Ne t'appartient pas encore
Et si mon âme s'en sort

. . .



Sèche tes pleurs
Je ne partirai pas
Il m'en faudrait bien plus que ça
Pour tou détruire, anéantir, pas ça
Sèche tes pleurs
Et refais-moi l'amour
Te souviens-tu de cet enfant
Que tu voulais m'faire en chantant
Je t'aime encore si fort
Pas sans toi
Je ne la vivrai pas cette vie là
Si tu me reprenais dans tes bras
On pourrait reconstruire tout ça

Pas sans toi
Ce serait comme renier ma vie
Ce serait comme étouffer un cri
Si j'ai tort éloignes-toi
Si tu m'aimes attends moi

Sèche tes pleurs
Le temps nous attendra
Nous nous sommes perdus dans tout ça
Il n'y a plus d'raisons d'avoir peur, je crois
Sèche tes pleurs
On est tellement plus fort
Que toutes ces heures, tous ces remords
On s'oubliait, on avait tort
Je t'aime encore si fort

Sèche tes pleurs
Refais-moi ce sourire
Celui qui ne fait pas vieillir
Ni mon âme ni mon corps

. . .



Je le sens
Je le sais
Quand t'as mal à l'autre bout de la terre
Quand tu pleures pendant des heures
Sur mon coeur je pourrais hurler
Le jurer même si je ne vois rien
D'où je suis je sens ton chagrin
Quand je me vois
Sans tes mains
Sans tes bras je ne peux plus respirer
Et j'entends si souvent
Le chant du vent
Qui vient pour me ramener
Vers tes landes sous ton ciel d'Irlande

Quitter ma vie sans préavis
Je le ferais si tu m'aimes

Même si j'ai tort
Tout est plus fort
Que la raison tout est plus fort que ton nom
Que je redis que j'écris sans arrêt
Sur les écrans de ma vie
Et j'espère que chacunes des aurores
Que je vois me mènera à ton corps

Je quitterai tout si tu m'aimes

Je sais que je n'me trompe pas
Que quelque part au loin là-bas
Tu penses encore à moi
Tu m'as gardé dans tes bras
Une place, un ébat

Dis-le moi tout bas que tu m'aimes
Que tu m'aimes

Je le sens
Tu penses encore à moi
Je le sais, tu m'as gardé tes bras

Dis-le moi

. . .



Ame ou soeur
Jumeau ou frère
De rien mais qui es-tu
Tu es mon plus grand mystère
Mon seul lien contigu
Tu m'enrubannes et m'embryonnes
Et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue

Tu ne parles qu'une langue aucun mot déçu
Celle qui fait de toi mon autre
L'être reconnu
Il n'y a rien à comprendre
Et que passe l'intrus
Qui n'en pourra rien attendre
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble

Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit

Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini

Et si l'un de nous deux tombe
L'arbre de nos vies
Nous gardera loin de l'ombre
Entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l'autre
Nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble

Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit

Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini


. . .



Il n'y a vraiment plus rien qui te retienne
La couleur de ce destin n'est plus la tienne
Et ce qui te tend les mains en vaut la peine
Il te faudra te choisir cette fois

D'hier il n'y a que le bien que tu emmènes
Bien que tu sois loin déjà, encore s'éteignent
Les feux allumés par tes envies soudaines
De n'être qu'à toi ce que tu n'osais pas

Et s'en aller
Comme on s'égare pour mieux recommencer
Le moment est arrivé
Et s'en aller
Comme on revient
Comme on revient vers soi enfin

D'une histoire à l'autre tu changeais de repères
Comme si le Soleil tournait autour de la Terre
Et depuis que tu vis ta vie à ta manière
Tu te reçois 5 sur 5 cette fois

Et s'en aller
Comme on s'égare pour mieux recommencer
Le moment est arrivé

Et s'en aller
Comme on revient
Comme on revient vers soi enfin

Et s'en aller
Comme on s'avoue que vivre à commencer
C'est le moment de vérité

Et s'en aller
Comme on revient vers soi

Il fallait une moitié de vie
Pour arrêter de retenir
La force qui pousse l'autre demie
A tout changer, à te redevenir

Et s'en aller
Comme on s'égare pour mieux recommencer
Le moment est arrivé

Et s'en aller
Comme on s'avoue que vivre à commencer
C'est le moment de vérité

Et s'en aller
Comme on s'égare pour mieux recommencer
C'est le moment de vérité

Et s'en aller
Comme on revient
Comme on revient vers soi enfin

Là c'est le moment
De la vérité
Véritablement
Et puis s'en aller
Là c'est le moment
De tout avouer
Déclarer clairement

. . .



Tout ne rime à rien quand on n'a même plus peur
Toutes les raisons de rester sont les leurs
Rien ne te retient, surtout pas le bonheur
Que tu ne cherches plus,
C'est plus l'heure

Je suis là pour ne pas regretter l'absence
Des mots et des liens qui empêchent le silence
Dis moi s'il te plait ce qu'on verra trop tard
Le dernier aveu est-il ce regard ?

Parce que tu pars
Parce que tu pars
On restera brisé devant l'irréparable
Parce que tu pars
Parce que tu pars
On éteindra tout contre soi l'intolérance
Parce que tu pars

Jure le que cet échec
N'est pas ton avenir
Ce qui t'aura pris la tête
Oublie-le pour te choisir
Et si tu veux bien
On cassera la gueule
A ce coup du destin
Qui rend seul

Parce que tu pars
Parce que tu pars
On restera brisé devant l'irréparable
Parce que tu pars
Parce que tu pars
On éteindra tout contre soi l'intolérance
Parce que tu pars, Parce que tu pars
Parce que tu pars, Parce que tu pars
On questionnera chaque journée inévitable
Parce que tu pars, Parce que tu pars
On éteindra tout contre soi l'intolérance

. . .



(Humana)

Il te faudra partir
Au lever du soleil
Quitter cette vie
Qui tous les jours pareil
Détruira tes rêves
Dérangera ton ciel
(Humana)

Plier tous tes bagages
Partir avec les tiens
Entreprendre un voyage
Qui te mènera plus loin
Ne te retourne pas
Mon visage sera toi
(Humana)

Et poussé par tous les vents
Même si certains retiendrons ta foi
Ne regarde que la lumière
Et élève la voix
(Humana)

Chante plus fort
Et marche encore
On parle de toi
(Humana)

Assouvir ce désir
D'être enfin le roi
D'étendues si vastes
Que tu n'imaginais pas
Tout tenir dans tes mains
Mais tu y es déjà
(Humana)

(Chante plus fort)
(Et marche encore)
(On parle de toi)
(Humana)

Ne te retourne pas
Au lever du soleil
Mon visage sera toi

. . .



D'accord, il existait
D'autres façons de se quitter
Quelques éclats de verre
Auraient peut-être pu nous aider
Dans ce silence amer
J'ai décidé de pardonner
Les erreurs qu'on peut faire
À trop s'aimer
D'accord souvent la petite fille
En moi souvent te réclamait
Presque comme une mère
Tu me bordais, me protégeais
Je t'ai volé ce sang
Qu'on aurait pas dû partager
À bout de mots, de rêves
Je vais crier

Je t'aime, Je t'aime
Comme un fou, comme un soldat
Comme une star de cinéma
Je t'aime, je t'aime
Comme un loup, comme un roi
Comme un homme que je ne suis pas
Tu vois, je t'aime comme ça

D'accord, je t'ai confié
Tous mes sourires, tous mes secrets
Même ceux, dont seul un frère
Est le gardien inavoué
Dans cette maison de pierre
Satan nous regardait danser
J'ai tant voulu la guerre
De corps qui se faisaient la paix

Je t'aime, Je t'aime
Comme un fou comme un soldat
Comme une star de cinéma
Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
Comme un loup, comme un roi
Comme un homme que je ne suis pas
Tu vois, je t'aime comme ça

. . .



J'ai tant appris
De ces moments de détresse
Et si j'ai grandi
C'est au prix de la forteresse
Où dorment les rêves
Un peu trop fous
Je rêve mieux depuis

Ce qui m'a aidée
C'est pas vraiment ce qui blesse
Mais plutôt le bruit
Qui nous guette quand ce qui reste
Est un défi
Qui remplit l'espace
Qu'aucun mot ne remplace

Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare
En silence

On est demain
Soudain j'entends quelques pas
Pourtant y a plus rien
Enfin y a plus rien que moi
Et là j'ai compris
Qu'il est parti
En me laissant ce cri

Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare

Le silence
Qui nous laisse au bout de ce couloir
Qui nous regarde dans ce miroir
Et qui reprend sa place
Quand on se refait face
En silence

Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare
En silence...

. . .



D'ici rien ne part, rien de bouge
Arrêt sur écran vivant
Isolée, vaincue, sans doutes
Aliénée, pas même un battement
J'aimerai qu'on me ramène
Je ne reconnais plus les gens
Seule tout au fond de ma haine
La peine est mon dernier amant
Il faudrait que je me lève
Respire et marche vers l'avant
Bâtisse a nouveau la grève
Enterrée par mes sables mouvants
Et me souvenir celle
Qui n'existe plus vraiment
Redevenir la rebelle
Et la bête vaincue par l'enfant

J'y crois encore
On est vivant tant qu'on est fort
On a la foi quand on s'endort la rage au ventre
J'y crois encore
A tout jamais
Jusqu'à la mort
Le silence a eu tort
J'y crois encore

Et que le l'espace où j'en crève
Devienne un autre néant
Quand le ciel dévoile soulève
En moi l'âme et l'émoi d'un géant
Me retourner sans un geste
Le passé m'en passer vraiment
Cracher sur tout ce qui blesse
Ramener le futur au présent

J'y crois encore
On est vivant tant qu'on est fort
On a la foi quand on s'endort la rage au ventre
J'y crois encore
A tout jamais
Jusqu'à la mort
Le silence a eu tort
J'y crois encore

J'y crois encore
A tout jamais
Encore plus fort
Le silence a eu tort

. . .



Si perdue dans le ciel
Ne me restait qu'une aile
Tu serais celle-là

Si traînant dans mes ruines
Ne brillait rien qu'un fil
Tu serais celui-là

Si oubliée des dieux
J'échouais vers une île
Tu serais celle-là

Si même l'inutile
Restait le seuil fragile
Je franchirais le pas

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai décroché un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel
Je meurs de toi

Si les mots sont des traces
Je marquerai ma peau
De ce qu'on ne dit pas

Pour que rien ne t'efface
Je garderai le mal
S'il ne reste que ça

On aura beau me dire
Que rien ne valait rien
Tout ce rien est à moi

A quoi peut me servir
De trouver le destin
S'il ne mène pas à toi ?

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai déchiré un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel
Je meurs de toi

Je meurs de toi...

Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'être celle
Qui survivra à tout ce mal
Je meurs de toi

Immortelle, immortelle
J'ai décroché un bout de ciel
Il n'abritait plus l'Eternel

. . .



J'ai peur qu'ça m'démange
Que ça recommence
J'ai peur d'oublier
La mal que ça fait

Comme une revanche
Sur le manque et l'absence
Vers cinq heures du soir
Quand le ciel s'en va

Même si ça dérange
Ma vie et le bon sens
Je ne peux pas
M'en passer comme ça

Tu reviens et ça recommence
Je veux croire encore à la chance
Je m'abandonne à l'évidence
Même si j'ai peur, je suis mon cŒur

Toujours en partance
Vers une longue errance
Au cŒur de nulle part
Où l'amour se noie

J'ai peur de l'offense
Des profonds silences
J'ai peur de ta voix
Qui ne répond pas

J'ai peur de la confiance
Perfide et ignorante
Sur un mur de pourquoi
Se cogne tout droit

Tu reviens et ça recommence
Je veux croire encore à la chance
Je m'abandonne à l'évidence
Même si j'ai peur, tu es mon coeur

J'ai peur qu'ça m'démange
Que ça recommence
Quand le bonheur est là

. . .



J'habite seul avec maman
Dans un très vieil appartement rue Sarasate
J'ai pour me tenir compagnie
Une tortue deux canaris et une chatte.
Pour laisser maman reposer
Très souvent je fais le marché et la cuisine
Je range, je lave et j'essuie,
A l'occasion je pique aussi à la machine.
Le travail ne me fait pas peur
Je suis un peu décorateur un peu styliste
Mais mon vrai métier c'est la nuit.
Que je l'exerce travesti, je suis artiste.
Jai un numéro très spécial
Qui finit en nu intégral après strip-tease,
Et dans la salle je vois que
Les mâles n'en croient pas leurs yeux.
Je suis un homo comme ils disent.

Vers les trois heures du matin
On va manger entre copains de tous les sexes
Dans un quelconque bar-tabac
Et là on s'en donne à cŒur joie et sans complexe
On déballe des vérités
Sur des gens qu'on a dans le nez, on les lapide.
Mais on le fait avec humour
Enrobés dans des calembours mouillés d'acide
On rencontre des attardés
Qui pour épater leurs tablées marchent et ondulent
Singeant ce qu'ils croient être nous
Et se couvrent, les pauvres fous, de ridicule
Ça gesticule et parle fort.
Ça joue les divas, les ténors de la bêtise.
Moi les lazzi, les quolibets
Me laissent froid puisque c'est vrai.
Je suis un homo comme ils disent.

A l'heure où naît un jour nouveau
Je rentre retrouver mon lot de solitude.
J'ôte mes cils et mes cheveux
Comme un pauvre clown malheureux de lassitude.
Je me couche mais je ne dors pas
Je pense à mes amours sans joie si dérisoires.
A ce garçon beau comme un Dieu
Qui sans rien faire a mis le feu à ma mémoire.
Ma bouche n'osera jamais
Lui avouer mon doux secret mon tendre drame
Car l'objet de tous mes tourments
Passe le plus clair de son temps au lit des femmes
Nul n'a le droit en vérité
De me blâmer de me juger et je précise
Que c'est bien la nature qui
Est seule responsable si

. . .


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