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Jenifer
Jenifer


Background information
Birth name Jenifer Bartoli
Born November 15, 1982
Origin Nice, France
Genre(s) Pop
Adult Contemporary
Years active 2001—present
Label(s) Universal
Mercury Records
Website Website



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Jenifer Album


Jenifer (2002)
2002
1.
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11.
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Dans ma tête j'ai des chevaux
Lancés au triple galop
Je sens battre mon coeur
Dans cette course folle

Dans mon âme tout est clair
J'ai la place pour la lumière
Et la sincérité
Ne me fait pas peur

J'attends l'amour
Dans mes rêves
J'attends l'amour
La douceur et la fièvre
Il peut venir
Je suis prête à aimer vraiment
J'attends l'amour
Simplement

Il viendra de loin
Se moquant des kilomètres
Il désarmera les vents et les tempêtes
Et rien
Ni personne
Ne saura qui l'abandonne
Il viendra et je saurai le reconnaître

J'attends l'amour
Dans mes rêves
J'attends l'amour
La douceur et la fièvre
Il peut venir
Je suis prête à aimer vraiment
J'attends l'amour
Simplement

J'essaie de m'imaginer
A chaque seconde
Que c'est lui que je suivrai
Jusqu'au bout du monde

Toujours ces chevaux
Et le vent sur ma peau
Comme une promesse
Je sais c'est toi qui me caresse

J'attends l'amour
Dans mes rêves
J'attends l'amour
La douceur et la fièvre
Il peut venir
Je suis prête à aimer vraiment
J'attends l'amour

J'attends l'amour
Dans mes rêves
J'attends l'amour
La douceur et la fièvre
Il peut venir
Je suis prête à aimer vraiment
J'attends l'amour
Simplement

Simplement
Simplement

[Johanna Demker] "True Love"
(Johanna Demker)
Adaptation française Alana Filippi/Jeanne Ermilova

. . .


Ce qui ne me tue pas
Me rend forte
On pourrait en venir aux mains
Je suis à celui qui me transporte
Je reste tant que l'on me supporte
Où je reprends seule le chemin
Malgré les risques que cela comporte
Avec toi j'irai bien
Même sans toi j'irai bien

Au soleil
M'exposer un peu plus
Au soleil
Quand le coeur n'y est plus
Brûler ce que l'on adore
Et réchauffer son corps

Au soleil
M'exposer un peu plus
Au soleil
Quand le coeur n'y est plus
Brûler ce que l'on adore
Et réchauffer son corps

Malgré tout l'amour que je porte
Toi tu n'y entends vraiment rien
Notre histoire que le diable l'emporte
Avec toi j'irais bien
Même sans toi j'irais bien

Au soleil
M'exposer un peu plus
Au soleil
Quand le coeur n'y est plus
Brûler ce que l'on adore
Et réchauffer son corps

Au soleil
M'exposer un peu plus
Au soleil
Quand le coeur n'y est plus
Brûler ce que l'on adore
Et réchauffer son corps
Et réchauffer son corps

Au soleil
M'exposer un peu plus
Au soleil
Quand le coeur n'y est plus
Brûler ce que l'on adore
Et réchauffer son corps

Au soleil
M'exposer un peu plus
Au soleil
Quand le coeur n'y est plus
Brûler ce que l'on adore
Et réchauffer son corps

Au soleil
M'exposer un peu plus
Au soleil
Quand le coeur n'y est plus
Brûler ce que l'on adore
Et réchauffer son corps

(Hocine Hallaf)

. . .


Tell'ment de gens veulent
Tell'ment être aimés
Pour se donner peuvent
Tout abandonner
Tellement d'erreurs qu'on
pourrait s'éviter
Si l'on savait juste un peu patienter

Donne-moi le temps
D'apprendre ce qu'il faut apprende
Donne-moi le temps
D'avancer comme je le ressens
Y'a pas d'amour au hasard
Ou qui arrive trop tard
J'apprendrai le temps d'attendre

Tellement de rêves qui
Se trouvent gâchés
A vivre tout, juste pour s'évader
Est-ce que nos peurs valent
A ce point la peine
Pour exiger aussi peu de nous-mêmes ?

Donne-moi le temps
D'apprendre ce qu'il faut apprende
Donne-moi le temps
D'avancer comme je le ressens
Y'a pas d'amour sans patience
D'histoire sans y croire, pas d'amour sans le vouloir
Si je sais que tu m'attends

Donne-moi le temps
D'apprendre ce qu'il faut apprende
Donne-moi le temps
D'avancer comme je le ressens
Y'a pas d'amour au hasard
Ni de rencontre trop tard
Mais sois patient, quand je me donne c'est vraiment
J'apprendrai le temps d'attendre

Tu auras le temps
De prendre ce que tu veux prendre
Tu auras le temps de nous faire avancer ensemble
Tant de gens se cherchent
Se désirent, se suivent et se perdent
Donnons nous la peine
De se découvrir, se connaître
Je ne laisserai pas l'amour au hasard
Ni qu'il soit trop tard
Si la patience s'apprend
J'apprendrai ce qu'est attendre

Je prends le temps
Pour que tu m'attendes
Le temps
Pour toi

(Pierre Lorain/So)

. . .


Pourquoi retenir dans ses bagages
Un secret d'enfance
Se révéler après tant de virages
C'est trop difficile
Aujourd'hui, tu ne comprends pas pourquoi

Tout est fini
Sans un mot dit
Je suis partie
Sans nos silences
Nos secrets trahis
Et je m'en vais
Et tu te tais
Nos silences
Sont des secrets défenses
Secrets défenses

Pourquoi ne pas se parler d'avantage
Et se faire confiance
Ne pas s'aventurer sur les rivages
Des confidences
Aujourd'hui, tu ne sais toujours pas pourquoi

Tout est fini
Sans un mot dit
Je suis partie
Sans nos silences
Nos secrets trahis
Et je m'en vais
Et tu te tais
Nos silences
Sont des secrets défenses
Secrets défenses

Je m'envole au jour le jour
Sur des paroles et des mots d'amour
Pour libérer ceux qui m'ont manqué
De leur cage

Tout est fini
Sans un mot dit
Dans nos silences
Nos secrets sont à l'abri
Quand je m'en vais
Que tu te tais
Nos silences
Sont des secrets défenses

Je suis partie
Sans nos silences
Et nos sourires aussi
Et je m'en vais
Et tu te tais
Nos silences
Sont des secrets défenses
Secrets défenses

(Jeanne Ermilova/Christophe Deschamps)

. . .


Par la fenêtre, je vois passer les jours
L'automne me plait
Les feuilles volent, les amoureux dansent
L'amour se fait
Je n'attendais rien de particulier
Mon journal s'est écrit tout seul
Et mes états d'urgence
M'ont portée pâle
Sous les tilleuls je m'allonge te je pense
Les fleurs du mal
Par la fenêtre je vois passer l'été
J'me laisse aller
J'écoute "Yesterday"

Nos points communs
Nos lieux communs
Toutes ces choses en commun
ça laisse comme un goût de chagrin
Comme un mal dans les reins
Nos points communs
Nos lieux communs
Toutes ces roses en commun
Nous laissent comme un goût de revient
Comme un mal d'amour, un mal de chien

A ma fenêtre j'attends que midi sonne
Et je revois encore une fois
La route de Madison
Tu n'es plus là
Je n'attends rien de particulier
Tu m'as laissé
Un bout de "Yesterday"

Nos points communs
Nos lieux communs
Toutes ces choses en commun
ça laisse comme un goût de chagrin
Comme un mal dans les reins
Nos points communs
Nos lieux communs
Toutes ces roses en commun
Nous laissent comme un goût de revient
Comme un mal d'amour, un mal de chien

Nos points communs
Nos lieux communs
Toutes ces choses en commun
ça laisse comme un goût de chagrin
Comme un mal dans les reins
Nos points communs
Nos lieux communs
Toutes ces roses à la main
Nous laissent comme un goût de revient
Comme un mal d'amour, un mal de chien

Toutes ces choses en commun
Comme un mal dans les reins
Toutes ces roses en commun
Comme un mal d'amour, un mal de chien

(Marc Lavoine/George Lunghini)

. . .


Je garde les photos
Que tu n'as jamais prises
Et mes premiers sourires donnés
Passante mais conquise
Je garde tes soupirs
Aux matins de beaux jours
Tes yeux qui me désirent
Sous un regard à contre jour
je garde nos faiblesses
Qui nous rendent plus humains
Nos silences inutiles et le langage nos mains
Il n'y a rien noir sur blanc
Seulement ce que je sens
Rien ne s'écrit vraiment
Ce que je sens
C'est comme ça
Que je nous vois

Les regrets... je garde
Dans mes yeux... je garde
Tous nos rires... je garde
Pour un rien... je garde
La douceur... je garde
De mes mots... je garde
De lumière... je garde
Que pour toi... je garde
Les couleurs... je garde
Du passé... je garde
Le vent dans... je garde
Mes cheveux... je garde
Toutes nos nuits... je garde

Nos mensonges, mais ça, ça nous regarde
Je garde toutes ces lettres
que tu n'as pas écrites
Toutes ces phrases que j'attendais
Que tu ne m'as jamais dites
Je garde les blessures
Que l'on a pu se faire
Parce qu'on aime sans armures
Sans barrières et sans murs de pierres
Il n'y a rien noir sur blanc
Seulement ce que je sens
Rien ne s'écrit vraiment seulement
Ce que je sens
C'est comme ça, que je nous vois

(Eric Dimicoli)

. . .


Sur les cendres
Allongée
Et chercher
À comprendre
M'endormir
Assommée
M'interdire
De t'attendre

Je ne sais plus rêver
J'ai les yeux abîmés
De t'avoir trop aimé
Je ne sais plus rêver
Je ne sais plus sourire
À des gens qui m'indiffèrent
M'intéresser à leurs vies
Je ne sais plus le faire

Sur une île
Échouer
Sans passé
Qui défile
Ni te voir
Te toucher
Me savoir
Inutileo

Je ne sais plus rêver
J'ai les yeux abîmés
De t'avoir trop aimé
Je ne sais plus rêver
Je ne sais plus sourire
À des gens qui m'indiffèrent
M'intéresser à leurs vies
Je ne sais plus le faire

M'endormir
Assommée
M'interdire
De t'attendre

Je ne sais plus rêver
J'ai les yeux abîmés
De t'avoir trop aimé
Je ne sais plus rêver
Je ne sais plus sourire
À des gens qui m'indiffèrent
M'intéresser à leurs vies
Je ne sais plus le faire

Je ne sais plus rêver
Je ne sais plus sourire
À des gens qui m'indiffèrent
M'intéresser à leurs vies
Je ne sais plus le faire

(Pierre Lorain/François Rause-Antoine Verlant)

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Je sais qui je suis
Rien ne me changera vraiment
Et si j'ai grandi
Je garde mes rêves d'enfant
J'ai eu raison d'attendre
Cette étoile au dessus de moi
Elle a su me comprendre
Allumer la lumière
Que je ne voyais pas

Et un jour un matin
plus rien comme avant
Rien est impossible à ceux
Qui prennent la vie qu'on leur tend
A chacun son chemin
Et pourtant,
Tout est en nous si on veut
Vivre nos envies maintenant, maintenant

Qui sait si demain
Les gens me verront autrement
Que seuls ce qui m'aiment
Seront que rien en moi ne ment
Si j'ai tout à apprendre
Je sais que brûle au fond de moi
Le désir de vous rendre
Un peu de la lumière
Que tu ne voyais pas

Et un jour un matin
plus rien comme avant
Rien est impossible à ceux
Qui prennent la vie qu'on leur tend
A chacun son chemin
Et pourtant,
Tout est en nous si on veut
Vivre nos envies maintenant, maintenant

Et un jour un matin
plus rien comme avant
Rien est impossible à ceux
Qui prennent la vie qu'on leur tend
A chacun son chemin
Et pourtant,
Tout est en nous si on veut
Vivre nos envies maintenant, maintenant

Et un jour, un matin
Tout le temps
Tout est en nous si on veut
Vivre nos envies maintenant

Et un jour un matin
plus rien comme avant
Rien est impossible à ceux
Qui prennent la vie qu'on leur tend
A chacun son chemin
Et pourtant,
Tout est en nous si on veut
Vivre nos envies maintenant, maintenant

(Frédéric Doll/Benjamin Raffaelli-Nicolas Neidhardt)

. . .


Même si certain sourires
Nous peinent
Quand la différence les gêne
Comment sentir moins de haine
Et pardonner
Quand les nuances
De ton histoire
Trop souvent te laissent à part
Que les autres te trouvent bizarre
Sans même t'aimer

Là où tu rêves
Là où tu vis
Nos larmes se meurent
Un monde se lève
Refait d'envies
Et de lueurs
Là où tu rêves
Là où tes cris
Ne font plus peur
Dans tes sommeils
Soudain tes nuits
Ont moins de pleurs

Même si l'oubli parfois t'appelle
Ton désert est moins rebelle
Que leur ignorance cruelle
Qui t'a caché
Mais où se trouve la différence
Dans l'injustice et l'absence
Quand leurs gestes prennent
La distance sans même t'aimer

Là où tu rêves
Là où tu vis
Nos larmes se meurent
Un monde se lève
Refait d'envies
Et de lueurs
Là où tu rêves
Là où tes cris
Ne font plus peur
Dans tes sommeils
Soudain tes nuits
Ont moins de pleurs

A qui faut-t-il qu'on ressemble ?
A qui faut-t-il qu'on ressemble ?

Là où tu rêves
Là où tu vis
Nos larmes se meurent
Un monde se lève
Refait d'envies
Et de lueurs
Là où tu rêves
Là où tes cris
Ne font plus peur
Dans tes sommeils
Soudain tes nuits
Ont moins de pleurs

(Marie-Jo Zarb/Benjamin Raffaelli)

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Viens me voir et donne-moi un peu de toi
Un petit peu de toi juste pour moi
Le matin quand tu me serres
Dans tes grands bras
C'est le ciel où je m'envole
Pour n'être plus qu'avec toi

Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas
Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas

Touche moi et prouve-moi que tu es là
Que tu es là pour moi, juste pour moi
Tu m'enlaces et je sens ton coeur qui bat
Toi contre moi c'est l'avenir
Que tu décides pour moi

Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas
Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas

Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas
Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas, je suivrai tes pas

Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas
Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas, je suivrai tes pas

Je marcherai avec toi
Aussi loin que tu voudras
Je suivrai tes pas

(Ingrid Roux/Yorgos Benardos)

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J'avais juste envie d'en parler
Mais tu n'as pas su m'écouter
Dis moi pourquoi je suis seule et j'ai froid
Je ne veux plus rester comme ça
Tout avait si bien commencé
J'avais l'impression d'être aimée
La différence, les murs de ton absence
Où chasser de nous la romance ?

Que reste-t-il de nous deux
De tous ces rêves dans tes yeux
Je ne sais plus,
Dis moi si tout n'est pas perdu
J'ai besoin de te parler
De ma vie, de tes pensées
Tout n'est vraiment plus comme avant

Non, je ne vais plus t'appeler
Essayer même de t'oublier
Ne dis plus rien
Je trouverai mon chemin
Je te laisse sans dire à demain

Que reste-t-il de nous deux
De tous ces rêves dans tes yeux
Je ne sais plus,
Dis moi si tout n'est pas perdu
J'ai besoin de te parler
De ma vie, de tes pensées
Tout n'est vraiment plus comme avant

Même si je t'abandonne
Je n'aurai besoin de personne
Je veux juste m'en aller
Ne plus t'aimer

(Essaï-Daniel Moyne/Essaï)

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