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Garou




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Garou Album


Reviens (2003)
2003
1.
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Je pourrais te parler de ces ailes d'or,
Qui font voyager mon âme et mon
décor,
Si tu n'y crois pas
Passe ta route

Te parler de voiliers au milieu du ciel,
D'océans de velours et de vents
éternels,
Si tu n'y croies pas
Passe ta route

Mais si tu suis mes doutes et mes
voyages,
Compagnon fidèle mais pas trop
sage,
I love you, I love you
Si tu comprends mes rêves et mes
délires,
Ces instants de vie que je respire,
I love you, I love you

Je pourrais te montrer des soleils si
blancs,
Qu'ils te font plonger dans les fleuves
d'argent,
Si tu n'y crois pas
Passe ta route

Mais si tu suis mes doutes et mes
voyages,
Compagnon fidèle mais pas trop
sage,
I love you, I love you
Si tu comprends mes rêves et mes
délires,
Ces instants de vie que je respire,
I love you, I love you

Je pourrais te montrer un palais de
corail,
Où je vais rêver quand la vie me fait
mal,
Si tu n'y crois pas
Passe ta route

Mais si tu suis mes doutes et mes
voyages,
Compagnon fidèle mais pas trop
sage,
I love you, I love you
Si tu comprends mes rêves et mes
délires,
Ces instants de vie que je respire,
I love you, I love you

Tu pourras me parler de ces ailes
d'or,
Qui font voyager ton âme et ton
décor...


. . .


Et si on dormait

J’ouvre un Œil sur notre monde
Pyromanes et poseurs de bombes
Sur l’écran plat de ma télé
Je vois des gens mourir en vrai

J’ouvre un Œil sur notre monde
La terre est ronde comme une
bombe
Allongée à mes côtés
Tu t’éveilles sans te presser

Et si on dormait, si on dormait,
Si on dormait, encore un peu

Je n’ai plus envie de pleurer
Je suis habitué, même blindé
Des années d’entraînement forcé
M’ont rendu bête et discipliné

Personne ne m’avait dit
Qu’il fallait se battre jour et nuit
Allongé à tes côtés
Je n’ai pas envie de me lever

Chorus

Crois-tu qu’un jour nos enfants
Rentreront aussi dans le rang
Ou seront-ils plus forts que nous
Auront-ils la force de changer tout

Chorus


. . .


De l'Afrique
Il reste quelques soleils gris et sales
De l'Amérique
Un drapeau qui perd sa guerre des
étoiles
D' la politique
Des idées qui ne brillent que par
l'argent
De la musique
Quelques DJ's pour trois milliards de
gens

C' n'est pas "L'adieu aux armes"
C'est un monde qui disparaît
Les missiles n'ont pas le charme
Du vieux fusil d'Hemingway

Du Grand Nord
Restent quelques chercheurs d'or
faméliques
D'nos corps à corps
D' l'amour enrobé de matière
plastique
Des conquistadors
Plantés devant leurs écrans
numériques
Des cons qui s'adorent
J'en connais plus que de femmes
érotiques

C' n'est pas "L'adieu aux armes"
C'est un monde qui disparaît
Les missiles n'ont pas le charme
Du vieux fusil d'Hemingway

Et "Pour qui sonne le glas"
Dans ce monde "anyway"
Chacun de nous finira
Comme le vieil Hemingway


. . .


Dans les profondeurs de mes yeux
Entre l'amertume et la mer
Subsiste le coeur de nous deux

Plus je m'enfonce dans l'oubli
Plus nos souvenirs m'ensorcèlent
Plus je m'éloigne de ta chair
Plus je retourne à ses rivière
Plus je refuse ton pardon
Et plus j'obéis à ton nom
Dans les profondeurs de mes yeux
Subsiste le coeur de l'aveu

L'aveu de l'amour
Le plaisir inhumain
L'aveu de l'amour
Le désir assassin
L'aveu de l'amour
C'est l'encre de mes veines
Le sang que je délivre
Lorsque j'écris je t'aime
Au grand jour de mes livres

Dans les profondeurs de mes nuits
Caché sous les draps du secret
S'élèvent nos corps alanguis

Plus je m'éloigne dans l'absence
Plus je dis non à tes appels
Plus notre passion m'est fidèle
Et plus notre histoire recommence

L'aveu de l'amour
Le plaisir inhumain
L'aveu de l'amour
Le désir assassin
L'aveu de l'amour
C'est l'encre de mes veines
Le sang que je délivre
Lorsque j'écris je t'aime
Au grand jour de mes livres


. . .


Je voudrais te connaîte
Ouvrir un peu la fenêtre
De ton coeur et de ta vie
Tout ce que tu m'interdis.
Je voudrais te savoir
Quelques instants et plus tard
Te laisser le goût de moi
Pour que tu n'oublies pas.
Je voudrais me glisser
Dans ton âme et te guider
Te faire trouver le chemin,
De ma peau, de mes mains.

{Refrain:}
Mais où?
Où te caches-tu?
Dans quelle monde oublié?
Dis-moi où chercher.
Mais où?
Où te caches-tu?
Qu'est-ce qui t'a éloigné?
Dis-moi où t'aimer, reviens.

Je voudrais te connaître
Mieux que toi-même, peut-être
Te montrer des bouts de toi
Que tu ne connais pas.
Je voudrais cette chance
De te montrer l'évidence
Le sens unique à tes pas
Pour qu'ils te ramènent à moi.

{au Refrain}

Reviens de tes silences
Reviens de tes combats perdus
d'avance
Oublie ses chaînes invisibles et
immenses
Qui t'ont retenues si loin de moi.

Mais où?
Où te caches-tu?
Dans quelle monde oublié?
Dis-moi où chercher?
Mais où?
Où te caches-tu?
Qu'est-ce qui t'a éloigné?
Dis-moi où t'aimer.

Mais où?
Où te caches-tu?
Où t'es-tu égarée
Je vais te trouver.
Où?
Où te caches-tu?
Qu'est-ce qui t'a éloigné?
Dis-moi où t'aimer
Reviens... reviens... reviens.


. . .


Quand j'ai croisé son regard
Il était déjà trop tard
Elle avait le sourire étrange
Que les peintres donnent aux anges

J'avais l'impression bizarre
De l'avoir vue quelque part
Par quel "appeal", quel appel
M'a-t-elle attirée vers elle
Je l'ai suivie comme une ombre
Dans ses nuits d'entre deux mondes

{Refrain:}
Pour l'amour d'une femme
Je tombe à genoux
Je vendrais mon âme
J'irais jusqu'au bout
Ainsi je suis né
Je suis condamné
Condamné à vie
A payer le prix
Que devra payer
Un homme qui se damne
Pour l'amour d'une femme

Autre part une autre histoire
Au hasard d'un "cruising" bar
Encore une qui me séduit
Et m'invite dans son lit
C'est dans une chambre d'hôtel
Que je m'éveille avec elle

Pour l'amour d'une femme
Je tombe à genoux
Je vendrais mon âme
J'irais jusqu'au bout
Pour l'amour d'une femme
Pour l'amour d'une femme

Longs couloirs de ma mémoire
Vous ne menez plus nulle part
Vrais diamants et faux miroirs
Vous m'avez mis sur le trottoir

{au Refrain}


. . .


Je peux changer le cours de monde
Pendant que mes cheveux poussent
Ou je peux attendre et regarder
Mes cheveux pousser jusqu'aux
pieds
Laisser passer chaque seconde
Pendant que mes cheveux poussent
Ou faire comme si tout allait s'arrêter
Et laisser mes cheveux tomber

Je peux grandir et devenir un homme
Pendant que mes cheveux poussent
Ou je peux gémir comme un bébé
Tirer mes cheveux jusqu'aux pieds
Ne pas transmettre tout ce qu'on me
donne
Pendant que mes cheveux poussent
Ou partager tout ce que j'ai aimé
Et laisser mes cheveux pousser

Le choix, on a toujours le choix
Mais le temps passe, qu'est-ce qui se
passe ?
Le choix, on a toujours le choix
Mais le temps ne revient jamais

Je peux faire croire que j'aime tout le
monde
Pendant que mes cheveux poussent
Ou je peux juste me taire et vraiment
essayer
Laisser mes cheveux de côté
Si j'ai tout ce qu'il faut, tout ce que
j'aime, rien ne manque
Pendant que mes cheveux poussent
Qu'est-ce que j'emporterai de l'autre
côté ?
Ma maison, ma voiture, mes cheveux,
oubliés !

Le choix, on a toujours le choix
Mais le temps passe, qu'est-ce qui se
passe ?
Le choix, on a toujours le choix
Mais le temps ne revient jamais


. . .


Les filles parlent des garçons
Elles vont aux toilettes à deux
Ça n' fera pas une chanson
Une chansonnette au mieux

Les filles mangent du chocolat
Elles ont trop chaud ou trop froid
Ont mal au ventre, à la tête,
Au coeur, elles vont mal en fait

Les filles travaillent à l'école
Elles ont de belles écritures
Elles gardent des mots, des bricoles
Dans des vieilles boites à chaussures

Les filles ont des sacs à main
Les filles marchent les bras croisés
Elles traînent dans les salles de bains
Elles aiment les fleurs, les bébés

Faut pas généraliser
Y'a sûrement plein d'exceptions
Les étudier, les cerner
C'est mon credo, ma mission

Les filles plient bien leurs affaires
Elles jouent rarement du tambour
Elles s'énervent avec leur mère
Qu'elles rappellent chaque jour

Les filles nous font des reproches
Trop lent, trop pressé, pas là
Ou trop loin ou bien trop proche
Ou pas assez, pas comme ça

Faut pas généraliser
Y'a sûrement plein d'exceptions
Les étudier, les cerner
C'est mon credo, ma mission

Les filles font des confidences
Elles ont une amie d'enfance
Elles se chamaillent en équipe
Se dispensent de gymnastique

Les filles on voudrait leur plaire
Mais on n' sait pas trop y faire
C'est une longue étude, un art
Qu'on comprend quand c'est trop tard

Faut pas généraliser
Y'a sûrement plein d'exceptions
Les étudier, les cerner
C'est mon credo, ma mission

Faut pas généraliser
Y'a sûrement plein d'exceptions
Les étudier, les cerner
C'est mon credo, ma mission

Elles nous font pousser le coeur
Les filles rendent les hommes
meilleurs
Et plus elles font d' la politique
Plus not' monde est pacifique


. . .


J'ai compté toutes tes caresses
Et celles qui manquent quand tu n'es
pas là
Je sais je n'ai pas de promesse
Mais ma gorge est sèche quand tu
t'en vas

Je ne m'en vais pas, mon coeur te
reste
Marqué à jamais, d'une place pour toi
Et tous les mots que je te laisse
Sont toujours vivants, sont toujours là

A chaque seconde, à chaque pas

Où as-tu passé ta semaine ?
Embrasse t-elle aussi bien que moi ?
Je veux déjà que tu reviennes
Dis-moi encore ce que tu dis tout bas

Je ne m'en vais pas, ton coeur
commande
Le mien est si grand qu'il ne fait pas
de choix
Le sucre et le sel se ressemblent
Mais j'aime les deux, pour toujours, à
la fois

A chaque seconde, à chaque pas

Le sucre et le sel se mélangent
Mais il n'y aura de goût à la fin
Le sucre et le sel se dérangent
Car dans "je t'aime" il y a
"Tu m'appartiens"

Je te veux rien que pour moi
Je n' sais pas faire de choix
Mais t'aimer ça ne suffit pas
J'ai assez d'amour pour ça
Je saurai tout te donner
Je vous aime toute à jamais
Je ne sais pas te partager
Et choisir c'est renoncer
Qu'est-ce qu'elle a que je n'ai pas ?
Même quand je ferme les yeux
Qu'est-ce qu'elle a que je n'ai pas ?
C'est le sucre et le sel que je veux


. . .


Y'a plus de chaînes qui tiennent
Plus rien qui nous retienne
Y'a plus de souv'nirs
Ni d' av'nir
Qui nous enchaînent

Pas la peine
Y'a plus qu'le désir
Qui se déchaîne

Quand pass' la passion

Y'a plus de temps passé
Y'a que le temps présent
L'océan
A traverser
L'ouragan
A passer

On ne part pas
Sans laisser
Quelques coeurs cassés

Quand pass' la passion

Quand pass' la passion
Suis-la où ell' t'emmène
Il vaut mieux la prendre au vol
De peur qu'ell' ne s'envole

Quand pass' la passion

Quand pass' la passion

Y'a plus de haine qui traîne
Plus d'amour qui nous freine
Comm' un enfant
Qui crie maman
Papa
Ne pars pas
On va jusqu'à perdre le coeur
Perdre la raison
Quand pass' la passion

Quand pass' la passion
Suis-la où ell' t'emmène
Il vaut mieux la prendre au vol
De peur qu'ell' ne s'envole

Quand pass' la passion
Suis-la où ell' t'entraîne
On ne prend pas son envol
Les pieds collés au sol

Y'a plus de chaînes qui tiennent
Qui nous retiennent
On peut prendre le premier avion
Partir au bout du monde
Changer de vie, changer de nom

Quand pass' la passion
Il vaut mieux la prendre au vol
De peur qu'ell' ne s'envole

Quand pass' la passion
Suis-la où ell' t'entraîne

Quand pass' la passion
Suis-la où ell' t'emmène
Il vaut mieux la prendre au vol
De peur qu'ell' ne s'envole

Quand pass' la passion
On ne prend pas son envol
Les pieds collés au sol
Quand pass' la passion


. . .


Il n'y a pas si longtemps
Je suis descendu
Au coeur de la terre

Je croyais y trouver
Mon amour perdu
Comme un diamant solitaire

Je ne vous dirai pas
Ce que j'y ai vu
Dans le coeur de la terre

Tous les rêves envolés
De l'Humanité
Ont défilé devant ma vue
Et j'ai retrouvé la clé
Du paradis perdu

Au coeur de la terre
J'ai vu des cités disparues
Mais mon amour perdu
Je n' l'ai jamais retrouvé

J'ai monté les chevaux
Des conquistadors
Au coeur de la terre

Et j'ai croisé le fer
Avec les armées
De Nabuchodonosor

J'ai traversé des guerres
Enjambés des corps
Devenus de pierre

J'ai franchi des frontières
Qui n'existent plus
Et j'ai même rencontré
Trois ou quatre dinosaures
Qui vous font leur salut

Au coeur de la terre
J'ai trouvé un arbre vert
La tête à l'envers
Il était dev'nu de verre

J'y ai reconnu
L'arbre du fruit défendu
Mais mon amour perdu
Je n' l'ai jamais retrouvé

Au coeur de la terre
J'ai trouvé un météore
Pourquoi sa lumière
Brûle-t-elle encore mon corps

Mais ce météore
Était-il le coeur de la terre ?
Ou peut-être encore
Était-il mon amour perdu...


. . .


Ces ombres qui dansent
Autour de moi
Je les vois, je ne dors pas,
Je sais ce que tu penses
Tu n'y crois pas,
Tu n'es pas la première comme ça

C'est la prière indienne de mes nuits,
De ces voix qui m'entraînent loin
d'ici,
Où la raison, le temps ne comptent
pas,
Je m'y sens chez moi
C'est la prière indienne de ma vie,
Au silence des plaines loin d'ici,
Si ce n'est plus qu'un rêve, tant pis
pour moi
Je m'en vais là-bas
Ne m'en veux pas

Tant de vies sans légendes,
Sans cris de loups,
Et ce temps qui se bat contre nous
Je sens les yeux des villes
Braqués sur moi,
La lumière est inutile quand la lune
suit mes pas

C'est la prière indienne de mes nuits,
De ces voix qui m'entraînent loin
d'ici,
Où la raison, le temps ne comptent
pas,
Je m'y sens chez moi
C'est la prière indienne de ma vie,
Au silence des plaines loin d'ici,
Si ce n'est plus qu'un rêve, tant pis
pour moi
Je m'en vais là-bas
Ne m'en veux pas

Si ce n'est plus qu'un rêve, tant pis
pour moi
Je m'en vais là-bas
Ne m'en veux pas

Je les vois, je les sens
Ces ombres sur moi...


. . .


Tu peux te cacher quand tu sors
Te fondre dans le décor
Maquiller ton visage, changer
d'image, je te vois encore

Tu peux tenter de t'échapper
De te sauver loin d'ici
Dans un autre quartier, même un
autre pays, je saurai aussi

Changer de nom, de profession
Même s'il me faut des années
Moi du temps j'en ai trop.
Passeront les saisons,
Je te trouverai, je te trouverai

Tu peux m'envoyer tes armées
Tes soldats, tes officiers
Rien ne m'arrêtera.
Oh rien ne me fera changer d'idée
N'essaie pas de m'échapper,
Trancher ces liens qui nous lient
Tu peux te transformer en oiseau, en
fumée
Je m'envoie aussi

Et que vais-je faire de tout cet amour

De ces mains, de ces bras, de tout
ce temps là

Et moi je fais quoi de tout ça ?

Je peux ramper à tes pieds
Je ne me reconnais pas
Dans le bruit du dehors, je n'entends
que ta voix
La nuit je te vois

Quand je me souviens de nous
J'aime tant, je comprends tout
Ce bonheur autrefois, moi je n'en
guéris pas
Et ça me rend fou

Tu peux m'envoyer tes armées
Tes soldats, tes officiers
Rien ne m'arrêtera.
Oh rien ne me fera changer d'idée
N'essaie pas de m'échapper,
Trancher ces liens qui nous lient
Tu peux te transformer en oiseau, en
fumée
Je m'envoie aussi

De ces jours et ces nuits si vides
sans toi
Et moi je fais quoi de tout ça ?

Et ça me brûle et ça m'arrache le
coeur
Et j'en crève et ça me rend fou de
douleur
Il est pour toi cet amour là


. . .


Ne me parlez plus d'elle
J'ai besoin d'oublier
Tout ce qui me rappelle
Qu'un jour elle a été

Ne me parlez plus d'elle
On se rend malheureux
A prendre une étincelle
Pour le plus beau des feux

Ne me parlez plus d'elle
Je préfère son absence
A sa beauté cruelle

Accordez-moi silence
Loin de son existence

Ne me parlez plus d'elle
Je ne veux pas savoir
Près de qui chaque soir
Elle ouvre grand ses ailles
Ne me parlez plus d'elle
Je ne veux pas savoir
Près de qui chaque soir

Ne me parlez plus d'elle
Je voudrais m'endormir
Comme une sentinelle
Qui ne voit rien venir

Ne me parlez plus d'elle
Je préfère l'ignorance
Aux mauvaises nouvelles

Accordez-moi silence
Loin de son existence

Ne me parlez plus d'elle
Je ne veux pas savoir
Près de qui chaque soir
Elle ouvre grand ses ailles
Ne me parlez plus d'elle
Je ne veux pas savoir
Près de qui chaque soir

Elle me reprend
Elle me reprend le ciel

Ne me parlez plus d'elle
Non ne m'en parlez pas
Mais parlez-lui de moi

Accordez-moi silence
Loin de son existence

Donnez-moi une chance
D'oublier que j'y pense

Ne me parlez plus d'elle
Je ne veux pas savoir
Près de qui chaque soir
Elle ouvre grand ses ailles
Ne me parlez plus d'elle
Je ne veux pas savoir
Près de qui chaque soir

Elle me reprend
Elle me reprend le ciel


. . .


Cette nuit je pars
J'ai fait ça souvent, dans le temps
Des soirs de noir
Rouler loin pour rouler longtemps

Je viens te voir
Passer un moment, tout dépend
S'il n'est pas trop tard
Cette fois ce sera différent, et
j'attends

Ton premier regard
Celui de l'âme, des présages
Ton premier regard
Dira la fin du voyage
Ton regard.....

La lumière des phares
Et la route devant, tout simplement
Encore un peu de brouillard
Mais ma vie s'éclaire doucement

Là c'est plus au hasard
C'est plus comme avant, maintenant
J'ai envie de croire
Qu'au bout du chemin tu m'attends,
vraiment

Ton premier regard
Celui de l'âme, des présages
Ton premier regard
Celui qu'on garde en image
Ton premier regard
Qui ouvre ou qui ferme le passage
Ton premier regard
Dira la fin de mon voyage
Ton premier regard

Pas de phrases habiles, de
résolutions, de promesses
Juste la fraction de seconde où se
joue la pièce
Un regard...

Ton premier regard


. . .


Quand je pense à toi, je tremble
Et j’y pense chaque instant
C’est plus dur qu’il ne semble
Ça passe pas avec le temps

Comme on manque d’une drogue
Je sais pas
Rien d’autre ne compte
Je reprends un verre et je me noie

Pourtant je te jure
Je m’en irai c’est sûr…mais
Laisse-moi te toucher
Donne-moi ton corps
Une dernière fois encore

Je te cherche partout
Je sais bien, c’est pas normal
On me prend pour un fou
C’est juste que ça fait de plus en
plus mal

Si tu me voyais
Je perdrais toutes mes chances
C’est toi qui me défais
Et tu me donnerais moins qu’une
dernière danse ?

Pourtant je te jure
Je m’en irai c’est sûr…mais
Laisse-moi te toucher
Donne-moi ton corps
Une dernière fois encore

Je partirai, je partirai, je promets
Donne-moi, donne-moi encore
Une dernière, une dernière fois
Je tombe à genoux, à genoux
Donne-moi une dernière fois….

Laisse-moi te toucher
Donne-moi ton corps
Une dernière fois, une dernière fois
encore

Donne-moi ton corps
Je partirai, je partirai, je te promets
Je te promets,
Une dernière fois


. . .


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